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Paul Allard

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Empire

Les chrétiens ont-ils incendié Rome sous Néron?

En 64, Rome est ravagée par un terrible incendie. Au moment de l'incendie, Rome, proche de son apogée, était une des plus importantes métropoles de l'Antiquité. Elle comptait environ 800 000 habitants. Des milliers de morts sont dénombrés et près de 12. 000 habitations sont anéanties. Une légende tenace a depuis lors fait de Néron, le responsable de cette catastrophe. Les sources latines ne permettent guère d'établir formellement sa culpabilité, mais le doute subsiste. En effet, l'historien romain Tacite décrit l'événement comme le plus grave et violent incendie de Rome. Dès le début de son récit, il met en évidence les incertitudes sur l'origine du désastre : pur accident ou acte criminel à l'initiative de Néron ? ("forte an dolo principis incertum"). Procédant tel un détective sur la piste d'un crime, Paul Allard revient sur les premiers témoignages de Tacite, Pline l'Ancien, Dion Cassius, ou l'historien Suétone, recoupe les incohérences, et les reconstitutions d'époque avant de conclure sur une hypothèse solide. Un livre court mais richement documenté et qui se lit comme un véritable roman policier. Ce travail fut couronné par l'Académie française. A lire également sur le même sujet aux Editions BOD : La persécution des chrétiens sous Néron : Etude historique de Polydore Hochart (Isbn 978-2322268108)

01/2022

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Histoire de l'Eglise

Les chrétiens ont-ils incendié Rome sous Néron?

En 64, Rome est ravagée par un terrible incendie. Au moment de l'incendie, Rome, proche de son apogée, était une des plus importantes métropoles de l'Antiquité. Elle comptait environ 800 000 habitants. Des milliers de morts sont dénombrés et près de 12. 000 habitations sont anéanties. Une légende tenace a depuis lors fait de Néron, le responsable de cette catastrophe. Les sources latines ne permettent guère d'établir formellement sa culpabilité, mais le doute subsiste. En effet, l'historien romain Tacite décrit l'événement comme le plus grave et violent incendie de Rome. Dès le début de son récit, il met en évidence les incertitudes sur l'origine du désastre : pur accident ou acte criminel à l'initiative de Néron ? ("forte an dolo principis incertum"). Procédant tel un détective sur la piste d'un crime, Paul Allard revient sur les premiers témoignages de Tacite, Pline l'Ancien, Dion Cassius, ou l'historien Suétone, recoupe les incohérences, et les reconstitutions d'époque avant de conclure sur une hypothèse solide. Un livre court mais richement documenté et qui se lit comme un véritable roman policier. Ce travail fut couronné par l'Académie française. A lire également sur le même sujet aux Editions BOD : La persécution des chrétiens sous Néron : Etude historique de Polydore Hochart (Isbn 978-2322268108)

10/2022

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Non classé

Le Christianisme et l'Empire Romain de Néron à Théodose

Dans cet ouvrage passionnant et richement documenté, l'historien et archéologue français Paul Allard nous livre des éléments historiques de premier plan sur une période alors méconnue des historiens et théologiens : les quatre premiers siècles de la chrétienté.

10/2022

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Eglise primitive

Les esclaves chrétiens depuis les premiers temps de l'Eglise jusqu'à la fin de la domination romaine en Occident

L'esclavage dans la Rome antique joue un rôle important dans la société et l'économie. Outre le travail manuel, les esclaves accomplissaient de nombreux services domestiques et pouvaient être employés à des emplois et professions hautement qualifiés. Les comptables et les médecins étaient souvent des esclaves. Les esclaves d'origine grecque en particulier peuvent être très instruits. Les esclaves non qualifiés ou condamnés à l'esclavage comme punition travaillaient dans les fermes, dans les mines et dans les moulins. L'esclavage fait référence à la condition des non-libres (appelés servi, singulier servus), considérés juridiquement comme des meubles (objets). Ainsi, les esclaves sont considérés comme des biens en droit romain et n'ont aucune personnalité juridique. La plupart des esclaves ne seront jamais libérés. Contrairement aux citoyens romains, ils peuvent être soumis à des châtiments corporels, à l'exploitation sexuelle (les prostituées étaient souvent des esclaves), à la torture et à des exécutions sommaires. Au fil du temps, cependant, les esclaves ont obtenu une protection juridique accrue, y compris le droit de porter plainte contre leurs maîtres. Une des principales sources d'esclaves est l'expansion militaire romaine pendant la République. L'utilisation d'anciens soldats ennemis comme esclaves conduit à une série de rébellions armées en masse, les guerres serviles, dont la dernière fut dirigée par Spartacus. Pendant la Pax Romana du début de l'Empire romain (1er-IIe siècles après J. C.), l'accent est mis sur le maintien de la stabilité, et le manque de nouvelles conquêtes territoriales a asséché cette ligne d'approvisionnement de la traite des êtres humains. Pour maintenir une main-d'oeuvre asservie, des restrictions légales accrues sur la libération des esclaves ont été mises en place. Les esclaves évadés seraient traqués et renvoyés (souvent pour une récompense). Il y a également eu de nombreux cas de pauvres vendant leurs enfants à des voisins plus riches comme esclaves en période de difficultés.

04/2022

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Non classé

Le Christianisme et l'Empire Romain de Néron à Théodose

Dans cet ouvrage passionnant et richement documenté, l'historien et archéologue français Paul Allard nous livre des éléments historiques de premier plan sur une période alors méconnue des historiens et théologiens : les quatre premiers siècles de la chrétienté.

02/2022

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Généralités

Un épisode de l'Histoire de l'esclavage des États Unis

"La Révolution française et l'enseignement national 1789-1802" du chanoine E. ALLAIN offre une plongée captivante dans les transformations radicales du système éducatif français durant la période révolutionnaire. Cet ouvrage, qui s'inscrit dans la catégorie des "Livres d'histoire" , retrace avec précision les étapes cruciales de la refonte de l'instruction publique, depuis les débats de l'Assemblée constituante jusqu'aux réformes du Consulat. L'auteur analyse minutieusement les projets éducatifs des grandes figures révolutionnaires, notamment le plan Condorcet de 1792, qui prévoyait un système d'éducation laïque et égalitaire. Il met en lumière les tensions entre les partisans d'une rupture totale avec l'ancien système et ceux qui préconisaient une approche plus modérée. Cette réflexion sur la laïcité et l'égalité dans l'éducation fait écho aux débats contemporains, plaçant cet ouvrage dans la lignée des "Essais politiques" incontournables. ALLAIN détaille les réalisations concrètes de la Convention, comme la création des écoles centrales en 1795, tout en soulignant les obstacles rencontrés : guerre, crise financière et pénurie d'enseignants. Il examine ensuite les changements apportés par Bonaparte, notamment la loi du 1er mai 1802, qui réorganise l'enseignement en instaurant les lycées et en redéfinissant le rôle de l'Etat dans l'éducation. Ce livre offre une perspective unique sur la naissance de l'école républicaine, mettant en évidence les racines historiques de notre système éducatif actuel. Il s'adresse aussi bien aux passionnés d'histoire qu'aux professionnels de l'éducation, constituant une référence dans la catégorie des "Ouvrages pédagogiques" .

03/2025

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