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La mort viennoise

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La Mort viennoise

Vienne, 1679. Un univers féroce et vulnérable, tout frémissant de cette sensualité qui naît du frôlement incessant de la mort. Trois figures centrales : le prince Balthasar ; sa femme Eléonore et leur fils Johannes dressent sur ce décor baroque et funèbre leurs désirs, leurs hantises, leurs rêves de vie. Mais le principal personnage de ce livre, c'est Vienne, la Vienne du XVIIe siècle et l'empire dont elle est le symbole. Le plaisir et la mort s'y mêlent, l'un masquant l'autre sous les dorures, les divertissements et les étreintes. Dans ce grand bouillonnement d'une ville quasi mythique et d'une société ébranlée par une fièvre proche de la démence, la peste surgit. Sommet d'un sabbat dont Vienne est le théâtre. Tandis que Johannes apprend tout ensemble la vie, l'amour, la mort, et qu'Eléonore découvre la "petite mort" de la volupté, les habitants de Vienne, sous la menace de la peste, tombent dans une hallucination érotique, mystique, meurtrière... Le très beau roman de Christiane Singer brasse tous ces éléments intensément dramatiques avec une sûreté, une acuité, une ampleur ; et en même temps une richesse de métaphores, qui confirment un prodigieux tempérament d'écrivain. "Dans la puissance d'évocation, et l'intensité de la pensée, certaines pages ne sont pas loin d'égaler l'admirable oeuvre au noir de Marguerite Yourcenar Jean-Michel Royer/Le Point Un sens remarquable du détail... Une étonnante habileté... Un rythme qui fait de ce livre une baroque pavane, luxurieuse et funèbre... Christiane Singer affirme avec une éblouissante maîtrise l'originalité et l'ampleur de son talent". Pierre Kyria/Le Monde

02/1992

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La Mort viennoise

Vienne, 1679 : la ville quasi mythique, somptueuse et décadente, avec ses palais baroques, ses fêtes, son luxe, ses aristocrates - comme le prince Balthasar, sa femme Eléonore et leur fils Johannes -, avec son petit peuple aussi, entassé dans les ruelles médiévales de la vieille ville, est la toile de fond de ce roman, où plaisir et mort sont constamment mêlés. Tandis que le jeune Johannes fait l'apprentissage de la vie et qu'Eléonore découvre la volupté, la peste s'empare de la cité, plongeant ses habitants dans une folie érotique, mystique, meurtrière... Extraordinaire reconstitution d'une époque, La Mort viennoise est un livre envoûtant.

03/2007

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XVIIe siècle

La mort viennoise

Vienne, an 1679 : Johannes, le jeune fils du prince Balthasar, étouffe sous les ors du palais paternel. Eléonore, sa mère, s'étiole dans la mélancolie. Seul Balthasar, aristocrate fat et plein de lui-même, trouve que le monde tourne rond. Quand, sans crier gare, la peste entre dans la ville, Balthasar déserte son palais pour fuir le désastre. Mère et fils sont alors lâchés dans l'enfer d'une Vienne pestilentielle, dépeuplée de sa cour, grouillant d'un petit peuple grotesque et sublime, qui contredit les conventions de leur caste. Au contact d'une force neuve, transgressive, chacun de son côté va découvrir les vertiges de l'amour et de l'insoumission. Plongée vertigineuse dans une Vienne baroque et fantasque, porté par une puissance d'évocation rare, ce roman, récompensé par le Prix des libraires, est un des grands succès de Christiane Singer. Dans une langue somptueuse, elle y aborde des thèmes brûlants et reconstitue une époque de manière magistrale.

03/2022

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Méditation et spiritualité

Les âges de la vie

Chaque âge de la vie exprime une nouvelle métamorphose et contient son propre "pouvoir". Il possède sa beauté, ses ressources et sa magie. Il n'est surtout pas altération du précédent! La décrépitude n'existe pas. L'auteur de La Mort viennoise et de La Guerre des filles nous dit pourquoi en explorant chacune de ces grandes périodes de l'existence : la gestation, les premiers mois, la petite enfance, l'adolescence, la jeunesse, l'âge adulte et la vieillesse - pour nous en faire découvrir la richesse et les secrets.

04/2001

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Compositeurs

Franz Schubert

Compositeur emblématique de la musique romantique autrichienne, Franz Schubert (1797-1828) est le fils d'un instituteur qui l'initia au violon. Il étudie au Konvikt, où il côtoie la bonne société viennoise, et la composition avec Salieri. Dès 1810, ses premières Åuvres sont des quatuors, quelques ensembles vocaux, une symphonie et un opéra, mais son père le destine à prendre sa suite. A 17 ans, sa première Messe est un succès public et lui vaut un piano offert par son père. Composant plus de 200 Lieder, Schubert commence à se faire connaître dans les salons viennois : les réunions, réputées, en sa présence prennent vite le nom de "Schubertiades". A 25 ans, il atteint sa pleine "maturité" avec son cycle de Lieder La Belle Meunière, la Fantaisie Wanderer, les quatuors Rosamunde et La jeune fille et la mort ou encore la Sonate Arpeggione. La mort de Beethoven le touche et est suivie de la création du Voyage d'hiver, un des derniers cycles de Lieder dont l'ulime sera Le chant du cygne. Déjà atteint de la syphillis, Schubert succombe à la typhoïde à seulement 31 ans, laissant un catalogue de plus de 1000 Åuvres ! Sa tombe avoisine aujourd'hui celles de Gluck, Beethoven, Johannes Brahms, Johann Strauss et Hugo Wolf au Cimetière central de Vienne.

09/2023

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Architecture

Trésors de l'Albertina

La Cité de l'architecture et du patrimoine prépare pour l'automne 2019 une "Saison viennoise" autour de deux expositions montées en partenariat avec des institutions renommées de la capitale autrichienne. La première, produite avec le Wien Museum, sera consacrée à Otto Wagner, maître de l'Art nouveau viennois, l'un des principaux architectes européens du tournant des XIXe et XXe siècles. La seconde invite à Paris la prestigieuse collection de dessins d'architecture de l'Albertina, dont une centaine de chefs-d'oeuvre seront présentés, dans une exposition intitulée Trésors de l'Albertina, dessins d'architecture. La collection des dessins d'architecture L'Albertina doit son nom à son fondateur, le duc Albert de Saxe-Taschen. Passionné d'arts graphiques, il collectionne sans relâche les dessins des grands maîtres. A sa mort en 1822, la collection compte plus de 35 000 items qui permettent d'embrasser les plus grands courants de l'histoire de l'art depuis la fin du Moyen Age jusqu'au début du XIXe siècle. Ce noyau initial est régulièrement enrichi grâce à l'action de ses successeurs qui opèrent des achats, favorisent les dons ou les legs. L'exposition Trésors de l'Albertina, dessins d'architecture présente un florilège de cette incroyable collection

10/2019

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