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Infernal America

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Littérature française

Infernal America

Nous entrons ici dans une folle Amérique où tout se conjugue parfaitement, toutes les tendances, que ce soit le rap ou le doux romantisme, les guerres et paix incessantes, les lois fédérales intransigeantes, la longue marche des innocents dans le couloir de la mort et au bout : une mitraillette de photographes, attendant les malheureux se faire lessiver le dos de milliers de watts. Cette grande et belle gardienne sur Liberty Island, attendant les malheureux immigrants, pour les étendre au sol dur de New York. Ces gangs de l'est, équipés de boucles de ceinturons et de violentes lames, se faisant de belles batailles ensanglantées très tard la nuit, dans les bas-fonds des ghettos New-Yorkais. De ces millions d'esclaves descendus enchaînés, de cette frénésie noire voulant s'approprier leurs droits civiques, de ces hommes meurtris par ce système racial, de la guerre au Vietnam, accumulant tant de problèmes économiques à la nouvelle bannière étoilée de Nixon, aux directs foudroyants et perspicaces des dieux noirs du stade, du haut de leur sommets, n'oubliant jamais la cause pour laquelle ils jouent...

12/2019

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Thèmes photo

America Americas

En 1971, Alain Keler, 26 ans, arriva aux Etats-Unis, par amour, pour rejoindre une Américaine rencontrée lors d'un voyage en Asie. Un aller simple pour New York et un attaché-case de ses photos sous le bras, il y rencontra John G. Morris, légendaire directeur de la photographie du New York Times, pour qui le travail du jeune photographe n'est pas "very exciting" , mais qui l'invite néanmoins à rester en contact avec lui. Vingt-six ans plus tard, c'est le même homme qui l'appellera pour lui dire qu'il est le lauréat du Prix W. Eugene Smith - le plus prestigieux prix remis à un photojournaliste, et dont Alain est l'un des seuls Français, avec Gilles Peress en 1984, à être titulaire. Alain Keler photographie sur son temps libre la ville à hauteur de foules, dans les rues de New York ou de Washing- ton lors de la seconde investiture de Richard Nixon, entre protestations et célébrations. Son regard s'aiguise sur la ville américaine avant son retour en France et son passage à l'agence Sygma. America Americas est une oeuvre retrouvée. Certains néga- tifs n'ont été développés pour la première fois qu'à la fin des années 1990 et d'autres uniquement l'année dernière. Cet ouvrage invite à se plonger dans les images d'un jeune passionné qui deviendra le photographe que l'on sait. Texte extrait de la présentation de l'exposition à la galerie Fisheye (Paris) Alain Keler a couvert de nombreux événements dans le monde (Moyen- Orient, Amérique centrale...) pour l'agence Sygma. Il est lauréat en 1986 du Grand Prix Paris Match du photo- journalisme pour son reportage L'Ethiopie sous la pluie et du World Press Photo dans la catégorie nature. Devenu photo- graphe indépendant, son travail personnel sur les minori- tés dans l'ex-monde communiste lui a valu le prestigieux prix W. Eugene Smith en 1997. Il a collaboré avec de nombreux maga- zines français et étrangers dont Géo, Time Magazine, Newsweek, L'Express, Marie-Claire. Membre de l'agence MYOP, il a publié en 2018 un livre qui retrace l'ensemble de sa carrière, Journal d'un photographe, aux Editions de Juillet.

11/2021

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Thèmes photo

America Americas Latina

1973. Après deux années passées à New York (America, Americas - New York, Ed. de Juillet, 2021), Alain Keler reçoit sa première commande photographique. Un éditeur américain le missionne pour réaliser des images d'illustration sur le continent sud-américain. Au cours de ses deux voyages, le jeune Alain appréhende ce métier qu'il désirait tant pratiquer. Mexique, Vénézuela, Guatemala, Chili, Argentine, Pérou, Porto Rico... son long périple l'amène à croiser - déjà ! - les grands événements et les gens ordinaires qui les vivent. Lorsque les clichés commandés sont dans la boîte, le photographe réalise des images plus personnelles, en continuité avec sa pratique new yorkaise, des images à la sauvette, ancrées dans le quotidien, avec son regard empreint d'humanité et d'empathie. Le deuxième volume d'America Americas retrace les premiers pas de photographe professionnel d'Alain Keler. C'est au cours de ces deux voyages sud américains qu'il est contacté par l'agence Sygma, qu'il intégrera en 1975 pour mener la carrière que l'on sait. Alain Keler a couvert de nombreux événements dans le monde (Moyen-Orient, Amérique centrale...) pour l'agence Sygma. Il est lauréat en 1986 du Grand Prix Paris Match du photojournalisme pour son reportage L'Ethiopie sous la pluie et du World Press Photo dans la catégorie nature. Devenu photographe indépendant, son travail personnel sur les minorités dans l'ex-monde communiste lui a valu le prestigieux prix W. Eugene Smith en 1997. Il a collaboré avec de nombreux magazines français et étrangers dont Géo, Time Magazine, Newsweek, L'Express, Marie-Claire. Membre de l'agence MYOP, il a publié en 2018 un livre qui retrace l'ensemble de sa carrière, Journal d'un photographe, aux Editions de Juillet.

10/2022

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Littérature étrangère

America America

Au début des années 1970, Corey Sifter, issu d'une famille ouvrière de l'Etat de New York, devient assistant dans le somptueux domaine de la puissante famille des Metarey. Grâce à leur générosité, il poursuit ses études dans une pension privée et, s'éloignant de ses modestes origines, participe à la campagne présidentielle du sénateur de New York, Henry Bonwiller. Pourtant Corey se retrouve vite au milieu d'une série d'événements entachés par le scandale et la mort. Plus de trente ans après, suite au décès du sénateur, Corey revient sur sa jeunesse. Confronté à la réalité du monde politique, il découvre la vanité et la luxure cachées derrière la grande histoire du rêve américain.

04/2010

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Erotique

Infernal

Né en 1966 en région parisienne, Denis GRRR, autodidacte, fait ses armes dans le milieu du fanzine (Atomik, Stronx) dès 1987, de la presse underground (Rage), et de l'art alternatif, on le retrouve aussi dans des jeux de rôles comme In Nomine Satanis - /Magna Veritas, Vermines, jusqu'à une participation au jeu "Salammbô" début 2000 de Philippe Druillet qui le fera connaitre du grand public. En explorateur viscéral : il dissèque nos fantasmes, cautérise nos peurs et incise nos faux semblants, souriant à la vie en épicurien d'un autre monde Infernal.

03/2021

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Poésie

America

America est composé de poèmes inspirés à William Cliff par deux longs séjours en Amérique du Sud et deux voyages aux Etats-Unis. Tavalera décrit en alexandrins la traversée vers l'Amérique du Sud à bord d'un cargo allemand qui porte ce nom. Puis viennent Montevideo et Cône Sud. William Cliff évoque les plages, les bidonvilles, ses brèves aventures homosexuelles. Dans les deux dernières parties, Philadelphie et Cape Cod, il raconte les étapes de son vagabondage aux Etats-Unis. Dans ce tourisme de poète vagabond, on retrouve William Cliff à son meilleur. Le Nouveau Monde lui inspire des images aussi désolées que l'Ancien. Il est désespéré, grinçant, funèbre et malgré tout drôle. Dès les premières pages, on reconnaît ce poète qui ne ressemble à aucun autre.

02/1983

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