Orianne Lallemand, Eléonore Thuillier, Frédérique Giraud, Nathalie Cura

Le Loup le plus rigolo du monde débarque à Atout Livre !

#FBM18 - Adaptée des livres à succès d’Orianne Lallemand et d’Éléonore Thuillier aux éditions Auzou, la série d'animation Loup met en scène le célèbre personnage, un des plus reconnaissables du catalogue de la maison française. Coproduite par Samka Productions et TF1, la série d'animation sera diffusée à partir du 21 octobre 2018.

Les plus jeunes auront un espace qui leur sera entièrement dédié : le Café des Enfants, animé le samedi par Le Cafézoïde et le dimanche par Le Café des Merveilles. Les enfants seront bien entourés ! Cet espace créé spécialement pour eux aura comme invité d'honneur la tunisienne Eléonore Thuillier, co-auteure avec Orianne Lallemand du livre Le loup qui voulait changer de couleur (Auzou, 2009), dont les ventes ont cartonné !

À seulement quelques jours du premier tour des présidentielles, émerge un candidat tout à fait original : le fameux héros jeunesse LOUP ! Dans ce nouvel album écrit par Orianne Lallemand et dessiné par Eléonore Thuillier (éd. Auzou), Le loup qui devenait chef de la forêt, nous suivons les aventures de Loup et ses amis. Un départ en campagne pour élire le futur chef de l'État...

Dernière publication d’Orianne Lallemand et Eléonore Thuillier, Le Loup qui voulait aller à l’école accompagne les écoliers pour la rentrée. En librairies depuis le 20 août, l’ouvrage vient de réaliser un démarrage, cartable sur le dos, sur les chapeaux de roue : plus de 10.000 exemplaires, en l’espace d’une dizaine de jours. Qui s’ajoute aux 7,5 millions d’exemplaires écoulés depuis la création en 2009 du personnage.

Eleonore ZuberLorsque...

Sur un banc, quelque part face à la mer, Anatole et Jeanne échangent des bribes de leur passé, après une rencontre improbable.

Rencontres / Débats - Mercredi 18 septembre 2013 à 19h30 - A la librairie

BONNES FEUILLES - Elle sait que cette âme slave rêve d’un prince russe, un peu paysan, à la Tolstoï, et elle voudrait le lui trouver. Chroniques d’une enfance bohème et douloureuse entre une fille et sa mère, diva internationale.

Enseignant reconnu et titulaire de la chaire d'Histoire de la création artistique, Jacques Thuillier est décédé le 18 octobre dernier, à Paris. Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a tenu à saluer la disparation de cet historien des arts.

C’est dans le cadre majestueux de l’arrière pays grassois que ce situe ce cinquième roman de Frédérique Longville.
Des aléas professionnels ont poussé Sophie et Martin à quitter la ville pour s’installer dans les collines avec leurs deux enfants, Pamina et Faustin, optant volontairement pour une vie simple, plus conforme à leurs valeurs personnelles.
Si les difficultés s’invitent rapidement dans le quotidien des Fabrègues, pas question pour eux de revenir en arrière. Leur avenir est désormais dans une vie proche de la nature, visant à l’essentiel, à l’écart de la ville. La simplicité volontaire, tel est leur nouveau credo. Rebelles des temps modernes, leurs choix de vie ne sont pas toujours bien vus, mais qu’importe ? Le bonheur pour eux est à ce prix, dans une marginalité choisie et assumée.
Peu à peu, autour de Martin et Sophie se tisse un réseau d’autochtones, bien décidés comme eux à privilégier l’Être plutôt que l’Avoir, en remettant au goût du jour les valeurs humaines telles que l’entraide, l’échange et le partage. Un petit groupe qui revendique le droit à la différence et à une éducation respectueuse de l’individu, des « moutons noirs » qui dérangent et bousculent les certitudes.
« Être soi, ce que l’on a envie d’être sans sacrifier aux modes, aux directives politiques, non pour plaire à autrui mais pour se faire du bien, se plaire et contribuer à bâtir un monde où chacun aura sa place, tel est le but vers lequel devrait tendre toute existence. »

Les lecteurs du comité de lecture des « Nouvelles Plumes » parlent des moutons noirs :

« J'ai commencé cette histoire et je n'ai arrêté que quand je l'ai eu fini. Entre rires et pleurs, je pris un réel plaisir à rentrer dans l'histoire de cette famille. Un pur bonheur. » Emily R
« Bon rythme tout le long, des thèmes d'actualités… » Véronique H
« Des personnages bien campés, modernes, justes » Liliane L
« L'ambiance du village, de l'école, les cancans sont évoqués avec réalisme, que ce soit en Provence ou ailleurs. »… « Les larmes de Pamina à la sortie de l'école m'ont replongée 35 ans en arrière ». Evelyne S
« J'ai beaucoup apprécié et presque envié leur façon de vivre ! » Véronique H
« Un livre qui montre que la différence ne doit pas faire peur… » Elisabeth L

Bien loin de vivre aussi isolée de ses semblables que le sont les personnages de son roman, Frédérique Longville vit dans les Pyrénées Orientales depuis 1998. Outre l’écriture, elle se passionne pour les activités privilégiant le contact avec la nature. Confortée par la lecture des livres de Pierre Rabhi (« Vers la sobriété heureuse ») et de Frédéric Lenoir (« Petit traité de vie intérieure »), pour ne citer qu’eux, Frédérique Longville a imaginé cette histoire pour illustrer son message : c’est à nous, les obscurs, les sans-grades, de prendre les choses en main et c’est par nos petits gestes quotidiens que nous parviendrons peut-être à retrouver un mode de vie harmonieux où chacun aura sa place sans rien détruire autour de lui. Certains diront que les adeptes de la Simplicité Volontaire ne représentent qu’une goutte d’eau dans la mer et que ce n’est pas ce qui va changer le monde… Peut-être, mais « si nous n’agissons pas, cette goutte d’eau ne se rendra pas jusqu’à l’océan », disait Mère Teresa. Alors résistons !

Ce dimanche 29 mai 2011 s’est déroulée au Château de Chamerolles (Loiret) la “Fête de la nouvelle” réunissant auteurs, comédiens, danseurs, musiciens, marionnettistes, mimes et la grande famille des lecteurs !

Il suffit de regarder un dessinateur de bandes dessinées à l'œuvre pour (presque) se convaincre que dessiner, c'est facile. Lorsqu'il dessinait Blueberry, Moebius se faisait appeler Jean Giraud. Mais le talent reste le même.

A l'heure des sms, e-mails et autres messageries instantanées, ce roman épistolaire contemporain pourrait sembler désuet et hors propos. Il n'en est rien. Au contraire, ce drame familial dévoilé à travers les lettres de deux protagonistes traduit avec brio les relations compliquées entre générations, les dégâts irrémédiables que non-dits et rancœurs enfouies peuvent entraîner, la difficulté d'être parent, la douleur de vieillir, la séparation, le remords et les examens de conscience ravageurs,  mais aussi la haine et l'amour.

Février 2021, coup d'éclat de Frédérique Vidal : l'ex-ministre de l’Enseignement supérieur annonçait à l’Assemblée Nationale une enquête portant sur ce qui « relève du militantisme et de l’opinion » dans le milieu universitaire. Avec pour cible le fameux “islamo-gauchisme”. Or, Le Monde a obtenu la copie d’un document du ministère de l’Enseignement supérieur, qui dévoile en fait un fumeux coup de com'. 

La Librairie francophone Albertine, à New York, dévoile les grands gagnants de son Prix Albertine Jeunesse, sélectionnés parmi des œuvres francophones traduites en langue anglaise, catégorie littérature jeunesse. Les ouvrages participant à ce prix ont comme point commun le thème « grandir ».

Le Prix Landerneau Jeunesse est, dans l’année, le cinquième des Prix littéraires remis par les Espaces Culturels E. Leclerc. Il sera remis le mercredi 28 octobre par Daniel Picouly, président du jury aux côtés de Michel-Édouard Leclerc, à l’auteur ou illustrateur francophone d’un album alliant qualités graphiques et éditoriales tout en étant porteur de messages contribuant à initier l'enfant à la découverte du monde et de soi.

Léonore Confino est à l'origine du scénario des Bonnes intentions avec Gilles Legrand, également réalisateur du film qui réunit Agnès Jaoui, Alban Ivanov ou encore Tim Seyfi à l'écran. La dramaturge et actrice a notamment signé Le Poisson belge et 1300 grammes.

Depuis ses déclarations sur l'islamogauchisme qui gangrènerait les universités, les appels à la démission de la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal se multiplient. Et pour cause, tant la polémique ressemble à un écran de fumée pour masquer la détresse des étudiants et la faiblesse des budgets universitaires. Des comités de rédaction de revues de sciences sociales se joignent désormais à la fronde contre Frédérique Vidal.

Prix du livre Inter 2009 : Traques de Frédérique Clémençon

Rencontres / Débats - Mercredi 4 avril 2012 à 18h30 - A la librairie

Luc Besson fait des films, mais comme il aime beaucoup les belles idées et les bonnes histoires, il s'est décidé un jour à créer Les Editions Intervista. Quelques années plus tard, il demande à Constance Joly-Girard de prendre en main le département jeunesse…

Nathalie Maitenaz vient d’intégrer les équipes des éditions Milan, pour reprendre la direction littéraire du pôle Fiction, jusqu’ici assurée par Charlotte Mériaux, qui quitte l’entreprise. 

Le traducteur, interprète et auteur Robert Giraud est décédé le mercredi 1er janvier 2019 à l'âge de 83 ans. Traducteur de russe, ayant vécu dix ans en Russie, il a publié, en 2001, le guide Moscou et sa région dans la série "Vacances secrètes" des éditions Arthaud et, destiné à la jeunesse, en 2007, l'ouvrage Aujourd’hui en Russie, aux éditions Gallimard jeunesse. 

BONNES FEUILLES - En un récit tendu qui agit comme un véritable compte à rebours, Brigitte Giraud tente de comprendre ce qui a conduit à l’accident de moto qui a coûté la vie à son mari le 22 juin 1999.

Frédérique Berthet se voit décerner, par Le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), le Prix du livre de cinéma 2018 pour La Voix Manquante, publié aux éditions P.O.L. Le prix est doté de 10.000 € : une somme de 5 000€ pour l’auteure et 5 000€ versés à l’éditeur à des fins de promotion du livre primé.

Petite surprise de la rentrée, et petite coïncidence qui va faire parler d'elle l'an prochain. Deux auteurs publieront à six jours d'intervalle un roman. Rien, jusque-là, de réellement démentiel. Mais en y regardant mieux, ça risquera de coincer un peu.

La vente prévue autour du dessinateur de BD Jean Giraud, alias Moebius s'est achevée hier, dans la maison Articurial, avec une somme finale de 1.376.418 €. En plus des oeuvres de Moebius, étaient présentées quelques planches de Hergé, de Bilal, Franquin ou encore Hugo Pratt, le papa de Corto Maltese.