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Moscou, Caucase Eté 1934. Lettres du voyage en URSS

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Dossier

Hold-up 21: Un voyage littéraire et photographique du désir

Vingt femmes extraordinaires, couvrant des horizons aussi vastes que la réalisation, la poésie, le journalisme et la chorégraphie, se sont rassemblées autour d'une mission : revaloriser l'érotisme dans la littérature tout en intégrant les perspectives féministes actuelles.

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Dossier

Thorgal : Voyage à travers mythes, étoiles et vikings

La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave. 

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Dossier

Lettres du Monde : promouvoir les littératures et les cultures du monde

A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.

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Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

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Dossier

Romance et voyage dans le temps : Outlander, saga “kilt” de Diana Gabaldon

Et bien au-delà... Depuis sa première traduction en français en 1995, tout d’abord Aux presses de la Cité puis chez J’ai lu, la saga de Diana Gabaldon aura séduit plus d’un million de lecteurs tant en numérique qu’en format papier. Cette dernière a connu un incroyable renouveau avec son adaptation en 2014 sur Netflix – la sixième saison est attendue pour le 6 mars prochain. Une chose est sur Claire Randall et Jamie Fraser n’ont pas fini de se retrouver à travers le temps…

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Dossier

La Lettre Zola : entre tradition et innovation

Dans le paysage médiatique contemporain, où l'information est souvent consommée rapidement et en surface, La Lettre Zola offre une bouffée d'air frais. C'est une aventure littéraire qui se tient à la frontière entre tradition et innovation, offrant une nouvelle voie pour la littérature dans notre société numérique. Pour ceux qui souhaitent soutenir ce projet, les précommandes sont disponibles avec une livraison estimée pour janvier 2024.

Extraits

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Histoire internationale

Moscou, Caucase Eté 1934. Lettres du voyage en URSS

Eté 1934 : 591 écrivains dont 40 étrangers participent au Premier Congrès de l'Union des écrivains soviétiques patronné par Maxime Gorki. Parmi eux, cinq Français : Louis Aragon, André Malraux, Paul Nizan, Vladimir Pozner et Jean-Richard Bloch. Jean-Richard Bloch et sa femme Marguerite vont passer plusieurs mois dans l'URSS qui sort à peine de la terrible famine de 1932-1933. Le Congrès, le Festival théâtral de Moscou, et un périple dans le Caucase (Géorgie, Azerbaïdjan, Arménie) sont ainsi évoqués avec enthousiasme dans de longues lettres écrites à leurs proches. Des lettres préparées par la rédaction d'un carnet de notes tenu par Marguerite, qui joue le rôle de scripte du voyage plus encore que son mari. Publiées ici pour la première fois avec ce carnet qui met davantage en valeur les zones d'ombre du séjour, elles offrent un éclairage passionnant sur cet été 1934, sur la fascination pour l'URSS, sur les rapports entre intellectuels soviétiques et occidentaux, et sur les Républiques soviétiques du Caucase alors en plein bouleversement. Alors que Bloch repart en France quelques jours après l'assassinat de Kirov, ce double texte nous offre aussi la photographie d'un monde intellectuel soviétique à la veille d'être touché par les grandes purges staliniennes.

06/2019

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Russie

Cauchemar en URSS. Les procès de Moscou 1936-1938

Après la parution de son Staline (1935), Boris Souvarine publie un long article sur les deux premiers procès de Moscou (août 1936 et janvier 1937) où il s'interroge sur la logique de cette tragédie pseudo-judiciaire où les accusés s'accablent de tous les maux avant leur mise à mort. Au-delà de la mise en scène spectaculaire de ces procès et du sacrifice de personnalités connues, c'est bien l'ampleur de la répression dans toutes les strates de la société soviétique que symbolisent ces purges au sommet de l'Etat-Parti. A mesure que s'enchaînent les condamnations, Souvarine établit que le mensonge, aussi déconcertant soit-il, constitue dorénavant le fondement d'un univers politique où 2+2 n'est plus égal à 4.

11/2021

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Critique littéraire

En URSS. 1936

"J'ai longtemps hésité à publier ces pages de journal de mon séjour en U. R. S. S. Tout d'abord la crainte de compromettre des amis, en me contraignant à de nombreuses coupures, édulcorait si fort mon texte que je doutais que l'on pût y prendre intérêt. Enfin l'on trouverait là le reflet sans fard de mes impressions, de mon inquétude - et j'avais un extrême souci de ne rien livrer qui desservît l'Union soviétique au moment même où elle se préparait, peut-être, à triompher de ses erreurs.
Cette illusion, que les communistes s'entendent à entretenir, je l'ai trop passionnément partagée pour m'étonner que certains de mes camarades continuent à s'en nourrir". Pierre Herbart.

04/2008

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Psychologie, psychanalyse

Lettres. 1904-1937

Voici sans doute la dernière des grandes correspondances de Freud. Eugen Bleuler–l'inventeur du concept de schizophrénie, et d'autisme dans un autre sens que celui d'aujourd'hui – est le premier psychiatre universitaire à prendre au sérieux les thèses freudiennes, en les important dans la théorie et au Burghölzli, clinique psychiatrique de Zurich, qu'il dirige (où se forment Carl G. Jung, Max Eitingon, Karl Abraham, Abraham Brill, Ludwig Binswanger). Là, ensemble, chaque matin, les médecins analysent avec enthousiasme leurs rêves de la nuit – et, au vu de ce qu'ils y découvrent, ils interdisent à leurs épouses d'en faire autant... Bleuler fait une "psychanalyse" par lettres, avec Freud, et non sans résistance : il croit à l'expérimentation, veut des preuves, a du mal avec ses rêves, n'aime guère la sexualité, surtout inconsciente. Rien ne le prédispose à suivre la découverte freudienne, sinon son honnêteté intellectuelle et sa passion de soignant. Freud, de son côté, souhaite introduire la psychanalyse dans le champ de la psychiatrie et, parallèlement, la sortir de Vienne : Zurich deviendra le centre mondial de la psychanalyse, à la fois universitaire et clinique, jusqu'à la rupture avec Jung en 1912-1913. A l'arrière-plan de ces lettres et de leurs visées divergentes, se dessine l'histoire conflictuelle du mouvement analytique – création de l'Association psychanalytique internationale, dissension avec Jung, séparation de Freud et de l'école dite de Zurich. L'échange dure trente-trois ans, et il est plus étroit et vif que ce que l'on savait, entre deux hommes droits, passionnés, qui ont de fortes divergences. Au coeur du désaccord, le rapport ambigu que la psychiatrie entretient déjà avec l'analyse.

10/2016

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Critique littéraire

Lettres 1937-1943

Le 30 septembre 1937, Antonin Artaud, expulsé d'Irlande, est "débarqué" au Havre. Quelques jours plus tard, il est transféré à l'asile départemental d'aliénés de Seine-Maritime de Sotteville-lès-Rouen, dans le quartier hommes de Quatre-Mares. Les lettres qu'il rédige alors décrivent avec acuité le vécu d'angoisse et de désespoir d'un aliéné, masquant son identité sous des noms d'emprunt pour manifester toutes ses récriminations avec une énergie hors du commun qui le caractérisera tout au long de sa vie. Il est ensuite placé à Paris, à l'hôpital Sainte-Anne, le 1e avril 1938 ; il y demeurera jusqu'au 27 février 1939. Les lettres présentées confirment l'état pathologique d'Artaud, son obsession : sortir de ces lieux. Malgré ses conditions de vie et d'enfermement, il ne cesse d'écrire, de dessiner, et réclame sans cesse du papier. Après Sainte-Anne. Antonin Artaud est interné à l'asile de Ville-Evrard, où il demeurera jusqu'au 22 janvier 1943. La quantité et la qualité des documents qui sont présentés sont d'une imposante richesse sur l'état psychologique et physique d'Artaud, avec toujours cet impérieux besoin de s'exprimer malgré la maladie, les privations. Compte tenu de la misère régnant alors dans les asiles, qualifiée d'"extermination douce", et du danger que courait l'artiste, sa famille et ses amis vont réussir à obtenir un nouveau transfert pour l'asile de Paraire, à Rodez, en février 1943. Dans ce volume sont transcrites les lettres, dans leur graphie originale, qu'Artaud a rédigées entre 1937 et 1943. Nombreuses sont celles qui furent retenues par l'administration. A Roger Blin ou à André Gide, à Balthus ou au chancelier Hitler, Artaud lance ses invectives, ses suppliques et ses cris de souffrance. Ces écrits témoignent de la puissance d'une pensée fulgurante, météorique, prophétique, géniale dans ses possibilités d'expression et de création, un réservoir d'énergie inépuisable qui va oeuvrer toute sa vie, pour le conduire dans l'au-delà des rivages de la raison.

11/2015

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Récits de voyage

Carnet d'URSS. 1934

"Sait-on ce qu'on note en voyage ? des chocs utiles, les inspirations du moment, et le plus important, on croit s'en souvenir sans avoir à l'écrire. Quelques mots suffiraient à l'écrivain pour ressusciter l'épisode : le lecteur ne peut qu'y rêver. De plus, noter, comme prendre des photos, ennuie certains. Malraux n'est pas photographe. Alors, pourquoi l'anecdote ? Parce qu'elle attend qu'on lui donne un sens, qu'on la replonge dans l'eau profonde qui fait la littérature. Parce qu'elle est, dans les mémoires, ce qui ressemble le plus au roman, et que Malraux a un instant espéré être le romancier de la Russie, l'admirateur de Dostoïevski devenu son imitateur. Le roman que Malraux cherche à écrire, pourtant, il ne l'écrira pas. Il aura de plus en plus de peine à inventer une fiction : par une sorte de court-circuit, son imagination marche comme sa mémoire, et sa mémoire comme son imagination". Jean-Yves Tadié.

04/2007

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