Parcoursup Réussir son projet de formation motivé

Le lundi 22 avril 2013, Fontaine O Livres organise une journée de formation sur les relations presse, orchestrée par Daphnée Gravelat, attachée de presse dans le secteur du livre et de l’édition indépendante et responsable des relations presse du Salon du livre de Paris.

Les participants verront comment assurer la promotion de leur maison d’édition et de leurs livres, asseoir leur réputation, rassurer les libraires, s’assurer une meilleure mise en place dans tous les lieux de diffusion, de manière rapide et efficace.

Cette formation est ouverte aux éditeurs et salariés dans le domaine de l’édition, aux chargés de communication et attachés de presse.

• Déterminer le potentiel presse de sa maison, de ses livres et de ses auteurs : quels livres, quels auteurs mettre en avant ?

• Identifier sa cible presse : quels journalistes pour quels livres ?

• Rédiger un communiqué de presse efficace,

• Choisir les outils presse les plus adaptés : mailing, téléphone, rencontres…

• Gérer son planning presse : faire les bonnes actions au bon moment,

• Mettre en valeur ses retombées presse.

PROGRAMME

I. Préparer de bonnes relations presse

Déterminer son potentiel presse

Quel livre, quel auteur de la maison est le plus à même de susciter l’intérêt des médias ?

• Sur quoi communiquer ?

Identifier sa cible presse

• Quels journalistes pour quel livre ?

• Vers qui communiquer ?

Rédiger un communiqué de presse efficace

• Comment réaliser un document de communication qui réponde au mieux aux besoins des journalistes ?

II. Les étapes d’une relation presse réussie

Choisir les outils presse les plus adaptés

• Quel medium utiliser pour atteindre les journalistes ?

• Que penser du fameux mailing ? Est-il nécessaire d’appeler, de rencontrer les journalistes ?

Bien gérer son planning

• Quand contacter les magazines «long délai », les hebdos, les quotidiens, les programmateurs radio ou télé ?

• Est-il nécessaire de relancer et à quelle intervalle ?

Mettre en valeur ses retombées presse

• Comment mettre en valeur une coupure de presse afin d’en obtenir d’autres ?

• Comment transformer les retombées presse en ventes en librairies ?

COÛT ET PRISE EN CHARGE

TARIFS

Entreprise 400 € ht  / Adhérent à Fontaine O Livres 350 € ht / Individuel 300 € ttc

Ce coût peut être pris en charge par votre organisme collecteur de formation professionnelle.

MODALITÉS PRATIQUES

Durée 7 heures

Dates le 22 avril ou le 30 septembre 2013, de 9h30 à 17h30.

Lieu Fontaine O Livres

Usine Springcourt, 5 Passage Piver, 75011 Paris

Renseignements / Inscriptions :

Gioia Sartini

Tél. : 01 75 43 32 36 / 01 43 14 03 94
Mail : formations@fontaineolivres.com

www.fontaineolivres.com

Le texte de réforme sur la formation professionnelle, qui prévoit notamment la création d'un fonds destiné à la sécurisation des parcours professionnels, pourrait, selon le projet de loi, « permettre à chacun de progresser d'au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle » a été adopté hier par l'Assemblée nationale. Le texte est passé avec 311 voix (UMP et Nouveau Centre) contre 175 (PS, PCF et Verts). Reste à passer devant le Sénat.

Pour Claude Goasguen (UMP), dont les propos sont rapportés par l'AFP, « c'est un bon texte » permettant la « transparence » et « d'aboutir à une qualité » de la formation professionnelle, ajoutant que « contrairement à ce qu'ont dit nos amis socialistes, il n'y pas de remise en cause de la primauté des régions sur la formation professionnelle, il y a simplement une coordination qui fait privilégier le problème de l'emploi sur les autres attributions de la formation professionnelle ».

Pourtant, le projet de loi adopté est encore loin de faire l'unanimité. Côté socialiste on regrette évidemment ce vote. Pour Michel Issindou, cité par l'AFP, « la montagne va accoucher d'une souris », car ce texte est « très éloigné de l'accord » signé en janvier 2009 par tous les partenaires sociaux.

Mais le plus gros point suscitant la critique repose sur la négligence du rôle des régions. Pour les socialistes, ce texte marque « un retour en force de l'État dans tous les rouages » et la « défiance envers les régions ». Comme le précise Michel Issindou, « en mettant sous tutelle les régions et les partenaires sociaux, vous recentralisez la formation professionnelle avec une ambition à peine dissimulée au cours des débats de créer un grand service public emploi-formation autour de Pôle emploi, dont on connaît les limites actuelles ».

Mais les parlementaires de l'opposition ne sont pas les seuls à le regretter. Du côté des régions, le texte est évidemment très mal accueilli.

« Derrière des intentions partagées par tous, comme former plus ceux qui en ont le plus besoin et simplifier un système d'une grande complexité, se cachent une volonté de l'État de procéder à un “hold-up” sur les fonds de la formation professionnelle, au détriment des partenaires sociaux et des régions », a estimé Jean-Paul Huchon (PS), président du conseil régional d'Île-de-France, dans un communiqué.

Déjà avant l'ouverture des débats parlementaires, le président socialiste de la région Limousin, Jean-Paul Denanot, dénonçait « un rendez-vous de réforme raté », empirant la « situation balkanisée des financements. (...) La loi n'a pas osé mettre en place une gouvernance régionale ». En effet, le texte oblige les Régions à soumettre leur Plan régional des formations professionnelles (PRDF) au préfet de région ou au recteur d'académie, autrement dit aux représentants de l'État.

 Pour l'Association des régions de France (ARF), l'adoption de ce texte est « un nouvel accroc à la décentralisation ». Dans son communiqué, l'ARF estime que « la proximité est un facteur indéniable d'efficacité dans la politique d'emploi et de formation. (...) Compte tenu de leurs connaissances du tissu des entreprises régionales et de leurs besoins en qualification, elles prônent la création, et le pilotage par la région, d'un grand service public régional de l'orientation, de la formation et de l'emploi ».

Il incombe aux sénateurs, représentants des collectivités territoriales, de trancher sur ce texte et sur le rôle des régions.

Premier livre français de l’entrepreneur Miguel Vigneres sur le thème de la réussite.

Entraîné pour réussir propose une nouvelle méthode de lecture qui vous achemine au final à la réussite de vos rêves et objectifs.

Cette ouvrage d’une composition de 112 pages est proposée au

Entraîné pour réussir comporte 4 grands thèmes qui sont « Entraîné son mindset ; Développer son éducation financière ; Un enseignement sur le monde de l’entreprenariat ; L’émergence d’une nouvelle industrie en pleine expansion. »

Le voyage pour la réussite peut être démarrée à tout moment et il est composée de 15 chapitres.

L’ouvrage est prévu pour les personnes ambitieuses, les futurs entrepreneurs et les entrepreneurs. C’est pour cela que sa composition est courte et impactante.

Des conseils, des réflexions, des idées et des chemins à suivre sont proposées tout au long du livre.

A travers ce voyage de lecture, Entraîné pour réussir se veut le fil d’ariane de la réussite, le but étant de renforcer la confiance des lecteurs dans leurs projets, dans leurs objectifs et aussi permettre de faire émerger de nouvelles idées, et une nouvelle éducation financière.

A propos de l’auteur de Entraîné pour réussir :

Miguel Vigneres est le fondateur et le PDG de l’entreprise française de conseils sur le marketing relationnel. Il est expert dans ce domaine et propose des formations aux networkers français.

Il y a quelques semaines, une actualité a fait le tour du monde.

Trois jeunes filles noires du New Jersey, et, n'en pouvaient plus de voir leurs amies et elles-mêmes ne pas se retrouver dans les textes de littérature jeunesse à leur disposition. De façon assez amusante, les trois jeunes lectrices en avaient assez de « lire des histoires avec des garçons blancs et des chiens. »

Ainsi, Marley Dias à eu l'idée de mener un projet « où les filles noires seraient les personnages principaux des livres, et pas des personnages secondaires, ou mineurs » et Marley de continuer : « Pour les jeunes filles noires aux États-Unis, le contexte est primordial – pour se retrouver et disposer d'histoires qui reflètent des expériences au plus près de ce qu'elles vivent avec leurs amis ».

L'objectif premier était de récupérer un millier de livres pour pouvoir ainsi les redistribuer dans les écoles de Retreat, et la Junior School and Library de St Mary en Jamaïque, la ville d'origine de la mère de Marley.

Bonne nouvelle ! Le projet #1000BlackGirlBooks et les jeunes filles ont réussi leur pari. Le plafond des 1000 livres a été atteint. Bien entendu, le projet a été extrêmement bien relayé par les médias, Marley a été invité dans l'émission la plus populaire des États-Unis, le Ellen Degeneres Show et a fait sensation.

Plus encore, le libraire américain Barnes & Nobles a fait des dons de livres, différents donateurs ont également envoyé des livres, mais également plus de 13 000 dollars de soutiens.

Marley aspire à ce que les dons continuent pour les offrir à différentes écoles dans le besoin.

Cette sévère absence de héros noir dans la littérature jeunesse revient régulièrement dans le débat. En juin 2013, le site Les Histoire Sans Fin faisait déjà état de l'agacement de plusieurs auteurs qui faisaient eux aussi cet amer constat.

L'auteure Tanya Byrne, métisse anglo-guyanaise disait à l'époque : « Je suis tellement habituée à lire des livres où les personnes ne me ressemblent pas, que je dois faire avec ».

De même, Malorie Blackman, très engagé dans ce combat relevait également une anecdote qui lui était arrivé et qui avait été ainsi une forme d'accélérateur dans sa carrière d'auteure : «Je me souviens être allé dans une librairie et le seul livre que j'ai vu avec un enfant noir sur la couverture était Un voleur dans le village (Gallimard jeunesse) de James Berry et j'ai pensé : « Est-ce encore l'état de l'édition aujourd'hui ? » […] C'était une des raisons majeures pour moi de vouloir écrire des livres pour enfants parce que je voulais écrire tous les livres que j'avais ratés quand j'en étais une ».

Toujours en 2013, La CCBC (Cooperative Children's Book Center), organisation américaine liée à l'Université de Wisconsin-Madison éditait cette étude : sur 3600 livres publiés en 2012, 3.3 % parlaient de Noirs Américains, 2.1 % d'Asiatiques, 1.5 % de Latinos, et 0.6 % d'Indiens.

Et en France ? Bonne question…

O tempora, o mores, s'écriait le grand orateur Cicéron, qui en dépit du pois chiche atroce qui défigurait son visage de nanti, ne devait de toute façon pas être très beau à voir... O Époque infâme, ô moeurs dégénérées : comment peut-on oser publier un livre pareil ? Qui incite à la débauche méticuleusement préparée ; qui entrevoit la logistique de pareille épreuve comme un chef d'armée de naguère dresse sous sa tente le plan de bataille ; comme un architecte prépare le pont qui reliera deux rives ; comme un ouragan qui passait sur moi...

Euh. Non, problème de synchronisation.

Osez coucher pour réussir est non seulement un petit livre fort bien fait, discret à ranger et riche de mille conseils et avis qui feront de vous la bête... non de sexe, mais de manipulation et d'ambition, qui se donne tous les moyens pour parvenir à ses fins.

Riens de vulgaire ni de choquant, d'ailleurs le petit dessin humoristique de couverture donne le ton, puisqu'à travers des récits, des témoignages et des analyses, on vous propose d'examiner les comment, les pourquoi, les finalités d'une telle pratique, qui se doit d'être méticuleusement organisée.

On ne regrettera que les dessins qui à l'intérieur font sinistre figure d'une part, en regard de la couverture dessinée pour Arthur de Pins, et surtout par leur rareté. Bah, faut imaginer que l'on vient plus pour le texte que pour le sexe... Dans tous les cas, ce petit livre est plein d'humour et ne devrait pas manquer de plaire : ouste les scrupules et la conscience, le monde est à vous.