Leslie Bedos

Les jurés du prix Wepler, n'y tenant plus, alors que la soirée de remise du prix doit se dérouler ce soir dans la célèbre brasserie, ont communiqué les noms des lauréats, pour cette édition 2012. 

En attendant une hypothétique série tirée du comic culte Watchmen, qu'avaient signé Alan Moore et Dave Gibbons, le dessinateur de la saga a donné aux fans de quoi s'impatienter. Il a ainsi révélé qu'une version annotée de ce monument de la bande dessinée était en préparation, signé par Leslie Klinger, spécialiste de Dracula, Sherlock Holmes et de l'analyse des œuvres littéraires, et Gibbons lui-même.

BONNES FEUILLES - Par quoi sommes-nous hantés ? Qu’est-ce qui nous définit mieux que ce qu’on désire, ce qu’on a perdu, ce vers quoi on tend sans jamais pouvoir l’atteindre – vies alternatives, relations brisées, morts, paysages habités par l’amour et la violence ?

Pas de Prix Nobel pour Leslie Murray, ni de maudite célébrité

Bien avant James Bond, créé en 1953 par Ian Fleming, il y avait Simon Templar, alias le Saint, apparu dans les livres de Leslie Charteris. Si le personnage a aussi eu droit à plusieurs films et séries, notamment celle des années 1960 avec Roger Moore, il avait disparu des écrans depuis quelques années. Paramount Pictures entend lui faire reprendre du service, et l'acteur Chris Pine serait pressenti pour le rôle.

Après deux journaux de chroniques mythomanes, Nicolas Bedos nous revient cette fois-ci avec un vrai récit. Celui de sa vie certes, mais un récit tout de même. Et ceux qui se diront « qu'est-ce qu'on en a à faire de la vie de ce mec ? » auront tort de ne pas lire La Tête ailleurs (Robert Laffont), un livre bien mené qui nous propose de revivre ces derniers mois sous un regard acide et drôle. 

A l'occasion de cette nouvelle rentrée, et dès le vendredi 30 août, Nicolas Bedos rejoindra la rédaction du magazine féminin Elle. L'acteur et dramaturge, attendu comme un « maudit garnement » par le périodique, promet d'ores et déjà à ses futures lectrices une chronique hebdomadaire « aussi chaude que l'été ».

La 26ème nuit des Molières revient cette année avec une retransmission sur France 2 le lundi 2 juin à partir de 22h15. La cérémonie qui se déroulera au sein des Folies Bergère sera diffusée avec un léger différé.

Intitulé A l’heure où noircit la campagne (Fayard, 162 pages, 16 €), en clin d’œil au poème de Victor Hugo « Demain, dès l’aube », le dernier livre de Guy Bedos vient apporter des jugements sévères sur les candidats à l’élection présidentielle. Agé de 82 ans, l’humoriste n’a pas sa langue dans sa poche mais se montre plutôt tendre avec Emmanuel Macron.

Affaire Siné : Bedos contre BHL, Siné dépasse les bornes ?

Ah on peut dire que l'humoriste a réussi son coup. Invité dans l'émission d'Alessandra Sublet, Un soir à la tour Eiffel, et sous le regard bienveillant de l'écrivain Nicolas Rey, il annonce la publication prochaine, chez Flammarion, d'un livre qui fera l'événement. Les serments déchirés, un titre racoleur au possible, qui ne raconterait rien de moins que sa liaison avec... Vélrie Trierweiler. Scandale ? Non, canular de premier ordre.

Alors qu'il était l'invité du Petit Journal sur Canal + mardi soir 19 novembre, l'écrivain Frédéric Beigbeder en a profité pour régler ses comptes avec Nicolas Bedos, rapporte Gentside. Il faut dire qu'au départ, les deux personnages faisaient partie des signataires de la pétition des 243 salauds en faveur du droit des hommes à faire appel aux services de prostituées.

« Touche pas à ma pute », le slogan avait tout du message publicitaire potache, de la provoc' facile et inconsistante. Bref, ça prenait tous les aspects du coup de promo, alors que la France réfléchit à sanctionner les clients des prostitué(e)s. Et pour accrocher, la référence aux 343 salopes, qui réclamaient le droit à l'avortement, était manifeste.

Guy Bedos publie Le Jour et l'heure chez Stock

Il fallait s'y attendre, le canular de Nicolas Bedos sur France 2 n'est pas passé inaperçu. Avec la complicité de l'animatrice Alessandra Sublet, l'humoriste était interviewé pour la publication prochaine d'un livre, Les serments déchirés, un ouvrage qui racontait sa liaison avec Valérie Trierweiler, ex-Première dame. Une provocation, qui, de l'aveu du comédien lui-même, n'était finalement qu' « une grosse connerie ».

L’humoriste Guy Bedos vient de s’éteindre, ce 28 mai, apprend-on de son fils, Nicolas. Né à Alger le 15 juin 1934, il est auteur de multiples ouvrages, compilant ses propres sketchs ou témoignant de son existence. 

Le très américain Explorers Club remettait le week-end dernier son prix Buzz Aldrin Space Exploration. Et c’est au grand patron d’Amazon, Jeff Bezos, qu’il a été remis pour son investissement dans la conquête spatiale. Jeff figure en effet parmi les milliardaires les plus enclins à convoiter les étoiles...

L'actuelle campagne de défense pour le droit au mariage entre personnes du même sexe, qui se déroule à Washington, vient de trouver un chevalier blanc pour le coup inattendu. Le patron de la cyberboutique, Jeff Bezos, a décidé d'investir 2,5 millions $. Zach Silk, directeur de la campagne, à Seattle, ne peut que se féliciter de cette nouvelle.

La société du grand patron d'Amazon, le libraire que les libraires voudraient voir dévisser, est désormais prête à entamer les tests pour des vols suborbitaux. Blue Origin, de son petit nom, est particulièrement fière d'annoncer que les travaux sur le moteur-fusée sont achevés. Prochaine étape : des vols à 100 km au-dessus de la terre, avec trois personnes maximum à bord...

Jeff Bezos écrit comme David Foster Wallace

Dans une interview accordée au magazine économique Fortune, le dirigeant d’Amazon relate la toute récente guerre des prix du livre numérique sur fond d’iPad. Et du haut de son empire jette un regard sur le devenir du livre.

C’est officiel : l’homme le plus riche au monde se retire de la direction du géant Amazon. Tout juste 27 ans après la création de cette entreprise – qui, on le rappelle, avait fait ses débuts dans un garage –, un vent de changement souffle sur son organisation. Et bien que Bezos ne soit plus exactement à la tête de Amazon, il gardera un œil sur son évolution, en tant que président exécutif, au sein du conseil d’administration.

Le fondateur d'Amazon appartiendrait-il à une espèce rare dans l'humanité, une sorte de monstre venu d'ailleurs ? C'est en tout cas de la sorte que Steve Yegge, ingénieur de chez Google - et ancien de chez Amazon, pour le coup - qualifie son ex-patron.

Le président François Hollande se rend donc aux États-Unis, première visite d'un chef d'État français depuis Jacques Chirac. Au programme, la rencontre avec Barack Obama, bien entendu, mais également le grand patron de Google. Les deux présidents ont, pour l'occasion signé une tribune, écrite à quatre mains (sans compter les plumes, évidemment). Dans ce texte, les deux hommes assurent que « l'avenir que nous voulons doit se mériter ». Louable. Or, la tribune est parue dans deux journaux, exclusivement, Le Monde en France, et le Washington Post outre-Atlantique. Personne ne sourcille ?

Depuis la semaine dernière, on sait que le département d'État américain, par l'intermédiaire de sa secrétaire Hillary Clinton, avait décidé de faire travailler Amazon, en achetant manifestement des Kindles à foison. Et vendredi dernier, un communiqué annonçait une conférence de presse réunissant Hillary et Jeff Bezos, le grand patron de la société. Ce 20 juin. Save the date ? Plus maintenant.

C'est avec un sourire gêné, dans ce cas de figure, que l'on préfère évoquer « des personnes proches du dossier ». Mais voilà, le Wall Street Journal dévoilait hier que la Justice américaine avait convoqué trois grands groupes éditoriaux américains : Hachette , Simon & Schuster et HarperCollins. Ce furent les trois premiers à accepter le règlement, lorsque le DoJ décida de mener l'enquête pour entente sur le prix des ebooks.

Cette semaine, le directeur du numérique chez Melville House et ancien libraire, Alex Shepard, a fait une découverte cocasse après avoir vu circuler sur Twitter la photo ci-dessous. Considérant le slogan Fuck Amazon, il s'est amusé à vérifier si la société de Jeff Bezos avait pris soin de se prémunir des actions de communication de ses détracteurs, en achetant la première ces noms de domaine risquant d'embarrasser, du type fuckamazon.com ou encore boycottamazon.com...

Dans une longue interview donnée au Business Insider, le patron d'Amazon a été amené à commenter à nouveau le conflit qui a opposé l'été dernier sa société avec le groupe d'édition Hachette aux Etats-Unis.

Fini, pour le milliardaire âgé de 57 ans : Jeff Bezos ne sera bientôt plus le CEO, laissant sa place à Andy Jassy, actuellement responsable de Amazon Web Service, ou AWS. Le fondateur de l’entreprise de cybercommerce a annoncé qu’il quitterait ses fonctions au troisième trimestre 2021. Il conservera toutefois un poste de président exécutif, au sein du conseil d’administration.

L’étau se resserre, et le directeur général d’Amazon n’aurait plus d’autre solution. Jeff Bezos, sollicité par une commission d’enquête du Congrès américain, finira par se présenter à l’audience. Dans un premier temps, la firme avait préféré envoyer un cadre dirigeant, plus en mesure de répondre aux questions des parlementaires…