Harper in Tome 2 : Harper in Fall (in Love)

Voici une histoire pas banale pour le monde de l'édition. Un ancien condamné à mort attaque en justice Harper Collins. Le motif : le livre qu'il a écrit sur son calvaire (on s'est rendu compte qu'il était innocent 21 ans après l'avoir mis derrière les barreaux) n'est jamais sorti. Or des exemplaires sont dans la nature. Une information révélée par le

La guerre pour les droits de publication numérique des anciens ouvrages continue : Harper Collins avait attaqué la maison d'édition numérique Open Road Media il y a quelques semaines pour avoir publié Julie of the Wolves (voir notre actualitté). Open Road Media vient de marquer un point en obtenant le soutien de Jean Craighead George, l'auteure de l'ouvrage en question.

La sortie officielle du second roman de la romancière Harper Lee est programmée pour le 14 juillet 2015. Cinquante-cinq ans après le succès de son premier titre, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, on va pouvoir découvrir Go Set a Watchman (Va et poste une sentinelle).

Même s’il a été reçu avec un regard assez négatif par la critique, le nouveau roman de Harper Lee se vend comme des petits pains. La suite de To Kill a Mockingbird (Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur), Go Set a Watchman (Va et poste une sentinelle), publiée par HarperCollins, s’est déjà vendue à 1,1 million d’exemplaires.

Plusieurs éléments ont fait la notoriété de Harper Lee : son best-seller ultime, To Kill a Mockingbird, son long silence façon Salinger qui a suivi, et son opiniâtreté vis-à-vis des médias et journalistes. Récemment, l'auteure a décidé de publier son premier roman, Go Set a Watchman, écrit avant To Kill... Son grand âge et des cas non avérés d'abus de confiance avaient jeté le soupçon sur cette parution...

La guerre qui oppose Harper Lee, auteure de To Kill a Mockingbirg, à son ancien agent littéraire frise la stupidité. Samuel Pinkus, l'agent, est accusé d'avoir trompé la romancière, en lui faisant signer des accords d'exploitation trompeurs. Un procès tragique qui s'organise, tout simplement tragique. Le 3 mai dernier est finalement devenu une date marquée d'une pierre noire...

Décidément, 2015 sera l’année de Harper Lee, qui après cinquante années de silence, s’est fait remarquer avec la parution à venir de la suite à To Kill A Mockingbird. Cette fois, ce sont des lettres inédites, certaines datant d’avant la publication du roman, qui sont mises aux enchères, pour une valeur estimée de 250.000 $. Rendez-vous ce 12 juin chez Christie’s.

Le projet Akira pourrait bientôt être rebaptisé Akira-rlésienne : à force d'être annoncé, repoussé, annulé, retardé, suspendu, repris, et on en passe et on en oublie, plus personne n'y croit. Du moins, Dante Harper semble s'être laissé convaincre que le projet était toujours sur le plan de travail. 

Go Set A Watchman est à peine disponible que déjà l’avocate d’Harper Lee laisse entendre qu’un nouveau roman, encore plus inédit que celui à venir, existerait. Tonja Carter, qui a mis la main sur le manuscrit que HarperCollins publie – Grasset en France, sous le titre Va et poste une sentinelle, traduit par Piere Demarty – aurait donc trouvé un troisième livre. 

La romancière Harper Lee s’auréole de nouveaux mystères, alors que son testament vient d’être descellé par un tribunal d’Alabama. L’une des auteures favorites de l’Amérique n’en finit pas d’alimenter les énigmes...

C’est une constante dans la famille Beckham : à chaque naissance, le prénom de l’heureux événement laisse coi, sans voix, un peu abasourdi. La petite dernière n’échappe pas à la règle, mais sa naissance a également des retombées... en librairie.

Entre polémiques et succès, le dernier roman de la romancière Harper Lee, Go Set a Watchman (Va et poste une sentinelle) se vend par milliers. Son prédécesseur, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur (To Kill a Mockingbird en version originale) est une véritable institution aux États-Unis. De nombreux étudiants américains l’étudient à l’école et l’apprécient. C’est le cas de Jeremy, jeune d’outre-Atlantique qui a souhaité recevoir une photo de son idole. La romancière a préféré la plume à l’image. 

La publication du futur deuxième best-seller de Harper Lee, Go Set a Watchman, ne pouvait avoir lieu sans une théorie du complot. Il faut dire que l'auteure de To Kill a Mockingbird avait gardé le silence pendant un demi-siècle sur cet ouvrage, écrit avant To Kill, jusqu'à sa « redécouverte » par son avocate Tonja Carter. Depuis, l'éditeur HarperCollins et le cabinet d'avocat de l'auteure multiplient les preuves de bonne foi.

C'est un fait connu : après la publication de son premier et unique roman disponible, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, en 1960, l'auteure Harper Lee a rejoint la liste des écrivains reclus, refusant apparitions publiques et entretiens. Deux lettres de l'auteure, rédigées en 1990 et 2005, seront bientôt vendues aux enchères, et l'une d'entre elles explique en partie cette misanthropie.

Alors qu'elle avait décidé de relancer sa plainte contre le musée de sa ville natale, la romancière Harper Lee a vu le juge fédéral rejeter le dépôt. William H. Steele a renvoyé chacun dans son coin, les deux parties étant finalement parvenues à trouver un accord à l'amiable. Le musée était accusé de profiter du livre d'Harper Lee, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, en vendant des souvenirs et des goodies qui s'appuyaient sur le titre de l'ouvrage. 

En Alabama, la publication du nouveau livre de Harper Lee ne finit pas de susciter les interrogations. Une enquête avait été diligentée pour définir si l'auteure était bien en mesure de prendre la décision de cette nouvelle parution, et qu'elle n'avait subi aucune influence. Ouverte début mars, l'enquête réunissait les opérateurs du State Departement of Human Resources Department et l'Alabama Securities Commission. 

Harper Collins a annoncé son intention de rebaptiser sa branche américaine Eos Books, Harper Voyager, dans le but de créer une cohésion avec les branches australienne et britannique nommées Voyager.

La maison d'édition américaine, Harper Collins, se lance dans la publication numérique. Dans le cadre de cette diversification de sa production, elle fait appel directement aux auteurs. L'éditeur donne deux semaines aux écrivains désireux de se voir publier dans la collection Voyager, afin qu'ils soumettent leurs manuscrits directement sur leur plateforme internet, rapporte Galleycat.

Plus d'un demi-siècle après To Kill a Mockingbird, Harper Lee publiera l'été prochain Go Set a Watchman, son second livre qui était en fait, originellement, un prélude à To Kill... Un véritable typhon éditorial se prépare, comme si Salinger lui-même sortait de sa tombe pour écrire des inédits. Mais la découverte au hasard de ce roman oublié fait craindre à certains un pur et simple abus de faiblesse sur la vénérable auteure.

Aux dames, on dit que souffler n'est pas jouer, et, généralement, on se fait siffler un pion, perdant par la même occasion un bon coup à jouer. Eh bien, citer n'est pas jouer non plus. Ainsi, au cours de son discours de présentation de Lire en short, la manifestation nationale, dédiée à la littérature jeunesse, Fleur Pellerin a évoqué le Talmud, et une phrase habilement détournée de sa traduction originale.

Dans les relations délicates entre industries culturelles et Internet, les fournisseurs d'accès ont souvent tenu le rôle de l'intermédiaire à taxer, histoire d'équilibrer les pertes économiques générées par le partage illégal des oeuvres. À présent, le groupe News Corp, inquiet du piratage qui brouille la diffusion de la série Game of Thrones, demande à Google d'intervenir à la racine du problème.

Le rendez-vous a été totalement manqué : les quelques lettres de Harper Lee, mises aux enchères par la maison Christie’s ce 12 juin n’ont retenu aucune attention. La cagnotte était élevée : l’estimation allait jusqu’à 250.000 $ pour ces courriers écrits entre 1956 et 1961. Autrement dit, l’époque charnière, juste avant et après la publication de son premier roman, To Kill A Mockingbird.

Cela fait un certain temps que l'on entend parler de livres numériques enrichis. La technologie existe pour les créer et les machines (les tablettes notamment) sont parfaitement adaptées à ces nouveaux contenus. Pourtant, les choses ne semblent pas aller bien vite, alors que l'eeB (enhanced eBook) est un bon moyen de convertir les réfractaires au numérique à la lecture sur tablette ou smartphone. 

Personne n'a oublié la mission que Yan Martel s'était donnée : chaque mois, durant quatre ans, l'écrivain avait envoyé chaque mois une recommandation de lecture au premier ministre du Canada, Stephen Harper.

Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur d'Harper Lee, publié en 1960 et devenu un des classiques de la littérature américaine, puis du cinéma avec son adaptation en film par Robert Mulligan, avec Gregory Peck, en 1962, est devenu une bande dessinée, signée par Fred Fordham. Grasset en publie la version française ce 7 novembre, d'après la traduction d'Isabelle Stoïanov, relue et actualisée par Isabelle Hausser.

À l'annonce d'un nouveau livre signé de Harper Lee, quelque cinquante ans après la publication de To Kill A Mockingbirg, l'agent Andrew Nurnberg, qui représente l'auteur, joue la star. Pour découvrir, Go Set A Watchman, sorte de sequel à l'histoire originelle, il faudra prendre un avion et venir le lire en direct à Londres. 

Depuis plusieurs mois, les relations entre Harper Lee et son ancien agent littéraire, Samuel Pinkus, défraient la chronique. Ce dernier est accusé d'avoir détourné des sommes perçues sur la vente de l'unique livre, To Kill A Mockingbird. Et ce, sans que la romancière n'en ait vu la couleur. C'est que, âgée de 87 ans, Harper Lee est une femme diminuée, qu'il semblait facile d'abuser. 

Outre-Atlantique, les activités politiques du PEN sont désormais sous le coup d'une vérification amorcée par l'Agence du revenu du Canada (ARC). L'organisme caritatif posé en défenseur de la libre expression, ayant parfois critiqué ouvertement le gouvernement Harper, a vu deux agents se présenter en ses bureaux de Toronto ce lundi dans le but de consulter des documents internes. Prévenu depuis deux ou trois mois, le PEN collabore pleinement avec l'Agence, comme l'a expliqué le président du groupe d'écrivains, Philip Slayton.