Recherche

Je t'ai vu pleurer

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

ActuaLitté

Dossier

Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

ActuaLitté

Dossier

L'intelligence artificielle au service du livre et de la lecture

On ignore si l’intelligence artificielle décidera d’écrire Guerre et Paix ou Les Misérables, mais les scientifiques y travaillent d’arrache-pied. L’évolution du livre et de l’édition passera par les travaux de chercheurs, qui demandent) des robots d’engloutir des livres... pour écrire de nouvelles histoires.

ActuaLitté

Dossier

Les livres de Roland Topor : humour noir jusqu'au bout du cigare

Roland Topor (1938-1997) restera cet artiste français aux multiples talents : dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, acteur et cinéaste. Une singularité créative qui l'a distingué comme l'une des figures emblématiques de l'art et de la littérature du XXe siècle en France.

ActuaLitté

Dossier

La Foire du Livre de Londres 2023, au croisement des secteurs culturels

Rendez-vous annuel du secteur du livre, la Foire de Londres renoue définitivement, en 2023, avec les réunions, rencontres et autres conférences « en présentiel ». L'événement entend aussi renforcer la place des autres industries culturelles, pour favoriser les échanges et les transactions.

ActuaLitté

Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

Extraits

ActuaLitté

Littérature étrangère

Je t'ai vu pleurer

Le récit d'Immanuel Mifsud se présente comme l'adresse d'un fils au père mort. Le narrateur évoque un homme dur et malmené par l'existence, qu'il aura pourtant vu pleurer deux fois dans sa vie. Cet homme - le père donc - vient d'un milieu populaire très pauvre, si pauvre qu'il parcourait souvent les rues de La Vallette avec une seule chaussure aux pieds alors qu'il était enfant. Il parvient toutefois à se faire enrôler dans l'armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale grâce à sa bonne maîtrise de l'anglais. Il est grièvement blessé pendant les bombardements de Malte par les troupes allemandes et italiennes, mais il revient de la guerre en héros et c'est dans cette obsession de la virilité qu'il règne alors sur sa famille, en imposant une discipline de fer à ses enfants. Le narrateur est ainsi renvoyé à sa faiblesse, en permanence, car il a tendance à pleurer facilement... Ce portrait d'un père marqué par la guerre au point de ne pas trouver sa place dans l'intimité de sa famille et dans la vie ordinaire est d'une grande justesse. Au fil des pages d'un récit résolument non-linéaire, le texte fait une large place à l'histoire de Malte, dans une tonalité toujours très poétique. Tout en nous donnant un texte fortement empreint des particularités du patrimoine et de la culture maltaises, Mifsud parvient à émouvoir le lecteur par une vision très belle et universelle de la relation père-fils.

05/2016

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

J'ai vu pleurer un vieux tzigane

Fin des années 1960, dans un village de France. Le narrateur, alors âgé de 12 ans, se trouve confronté à l'arrivée d'un groupe de "Gitans" . Le hasard d'un face à face avec un vieil homme en larmes, dans une maison chargée de souvenirs, puis la prise de conscience du terrible sort réservé aux Tsiganes d'Europe, auront raison de ses préjugés. Un texte émouvant sur ces "oubliés" de l'Histoire.

03/2023

ActuaLitté

12 ans et +

J'ai pas pleuré

L'horreur des camps de concentration vue par les yeux d'une enfant de quatorze ans. Déportée à 14 ans, rescapée d'Auschwitz, Ida Grinspan nous livre son témoignage sur les camps de concentration. Dans un dialogue tout en pudeur, sa voix se mêle à celle de Bertrand Poirot-Delpech. Elle lui raconte l'indicible : la faim, la peur, la mort qui rôde. Ensemble, ils relatent également les difficultés de "l'après ", ce douloureux retour à la vie et à l'espoir. A lire pour ne pas oublier, car " l'oubli serait aussi intolérable que les faits eux-mêmes ".

05/2012

ActuaLitté

Histoire de France

J'ai pas pleuré

La " petite Ida " avait quatorze ans quand elle a été arrêtée, en janvier 44, au fond du Poitou où l'avaient cachée ses parents juifs polonais. Deux hivers à Auschwitz, orpheline et malade au retour bien sûr, il lui est arrivé de craquer. Mais devant les gendarmes, les kapos, la faim, la mort : " J'ai pas pleuré ! " dit-elle fièrement, à la façon de l'enfant qu'elle est restée. Ce furent ses " chances " : une fragilité touchante, à la ferme, à l'école, au camp, où une infirmière polonaise lui sauvera la vie ; mais aussi un orgueil de lame, et toute la fraternité du monde, réinventée entre déportées. Ce que la pudeur l'empêchait de dire, il fallait bien qu'un ami s'en charge.

04/2002

ActuaLitté

Littérature française

Pas pleurer

Deux voix entrelacées. Celle, révoltée, de Georges Bernanos, témoin direct de la guerre civile espagnole, qui dénonce la terreur exercée par les nationalistes avec la bénédiction de l'Eglise catholique contre les " mauvais pauvres ". Son pamphlet, Les Grands cimetières sous la lune, fera bientôt scandale. Celle, roborative, de Montse, mère de la narratrice et " mauvaise pauvre ", qui, soixante-dix ans après les événements, a tout gommé de sa mémoire, hormis les jours radieux de l'insurrection libertaire par laquelle s'ouvrit la guerre de 36 dans certaines régions d'Espagne, des jours que l'adolescente qu'elle était vécut dans la candeur et l'allégresse dans son village de Haute Catalogne. Deux paroles, deux visions qui résonnent étrangement avec notre présent, comme enchantées par l'art romanesque de Lydie Salvayre, entre violence et légèreté, entre brutalité et finesse, portées par une prose tantôt impeccable, tantôt joyeusement malmenée.

ActuaLitté

Littérature française

Pas pleurer

Deux voix entrelacées.

08/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté