Recherche

Pauline Bonaparte. Princesse Borghèse

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Histoire de France

Pauline Bonaparte. Princesse Borghèse

Couturière, artiste à Marseille dans des spectacles pour marins, partenaire d'un "mariage de garnison" avec le général Leclerc, épouse désemparée lorsque ce dernier est emporté par la fièvre jaune, Pauline Bonaparte (1780-1825) s'unit en secondes noces au prince Camille Borghèse, dont elle constate trop tard les limites physiques et intellectuelles... Qu'à cela ne tienne, Pauline est encore jeune, jolie et coquette. D'autres sauront la consoler. Révolution, Empire, Restauration, cette existence baroque, échevelée et sulfureuse va se dessiner sur fond d'histoire européenne. En contrepoint permanent, bien sûr, de celle de son célèbre frère devenu empereur. La vie et le rôle de " Paoletta ", impériale collectionneuse d'amants, cette sueur fantasque, excessive, la plus proche de Napoléon, fait ici l'objet d'une étude approfondie. Antonio Spinosa, s'appuyant sur de nombreuses sources italiennes, donne de la " Vénus triomphante " un portrait psychologique, ironique et impertinent.

01/2005

ActuaLitté

Histoire de France

Pauline Bonaparte. Princesse Borghèse

Souvent considérée comme la plus belle femme de son temps, Pauline Bonaparte (1780-1825) est cependant la plus méconnue des soeurs de Napoléon. Et pourtant, quel roman que sa vie ! Un premier mariage, tragique, avec le général Leclerc ; un second, décevant, avec le prince Borghèse ; une fuite en avant qui l'emmène d'Ajaccio à Florence en passant par Paris, Saint-Domingue et Rome. Voulant être partout et ne se plaisant nulle part, souffrant de mille maux, Pauline parcourt l'Empire français, multipliant les cures de toute sorte sans jamais s'en trouver mieux, recherchant en vain l'amour parfait à travers plusieurs amants. Quand l'Empire s'effondre, elle est la seule de la fratrie à partager l'exil de son frère à l'île d'Elbe. Après Waterloo, elle redevient romaine. Réconciliée avec le prince Borghèse, elle meurt à Florence en 1825 dans le palais qu'il avait mis à sa disposition. On ne saurait imaginer les fastes de l'Empire sans cette princesse sublime, romantique avant l'heure, qui cachait sous ses caprices un mal de vivre inguérissable.

11/2018

ActuaLitté

Histoire de France

Pauline Bonaparte Leclerc Borghèse (1780-1825)

Qui fut vraiment Pauline, dont la représentation oscille curieusement entre une image de Messaline et la Vénus triomphante ? Cette nouvelle biographie présente un triple intérêt : nous pénétrons dans son intimité et avons ainsi une vue plus personnelle de la vie familiale de l'Empereur. Nous assistons aux mondanités : moeurs, us et coutumes de la haute société napoléonienne (bals, relations, décors, palais, voyages, toilettes, vêtements et fournisseurs). Sa maladie nous renseigne sur la médecine de l'époque soins, cures thermales, bains, remèdes. Sueur bien aimée de Napoléon, elle fut parfois un pion sur son échiquier. Son comportement d'enfant gâtée suffit-il à compenser une existence finalement assez triste ? Alain Pigeard éclaire sa personnalité, certes futile, égocentrée, inconstante, mais fidèle jusque dans le malheur, à son frère l'Empereur. Dans son testament, elle pense — à quelques exceptions près — aux membres de sa famille, à ses amis, à ses domestiques, mais oublie ses amants... Il reste pour l'Histoire que Pauline, en posant pour Canova, nous a en quelque sotte légué une des plus remarquables statues de style néo-classique : quand on regarde la Venus victrix, le marbre est vivant.

03/2019

ActuaLitté

Histoire de France

Pauline Borghèse

Insatiable amoureuse, dotée d'une beauté d'où jaillissaient des flots de sensualité, Pauline, la petite soeur chérie de Napoléon, ne cessa de faire tourner la tête des hommes. Mais la plupart traversèrent sa vie sans la marquer. A l'exception d'un seul : l'empereur auquel son admiration et son affection ne manquèrent jamais. Elevée dans une liberté sans entraves qui la laisse maîtresse de ses journées, elle commence très jeune une vie sentimentale. Mariée au général Leclerc qui la laisse veuve à Saint-Domingue, elle épouse en secondes noces un aristocrate romain, le prince Camille Borghèse. Un mariage malheureux, car le mari se dérobe. Pauline, alors, s'étourdit dans les bals et les bras des autres. Défiant les âmes pudibondes, elle se fait sculpter nue par le grand Canova. Si Napoléon considère d'un mauvais oeil une conduite aussi débridée, il est incapable de sévir. Car l'enchanteresse lui voue un culte total et se montre d'une indéfectible loyauté envers lui. Elle est la seule de la famille à se rendre à l'île d'Elbe, la seule à vouloir partir pour Sainte-Hélène. Mais la mort de l'empereur la surprend dans ses préparatifs. C'est un choc dont elle ne se remettra pas. Monique de Huertas nous raconte la vie étonnante d'une princesse qui brava tous les interdits avec une gourmandise, un naturel et une franchise confondants sans jamais s'encombrer de scrupules. Infidèle à tous, elle ne fut fidèle qu'à un seul homme : son frère Napoléon.

09/2002

ActuaLitté

Histoire de France

Pauline Bonaparte. Princesse d'amour

1793, la Corse est à feu et à sang. La famille Bonaparte quitte alors l'île natale pour la France. Une famille dont nous allons suivre le destin et l'incroyable réussite, à travers la vie et les passions tumultueuses de la soeur préférée de Napoléon Bonaparte, Pauline. Pauline Bonaparte que tous les hommes convoiteront, qui épousera le général Leclerc sur ordre et puis, à sa mort, le prince Camille Borghèse par désir.

05/2019

ActuaLitté

Histoire de France

Mathilde, princesse Bonaparte

La seule femme de sa famille : voilà comment le comte de Viel-Castel, intime de la Princesse, définissait Mathilde, nièce de l'Empereur, son portrait au féminin, et l'originale du clan. Bonaparte et princesse jusqu'au bout des ongles, la fille du roi de Westphalie ne démordit jamais de son culte pour Napoléon ; et c'est peut-être à son oncle qu'elle doit ce caractère ombrageux, ce goût des répliques bien senties qui faisaient les délices de ses contemporains. Mariée à vingt ans au prince Demidoff, un dandy richissime mais qui se révèle syphilitique et violent, elle choisit l'indépendance dès 1846, obtenant au passage une avantageuse séparation : beaucoup d'argent, un cousin haut placé (Napoléon III), de la beauté, un tempérament passionné la font bientôt la femme la plus en vue du Second Empire. Dans son salon fastueux de la rue de Courcelles, elle accueille les Goncourt, Flaubert, Théophile Gautier, Dumas et tant d'autres, fait les académiciens et les sénateurs, et prend pour amant le plus bel homme du siècle, le surintendant des Beaux-Arts Nieuwerkerke. À la chute de l'Empire, elle s'enfuit, mais revient à Paris dès 1871, recréant autour d'elle une cour de fidèles, que fréquentent le jeune Proust, Robert de Montesquiou, Mme Straus, les Daudet... Elle s'éteint en 1904, suscitant une émotion nationale, elle, la nièce de Napoléon, celle qui avait eu ce mot, quand son neveu Louis se disait tenté par la carrière des armes : " ce n'est pas une raison, parce que tu as eu un militaire dans ta famille... "

01/2005

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté