LVA (La Vie de l'Auto Editions)

Le  groupe d'édition allemand Holtzbrinck, en 2008, a créé son service dans le contexte des balbutiements de l'auto-édition. La pratique est devenue depuis l'un des modèles majeurs de l'industrie du livre, et a vu plus d'une plume autoéditée se propulser en tête des listes de best-sellers. Et avec ses 5 années d'expertise à placer l'auteur au centre de ses activités, epubli est devenu un acteur clé de l'auto-édition. Désormais, la firme allemande entend se développer à l'international, en ciblant en priorité les aspirants-écrivains du Royaume-Uni. 

Les observateurs du monde de l'édition ont constaté : des nombreux auteurs cherchent obstinément un éditeur traditionnel, alors que l'auto-édition serait susceptible de mieux servir leurs intérêts. L'édition traditionnelle semble ainsi être devenue, dans de nombreux cas, un choix vaniteux. En atteste la publication jeudi, par Amazon, de nouveaux chiffres mettant en relief le succès de sa plateforme Kindle Direct Publishing. 

Quand on voit son manuscrit plusieurs fois refusé par les éditeurs traditionnels, il est de plus en plus tentant de se tourner vers les plateformes d'auto-édition. Mais est-ce pour autant l'assurance du succès ? Pas vraiment si l'on prend en considération que votre ouvrage sera noyé parmi des livres de qualité très variable.

BONNES FEUILLES — L'auto-hypnose est une forme de méditation très profonde qui permet d'accéder à son subconscient et d'utiliser les capacités d'autosuggestion du cerveau. C'est une méthode idéale pour résoudre ses petits problèmes d'addiction (tabac, nourriture), de santé mentale (phobie, anxiété), de santé (sommeil, poids) ou pour effectuer un travail psychologique plus approfondi afin de se libérer de ses schémas et renforcer sa confiance en soi.

Ce n'est pas le premier écrivain connu à décider d'éditer lui-même son travail, mais l'information est tout de même importante. Le dramaturge et réalisateur américain David Mamet (qui, bien entendu, n'a aucun mal à trouver un éditeur) publie son nouveau livre par ses propres soins. 

Barry Eisler, auteur américain de romans policiers, revient dans les colonnes du Guardian sur les changements induits pour les auteurs par le développement du numérique. Et d'expliquer par la même occasion pourquoi les éditeurs traditionnels ne voient pas tout ceci d'un bon oeil. 

Calibre est un logiciel qui permet aux auteurs de convertir automatiquement des fichiers, dans le format de leur choix, à destination de tous les supports électroniques. Objectif à l'horizon : l'écrivain crée sa librairie en ligne !

Le service d'autoédition d'Amazon a été mis en service en Inde parallèlement à la version locale du Kindle Store (

Les auteurs autoédités pourraient en effet très bien tirer leur épingle du jeu face aux éditeurs traditionnels, dans la bataille des ebooks. 

Frédéric Taddeï est très brillant, mais très faiblement informé.

L'édition 2012 de la Miami Book Fair, manifestation littéraire parmi les plus respectées aux États-Unis, a vu le phénomène de l'auto-édition prendre une ampleur nouvelle au sein de l'évènement annuel. Ainsi, le processus de publication en question, autrefois relégué comme une pratique marginale destinée exclusivement aux auteurs désespérés de se voir un jour publiés, tendrait possiblement à devenir la nouvelle norme.

Pour toucher un plus large lectorat, tout en permettant d'offrir des livres numériques, les éditions Alto ont mis au point une carte, dotée d'un port USB. Celle-ci peut contenir jusqu'à 250 fichiers, en format EPUB. Cinq cartes sont proposées et les prix vont de 27,95 $ (canadiens) à 39,95 $. Chaque carte regroupe une différente sélection d'ouvrages. La sélection est thématique ou regroupe des ouvrages d'un même auteur.

Le statut d'autoentrepreneur se généralise dans le monde du travail, souvent au détriment des droits des travailleurs : s'il permet aux indépendants de facturer des prestations, il est trop souvent utilisé par les employeurs de l'édition pour éviter le salariat, soulignent les syndicats SGLCE-CGT (Syndicat général du Livre et de la communication écrite) et Filpac-CGT (Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication).

Le premier Salon de l'auto-édition lancé à New York

BiblioCrunch est un site en ligne d'édition, de conception et de design d'ebooks. Depuis 2012, il est un moyen pour les auteurs indépendants de se projeter sur le marché du livre. Pour continuer leur intégration et pour ouvrir les discussions entre auteurs et professionnels de l'industrie du livre, BiblioCrunch vient de lancer une série d'événements Meetup, les rassemblant.

Short run, just in time, on demand sont les expressions inévitables dans l'édition, pour tous ceux qui s'intéressent aux nouveaux modèles d'impression. Quels sont les problèmes du modèle classique ? Entre autres, le coût des stocks. Et de plus en plus, le choix se porte vers l'impression à la demande.

L'auto édition de livres observe une bonne croissance

Nos confrères des Numériques sont allés faire un tour chez le spécialiste de l'impression à la demande : Books On Demand. Ils ont ainsi pu suivre, pas à pas, les différentes étapes qui organisent la création d'un livre, de sa commande à son impression finale.

Autant l'auto-édition représentait un petit secteur en Europe, malgré des offres de plus en plus importantes, au probablement au détriment de l'édition à compte d'auteur, véritable arnaque reconnue et avérée...

Michèle Obama aime l'auto-édition en cuisine

L'iBookstore propose l'auto-édition : haro sur Amazon

L'histoire d'auteurs comme CJ West s'est plusieurs fois répétée depuis l'essor de l'autoédition. Ingénieur-informaticien pendant une vingtaine d'années, il aimait écrire et s'adonnait à la rédaction de romans pendant son temps libre.

LULU est une est une entreprise venant en aide aux auteurs qui veulent faire éditer eux-mêmes leurs livres. L'auto-édition peut sembler une chose aisée, mais en fin de compte il est toujours bon d'avoir un peu d'aide. LULU propose de tels services comme le rappelle Good e reader. 

Le phénomène de l'auto-édition révolutionne l'industrie du livre, tandis que n'importe qui peut désormais publier un ouvrage, voire un best-seller pour les solitaires qui rencontrent le succès commercial. Et ce choix peut rapporter gros, si bien que même des auteurs de notoriété établie finiraient par délaisser leurs éditeurs traditionnels, avec lesquels ils ont entretenu parfois des relations de longue date, pour rejoindre les rangs des autoédités.

L'auto-édition, c'est la manne, c'est l'avenir, c'est la liberté. Certes. En parvenant à commercialiser dans des conditions financières loin de l'arnaque ultime qu'incarnait le compte d'auteur, le livre numérique a permis à des auteurs d'être découverts, lus et appréciés. Mais derrière les grandes réussites aujourd'hui connues, comme Amanda Hocking ou E.L. James, quelle réalité pour ces success-stories ?

Auto-édition : une production deux fois supérieure à l'édition classique

Mauvaise nouvelle pour les écrivains en herbe et les petits éditeurs. Si vous publiez moins de dix titres, Borders (Kobo) vous rend la vie dure.

Quand on parle d’auto-édition, on avance souvent l’exemple de Marcel Proust comme illustrant le fait que même les meilleurs, les plus grands, ont pu commencer par une publication à compte d’auteur, faute d’être immédiatement reconnus par de grandes maisons. Mais quand est-il réellement ?

Devenir auteur chez Harlequin ? L'auto-édition numérique arrive

La plateforme Bookelis qui offre ses services aux auteurs sur le marché de l'autoédition vient de s'attacher les services du groupe Jouve. Ce partenariat  permettra à Bookelis de réaliser de l'impression à la demande et d'organiser la distribution de ses livres numériques auprès d'un acteur unique.