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Histoire internationale

Bakari II (1312) et Christophe Colomb (1492). A la rencontre de Tarana ou l'Amérique

Bakari II, empereur du Mali, a accompli en 1312 le voyage transatlantique d'exil dont il ne devait pas revenir. Ce voyage de découverte et de conquête est rapporté par l'historien arabe El Omari en 1324, dans son Kitaab. Bakari II ouvre ainsi la voie à la navigation européenne et à Christophe Colomb, familier de la navigation africaine. Ils ont ainsi ouvert les portes de la mondialisation amorcée par l'expansion des conquêtes musulmanes et l'essor des sciences.

11/2014

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Histoire internationale

L'Afrique, enjeu de l'histoire. Afrocentrisme, Eurocentrisme, Sémitocentrisme

L'Afrique, enjeu de l'histoire: Afrocentrisme, Eurocentrisme, Sémitocentrisme et les deux ouvrages précédents Tarana ou l'Amérique précolombienne: un continent africain et Bakari II 1312, Christophe Colomb 1492 à la rencontre de l'Amérique appartiennent à une même trilogie. Ils prennent en compte les acquis exposés dans La révolution ramakushi ou l'archéologie linguistique et culturelle de la préhistoire spirituelle et intellectuelle de l'humanité sur la planétarisation récurrente de la terre opérée par la navigation transocéanique et la mondialisation à partir des XIIIe-XVe siècles, d'une histoire partagée de l'humanité. Il s'agit de travaux qui portent, en particulier, sur le passé des civilisations et des navigations nilo-transatlantiques. Celles-ci ont commencé à prendre forme dès la préhistoire, sous l'action des navigateurs et migrants natifs africains, qui ont emprunté les corridors balisés par les vents et courants du Nord et du Sud équatorial, menant des côtes africaines aux terres de l'Outre-Atlantique et du Pacifique américain. Ces civilisations maritimes se révèlent aujourd'hui, des deux côtés de l'océan, à travers des réseaux portuaires, des zones de débarquement, des aires de peuplement, des métropoles spirituelles et politiques, des espaces de pouvoir royal et impérial parfaitement identifiés, grâce à une archéologie linguistique et culturelle, systématiquement mise à jour pour la première fois. C'est grâce à ces données et à la problématique qu'elles justifient que s'organisent ici la lecture critique et le débat continué sur l'appropriation de l'Histoire que réouvrent un certain nombre de publications dont: Black Athena: The Afroasiatic Roots of Classical Civilization de Martin Bemal ; Black Athena Revisited, édité par Rogers Mac Lean et Mary Lefkowits et publié en 1996, par Chapel Hill, à Londres ; Afrocentrism: Mythical Pasts and Imagined Homes de Stephen Howe, publié à Londres en 1990; Afrocentrismes: L'histoire des Africains entre Egypte et Amérique édité par J. P. Chrétien, E-X Fauvelle-Aymar et H Perrot. Cette controverse qui peut paraître obsolète est un phénomène dormant, qui se réveille par intermittence. Les données inédites qui sont avancées dans ce livre et la trilogie à laquelle il appartient, visent à élargir les perspectives.

05/2010

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Histoire internationale

Tarana ou l'Amérique précolombienne un continent africain

Tarana ou l'Amérique précolombienne, un continent africain, comme Bakari II (1312) et Christophe Colomb (1492) à la rencontre de l'Amérique publié en 1992 et L'Afrique, Enjeu d'Histoire, appartiennent à une même trilogie. Celle-ci porte principalement, et de propos délibéré, sur la planétarisation de la Terre, la mondialisation de l'Histoire, sur le passé des civilisations et des navigations nilo-transatlantiques permanentes. Elles ont commencé à prendre forme dès la Préhistoire, sous l'action des navigateurs et migrants natifs africains qui empruntent les corridors balisés par les vents et courants du Nord et du Sud Équatorial, menant des côtes africaines aux terres de l'Outre-Atlantique et du Pacifique américain. Ces civilisations maritimes se révèlent aujourd'hui, sous nos yeux, des deux côtés de l'Océan, à travers la géographie historique encore omniprésente et l'onomastique des noms yoruba, mandeng, lebu wolof, bantu, namib, numides, méditerranéens, ghanawa, soninke, tunca, inca, kumashi, akan, de territoires et de populations ; la cartographie des réseaux portuaires utilisés, des zones de débarquement, des aires de peuplement, des métropoles spirituelles et politiques, des espaces de pouvoir royal et impérial, parfaitement identifiés, grâce à une archéologie linguistique et culturelle, systématiquement mis à jour pour la première fois. La publication de la Révolution Ramakushi ou l'Archéologie linguistique et culturelle de la Préhistoire spirituelle et intellectuelle de l'Humanité, dont les découvertes alimentent la trilogie nilo-transatlantique, constituait une invite à inventer non seulement la Préhistoire ou l'Antiquité, mais " une nouvelle Histoire ", libérée des préoccupations et des dérives idéologiques qui l'obscurcissent. Tarana ou l'Amérique précolombienne, un continent africain renouvelle et refonde par ses découvertes un chapitre important de l'Histoire. Il marque une rupture définitive avec un américanisme qui a longtemps récusé ses origines véritables, du fait des enjeux que porte son histoire, depuis la conquête à partir de la fin du XVIe siècle des terres d'Outre-Atlantique par les nations et les migrations européennes. Ceci dit, cet ouvrage relève dans les faits et les intentions, par-delà les remises en question et la refondation qu'il suggère, d'une approche qui, d'un point de vue de l'histoire comme science, convie au seul débat de rigueur.

03/2010

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Ethnologie

Cheikh Anta Diop et l'Afrique dans l'histoire du monde

Ce livre introduit et commente succinctement la vie et l'oeuvre de Cheikh Anta Diop, auteur de Nations Nègres et Culture, considéré comme un texte majeur dans la renaissance du monde noir, et de Civilisation ou Barbarie. A travers ses ouvrages, Cheikh Anta Diop réinvente, au coeur des luttes de l'après Seconde Guerre mondiale, l'antiquité négro-pharaonique à la suite du jamaïcain Edward Wilmot Blyden et de Marcus Garvey. Il prend ainsi position contre le courant dominant des historiens et universitaires de la période coloniale. Ce livre a pour ambition de fournir des repères aux intellectuels, aux étudiants et à un public plus populaire qui désirent étudier son oeuvre. Ils y découvriront un grand Africain qui, dans le monde politique, renvoie à lui-même, à Paul Robeson et à Nelson Mandela et, dans le monde artistique, à Thelonius Monk qui avait sa carrure et sa gestuelle.

11/1997

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Histoire internationale

De la République de Félix Eboué à la Françafrique de Charles de Gaulle. Un siècle de mésaventures africaines

L’Afrique et sa partie subsaharienne délibérément balkanisée sur un demi-siècle par la Françafrique tentaculaire doivent régler leurs ultimes contentieux. Cette démarche suppose que l’on dresse, comme cet ouvrage tente de le faire, le bilan d’un échec programmé. La République dont a rêvé Félix Eboué aura été impuissante face à la montée de la Françafrique. Ce bilan est le repère sans lequel on risque d’occulter les enjeux et les tâches qui incombent aux générations, de l’Afrique à construire.

11/2015

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Religion

L'Islam africain face à la Sharia orientale. Penseurs et islamologues

Dès ses origines, l'Islam africain s'est constitué en toute liberté, en relisant et en interprétant le Coran avec ses Mara, ses Marabat, ses Marabouts, ses Madiba, ses Modibo, ses Moriba, ses Thierno et ses Serignes, guides religieux préislamiques convertis. Il s'est tôt forgé historiquement, en ses propres termes, dans l'espace subsaharien et ses empires souverains. Il a pu le faire en toute indépendance jusqu'à l'époque des conquêtes coloniales européennes et des Jihaad du XIXe siècle. Il a pris contenu, forme et spécificité, eu égard aux traditions monothéistes très anciennes dont il héritait sur le terrain. Il l'a pu, du fait de la qualité de ses contextes culturels et civilisationnels de tradition non orientale et non arabe. Cette autonomie spirituelle, intellectuelle, linguistique et historique féconde, dont témoigne une recherche avertie, a survécu au niveau du peuple comme des élites. Elle a, à ce jour, conféré à l'Islam africain son originalité, son dynamisme et sa spécificité, au coeur de ses confréries elles-mêmes. Elle lui donne, aujourd'hui, cette autorité et cette indépendance qu'elle se doit de préserver dans un monde spirituel et géopolitique en crise, porteur de violences et de pur hégémonisme qui s'exportent. L'Islam africain face à la Sharia orientale traduit, à nouveau, un effort qui inscrit la présence islamique, dans cette tradition spirituelle et religieuse, dont rendait compte notre traduction en wolof du Coran. Cette traduction datée de plus de quarante ans avait été précédée sur ce thème et ces préoccupations, par notre recherche consacrée au Pouvoir politique traditionnel en Afrique noire. Cet ouvrage, antérieur à notre traduction du Coran, était en effet consacré au rôle de l'Islam dans l'évolution des institutions en Afrique. L'Islam africain face à la Sharia orientale s'inscrit dans cette continuité.

11/2015

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