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Morad Montazami, Ignatius Mabasa

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Pleased to meet you N° 13, février 2022 : Pleased to meet you Moffat Takadiwa. Edition bilingue français-anglais

" Présenter l'artiste comme une rock star " sert de boussole éditoriale à la collection Pleased to meet you qui souhaite offrir une approche la plus intime et inédite possible de l'artiste et de son oeuvre. Le choix du format " magazine ", à la structure plus libre et décontractée qu'un catalogue, est décisif pour susciter la proximité et l'empathie. Au fil des titres parus se dessine une galerie de portraits d'artistes singuliers, habités et inspirants. Le treizième numéro de la collection est dédié à Moffat Takadiwa, artiste né en 1983 au Zimbabwe, qui a rapidement acquis une importante notoriété sur la scène internationale de l'art contemporain grâce à ses sculptures de grande envergure réalisées à partir de rebuts. Après collecte et tri de déchets informatiques, bouchons plastiques, brosses à dents et tubes de dentifrice, réunis par formes et couleurs, toujours en très grande quantité, l'artiste tisse ensemble ces objets en de riches tentures. Suspendues aux murs, ces étoffes post-industrielles aux formes organiques atteignent par leur préciosité une aura d'objets totémiques ou ritualisés. Appartenant à la génération née après l'indépendance du Zimbabwe, Moffat Takadiwa traduit dans son oeuvre ses préoccupations liées aux questions de consommation, d'inégalité, de post-colonialisme et d'environnement. Mettant en pratique ses idées et convaincu que l'art peut servir de levier au développement de sa communauté, il prend une part active dans un espace culturel à Harare. Pleased to meet you Moffat Takadiwa, la première publication consacrée à l'artiste, rend compte de l'oeuvre au plus proche du processus à travers des vues de l'atelier et des gestes des assistants, de détails des sculptures et de photos d'exposition, sans oublier en arrière-plan un aperçu de l'effervescence de la scène artistique zimbabwéenne. Trilingue français, anglais et shona, la publication rassemble une variété de textes pour envisager les différentes facettes de l'oeuvre, depuis une dense interview avec le critique et commissaire d'expositions Morad Montazami jusqu'à un texte de fiction écrit par l'écrivain zimbabwéen Ignatius Mabasa.

01/2022

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Beaux arts

Manasa. Légendes de serpents indiens

La déesse des serpents Manasa, sculpture exposée au musée du quai Branly, est le point de départ d'un voyage en Inde. À partir des textes de Gita Wolf qui rassemble mythes et légendes hindouistes et bouddhiques sur les serpents, tanna Andréadis recrée un univers graphique fascinant, proche de l'abstraction. Imprimé en sérigraphie, fabriqué de manière artisanale en Inde, ce livre est le deuxième titre d'une collection dans laquelle Ianna Andréadis fait le lien entre les pièces du musée du quai Branly et leur pays d'origine, pour quatre continents Amériques, Afrique, Asie, Océanie. Le premier est consacré au Bestiaire aztèque (coédition avec Petra Ediciones, Mexique).

04/2010

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Beaux arts

Bagdad mon amour. Documents d'exposition, Edition bilingue français-anglais

Les " documents d'exposition " de Bagdad mon amour étudient l'art moderne et contemporain irakien, après les pillages de musées et de sites archéologiques survenus en 2003, avec la Deuxième Guerre du Golfe. Une investigation post-traumatique qui tente de repenser les archives et collections historiques à travers le musée sans murs propre aux artistes - mais aussi aux bases de données d'Interpol ou des archéologues. En s'emparant d'outils tels que l'inventaire, l'étude des monuments et des documents, ces artistes en ressortent avec des oeuvres inquiètes, mais prêtes à danser sur les ruines : des oeuvres qui portent en elles aussi bien le musée fantôme de l'Irak que son musée réinventé.

06/2018

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Littérature française

Le meilleur des jours

Après la mort de son père, Yassaman Montazami se réfugie dans l’écriture pour tenter de garder vive la mémoire de ce personnage hors norme. La drôlerie et la cocasserie des souvenirs atténuent peu à peu l’immense chagrin causé par sa perte. Né avant terme, condamné puis miraculé, l’enfant adulé par sa mère, qui jamais ne lui refusa rien, fut nommé Behrouz – en persan : « le meilleur des jours » –, un prénom prédestiné pour un futur idéaliste épris de justice et un pitre incapable de prendre la vie au sérieux. Envoyé en France pour y poursuivre des études qu’il n’achèvera jamais, il participe à sa manière aux événements révolutionnaires de 1979, au cours desquels l’Iran bascule de la monarchie à la République islamique, en faisant de son appartement parisien un refuge pour les Iraniens en exil. Leurs chassés-croisés entre Paris et Téhéran donnent à l’auteur l’occasion de brosser une multitude de personnages improbables et issus des milieux les plus divers : une épouse de colonel en fuite, fanatique d’Autant en emporte le vent, un poète libertin, mystique et interdit de publication, un révolutionnaire maoïste enfermé à la prison d’Evin, et même un ancien chef d’entreprise devenu opiomane. Évocation d’un monde aujourd’hui disparu, ce premier roman frappe par sa maîtrise et par l’acuité de son trait.

08/2012

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Documentaires jeunesse

Moral et pas moral

Lucie ne sait pas quoi faire. L'amoureux de sa grande soeur Clara veut savoir où est le journal intime de Clara. Lucie connaît la cachette, mais elle hésite. "Allez, sois gentille, qu'est-ce que tu risques ? Je le lis très vite, on le remet à sa place, elle ne le saura jamais puisqu'on ne lui dira rien". Pourquoi Lucie hésite-t-elle à dévoiler la cachette alors que l'amoureux de Clara lui promet des bonbons et un stylo 4 couleurs ? Pourquoi est-elle gênée ? Elle a envie d'aller chercher le journal et, en même temps, quelque chose la retient.

09/2013

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Littérature francophone

Les jumelles de la rue Nicolas. Marasa e yo

En Haïti deux demi-soeurs grandissent à l'ombre d'une femme sauvagement autoritaire, sous le regard fantomatique et fantasmé d'un père absent. Nées le même jour de deux mères différentes, elles se ressemblent étrangement. De Lorette ou de Claudette, laquelle est légitime ? Fortes du pouvoir de cette gémellité inexpliquée, les jeunes filles grandissent entre violence et sensualité, comme dans une lutte charnelle et viscérale menée pour s'extraire des carcans imposés à la fémininité par la religion et par la misère d'une île exsangue mais vigoureuse. La rue Saint-Nicolas est l'un de ces lieux qui enferment et qui scellent l'être à sa condition et dont il faut s'arracher, quitte à y laisser quelques lambeaux de peau et d'être. Comme une mise en abyme des migrations subies, ce récit schizophrénique plonge le lecteur dans les affres de la quête d'identité. Celle de ceux qui cherchent à prendre forme et dignité entre l'exil et le retour.

09/2022

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