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Haines postmodernes

Dossiers

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Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Anne Frank et son Journal

Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans. 

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Dossier

“Bien trop Petit”, le livre qu'a censuré Gérald Darmanin

Un roman, recommandé aux adolescents de 15 ans (et plus), a subi les foudres du ministère de l'Intérieur : dans un arrêté signé ce 17 juillet, l'ouvrage a été frappé d'interdiction  de vente aux mineurs. Motif ? Des contenus pornographiques, interdits par la loi.

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Dossier

Les livres de Louis-Ferdinand Céline : transgression et controverse

Louis-Ferdinand Céline, de son vrai nom Louis-Ferdinand Destouches, est l'un des écrivains français les plus influents et controversés du XXe siècle. Né le 27 mai 1894 à Courbevoie, en France, et décédé le 1er juillet 1961 à Meudon, son œuvre est à la fois célébrée pour son style novateur et critiquée pour ses positions politiques et ses pamphlets antisémites.

Extraits

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Littérature française

Haines postmodernes

Les haines sont rétives au progrès, elles prouvent la fragmentation de l'individu, sont la bannière du moi absolu, toujours autoréférentielles, indices de performance entre gain et perte résiduelle ou marginale, elles n'ont ni raison, ni future : les haines sont décidément postmodernes. Alors, pour aider tout un chacun à dépasser le désenchantement du monde, Gilles Ascaride après " Amours modernes ", aux éditions Folies d'Encre -- élabore une ode aux haines postmodernes : " haïr les poils dans les oreilles ", " les pigeons ", " les rêves ", " les objets " et quelques personnes composent, par l'exemple, ce traité métaphysique, contant par le petit bout de la lorgnette l'éclatement du monde.

03/2013

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Philosophie

Moralités postmodernes

Au bout d'une petite histoire, fable ou conte, saynète, exemplum, la moralité en tire une sagesse sans prétention, locale et temporaire, vite oubliée. Les moralités se contrarient souvent, sans gêne. Elles font ensemble un bruissement de maximes, une plainte rieuse : ainsi va la vie. La vie va vite, aujourd'hui. Elle volatilise les moralités. La futilité convient au postmoderne, à la chose comme au mot. Elle n'empêche pas qu'on se pose des questions, comment vivre, pourquoi ? Réponses différées. Comme toujours, bien sûr, mais cette fois, on a l'air de le savoir, que la vie va dans tous les sens. Mais le sait-on ? On se le représente, plutôt. Tous les sens de la vie, on les affiche, on les expose, on en jouit en amateur de diversité. La moralité des moralités, ce serait le plaisir " esthétique ". Quinze notes, donc, sur l'esthétisation postmoderne. Et contre elle : on n'est pas quitte avec la vie parce qu'on l'assigne à l'artifice.

10/1993

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Philosophie

Faut-il brûler les postmodernes ?

Comme pour un roman de Bradbury, Fahrenheit 451, on peut supposer que le livre de papier s'autodétruise à une certaine température. De la même manière, la déconstruction telle que Derrida pouvait la concevoir, de nombreux détracteurs souhaiteraient qu'elle se déconstruise d'elle-même, par inanité. Et il en irait ainsi de Deleuze ou Foucault. Leurs oeuvres conduiraient au pur relativisme, à l'ère de la post-vérité qui ferait de toute proposition une valeur modifiable, sans discernement ni authenticité. Mais force nous incombe de reconnaître que les brûlots ne disparaissent pas d'eux-mêmes et que rares sont ceux qui ont exercé un regard véritablement critique sur une époque dont il est difficile de concevoir qu'une relève ait eu lieu, à considérer les propositions intellectuelles d'aujourd'hui. Voici donc que les tenants de la French Theory endossent le concept de postmodernité comme chef d'accusation, un sobriquet qui les caractérise. Il nous incombe de reprendre cette charge virulente pour en signaler les malentendus à travers une conception élargie du dépassement de la modernité tout au long d'une oeuvre singulière. Jean-Philippe Cazier interroge ici le parcours de Jean-Clet Martin pour clarifier sa position de penseur "postmoderne" et suivre son parcours depuis Deleuze. Se révèle ainsi l'itinéraire d'une philosophie de la différence et d'une forme de néocriticisme à reconsidérer sous un jour plus éclairant.

01/2021

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Biographies

Blaise Cendrars. Philosophe postmoderne

On ne range pas Blaise Cendrars parmi les penseurs. Il n'a pas la gueule de l'emploi. On ne voit guère de philosophie dans ses sautes d'humeur. Il ne bricole pas de montagnes russes pour la dialectique ni ne débite de susurrants traités de morale. Ses lecteurs s'installent comme au spectacle. Ah ! les petits blancs, les cigarettes, des bagarres dans des bouges. Le boucanier fait le coup de poing, jongle avec l'eustache. Il chavire dans le roulis des ports, soutient Modigliani, soûl, dans les escaliers de Montmartre. Il raconte des histoires de montreur d'ours. Mais, en termes lacaniens, Cendrars... "ça n'est pas ça ... A Marseille, au Nain jaune, il détaille la patronne, mais sur le seuil du bar il scrute les étoiles. Il se tient près de Lucrèce. Il a des émois d'augure pour contempler la voûte céleste. Maintenant que la biographie de l'affabulateur est établie, que des sherpas universitaires ont sondé les strates refoulées de l'oeuvre, il est possible de présenter une synthèse de la création cendrarsienne. Blaise Cendrars, philosophe postmoderne révélera à des lecteurs, trop braqués sur les extravagances du casseur d'assiettes, et contrairement au décousu des apparences, une pensée philosophique d'une extrême cohérence. L'auteur décrit l'immersion de l'homme dans son environnement. Sa vision du monde préfigure les gouffres mis à jour par la science moderne. Ses analyses prémonitoires proclament le néant des grands récits, la ruine des idéologies, annoncent le postmodernisme. Salvatrice, son écriture relève déjà de l'intertextualité, et ses reportages du journalisme gonzo. Immergez-vous dans ce fleuve textuel dont tant d'éblouissantes pages restent ignorées !

10/2023

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Critique littéraire

Mes Haines

"La haine est sainte. Elle est l'indignation des coeurs forts et puissants, le dédain militant de ceux que fâchent la médiocrité et la sottise" : c'est par ces mots que Zola, encore inconnu du grand public, se lance dans la critique littéraire et artistique. Mes Haines (1866) rassemble les chroniques de la première campagne de l'auteur en faveur de la modernité esthétique. On y découvre un jeune prodige qui n'a "souci que de vie, de lutte, de fièvre", prompt à s'enflammer lorsqu'il évoque Michelet, Balzac, les Goncourt ou Courbet, mais véhément et irrévérencieux face à Hugo, Barbey d'Aurevilly ou Napoléon III... Dans ces quinze "causeries" rédigées avec une partialité pleinement revendiquée se dessinent les contours des grandes convictions zoliennes, que l'avenir ne démentira pas : sa foi dans l'art du roman, son goût pour les "libres manifestations du génie", son sens du progrès, ses affinités avec les sciences humaines, son amour de la vérité et de la justice. Mes Haines, dix ans avant le scandale de L'Assommoir, éclaire superbement les fondements et les principes du naturalisme.

02/2012

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Sciences politiques

Cinquante ans après : le délitement postmoderne

Cet ouvrage tente de répondre à la question : où en est la société française un demi-siècle après la disparition du Général de Gaulle ? La dissémination en archipel des différents pans de la société française traduit un délitement croissant. Il est patent que la France a vu sa cohésion et sa puissance en tant que nation diminuer au cours du demi-siècle. En atteste sa disparition comme référence obligée dans les discours officiels, la nation étant remplacée par la République et ses "valeurs". Pour conduire l'analyse, l'auteur procède par plans de coupe conceptuels étagés selon une hiérarchie traditionnelle. Il examine ensuite les courants nouveaux issus de mai 68 militant pour des causes fondées sur des postulats idéologiques dont la radicalité, les contradictions internes et externes ne font qu'accentuer le délitement en cours. L'issue ne réside pas aux yeux de l'auteur dans la militance, quelle qu'en soit l'orientation. Pour retrouver l'unité perdue de la France, patrie de Jeanne d'Arc, la "voie intérieure" s'impose. De la sorte on pourra mettre fin aux conflits et violences en tous genres qui s'avèrent de puissants agents de désagrégation.

10/2021

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