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Gninêvi Afangbédji Darrah

Extraits

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Littérature française

La Pluralité des deux mondes

Ntakoh, femme stérile, est la risée des autres épouses de Nde. Jusqu'au jour où elle trouve un nourrisson à ses pieds. Quand elle le prend dans ses bras, elle est transportée ailleurs, sur une île au pays des ancêtres. Car cet enfant, qu'Aziza, le génie des champs, lui a confié, n'est pas comme les autres. Tometi est son nom, grande est sa force spirituelle. Nourri de la sagesse des anciens, Tometi est le coeur vibrant de l'Afrique, le porte-parole de ses richesses et de ses droits trop souvent bafoués. Alors, lorsqu'il retourne dans le monde des vivants, guidé par ses conseils avisés, le continent africain commence à recouvrer sa liberté... De sa plume sincère et engagée, Gninêvi Afangbédji Darrah dessine les valeurs, rappelle les richesses et défend les droits de la belle Afrique qui n'aurait qu'à se libérer de l'influence occidentale pour enfin fleurir et s'épanouir...

09/2019

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Littérature française

Etat des lieux

Au village de Beyeda, c'est le temps des festivités. Pendant que les adultes dansent sur la place publique, les enfants s'éclipsent pour jouer. Mais sur la plage, ils découvrent un homme tel qu'ils n'en ont jamais vu : la peau blanche, les cheveux blancs et tout de blanc vêtu, il porte une croix autour du cou. L'homme blanc parle de Dieu et de l'Europe. Il promet que dans son pays on fournira une bonne éducation aux enfants qui pourront ensuite contribuer au bien-être de leur famille. Alors les enfants partent avec lui. Et c'est ainsi que la colonisation commence. Les Blancs imposent une nouvelle religion, une nouvelle culture et les Africains, dépossédés de leurs identités morale, intellectuelle et spirituelle oublient peu à peu leurs racines. Jusqu'à ce que des voix de protestation s'élèvent et que les peuples noirs se mobilisent pour reconquérir leur âme perdue... Dans ce roman engagé, Gninêvi Afangbédji Darrah traite du sujet complexe de la colonisation et de ses conséquences ainsi que du thème terriblement actuel de l'identité culturelle, qu'il est vital de conserver.

08/2018

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Sociologie

Actes de la recherche en sciences sociales N° 235, décembre 2020 : Résistances populaires

La tendance à décrire le pouvoir comme une forme de machination ou du moins une entreprise concertée est ancienne. Elle est confortée aujourd'hui par la mobilisation de technologies de contrôle, de persuasion et de répression toujours plus performantes et perfectionnées, ainsi que par des transformations internes de la classe dominante, comme son homogénéisation sociale et son internationalisation. La possibilité de résistances populaires subsiste pourtant. Ces résistances semblent même avoir fait un retour en force avec, parmi de nombreux exemples ces dernières années, les printemps arabes, les combats contre les installations et les multinationales polluantes ou encore les ZAD et autres mobilisations des néo-ruraux qui développent à l'échelle mondiale un nouvel " art de ne pas être gouverné ". C'est à ces nouvelles formes d'actions et d'organisations politiques que ce numéro d'Actes de la recherche en sciences sociales est consacré, en puisant des outils analytiques chez Pierre Bourdieu, James Scott ou E. P. Thompson et en explorant une série d'études de cas : la politique et l'art automobile du tuning, les machinistes de l'Opéra de Paris, des déléguées syndicales, la réception que réservent des élèves de milieux populaires à des actions de prévention menées en milieu scolaire, etc. Au travers de ces contributions, il s'agit d'interroger les ressources sur lesquelles reposent ces résistances, leurs modes d'actions et d'organisation, mais aussi d'étudier leurs confrontations à la domination et aux dominants et, ce faisant, de contribuer à éclairer l'action profane directe et subversive dans la situation contemporaine.

01/2021

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Littérature française

Nous ne sommes pas faits pour la mort

Je sais que je vais mourir. J'espère " savoir " mourir. Je ne sais pas ce qu'est la mort. La mort n'est pas de l'ordre du savoir mais de la spéculation, nourrie par une épreuve chaque fois unique, chaque fois répétée. " Après la première mort il n'y en a plus d'autre ", lance le poète Dylan Thomas. Les poètes - anglais, surtout - n'ont pas peur de la familiarité avec la mort. Mais que peut-on espérer des philosophes comme Heidegger qui nous clouent désespérément à l'horizon de notre propre mortalité ? Pour la première fois depuis des siècles, nous vivons dans une non-représentation de la mort. Par scepticisme, athéisme, matérialisme ou " modernisme " affichés. Combien de temps croyons-nous pouvoir encore tenir dans un tel désert ? Ne plus imaginer la mort c'est accepter, de fait, la mort de l'imagination. C'est mourir à la vie de notre vivant. La question adressée par ce livre à la philosophie, à la religion et à l'art est une affirmation joyeuse du rôle dévolu à la poésie en temps de détresse.

03/2006

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Littérature française

Adolescences meurtries

Le hasard d'une déviation... Un cimetière... Un cahier d'écolier oublié au fond d'une armoire, et voilà l'auteur plongé dans un épisode douloureux de son passé d'enseignant. Ce roman, où se mélangent fiction et réalité, nous décrit l'inexorable dérive de Jean-Pierre dont l'enfance heureuse sera brisée par un dramatique accident, et qui se verra placé par le juge des enfants dans un établissement spécialisé. Il nous fait partager le quotidien des équipes éducatives et des adolescents avec leurs joies, leurs peines et leurs doutes.

11/2014

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Littérature étrangère

Les villes imaginaires

Inspiré par les voyages surréalistes de cet "homme aux millions de mensonges" qu'est Marco Polo, "Les Villes Imaginaires", premier récit de l'Anglais Darran Anderson, plonge dans les rapports complexes entre les métropoles et l'imagination populaire. Le livre traverse le temps, l'espace et les possibilités fictionnelles, cartographiant les sons, la mélancolie, les rêves et l'au-delà des villes. Voyages opiacés, longues dérives aquatiques, hallucinations de prisonniers entassés dans des prisons logées dans les nuages, décadence de la vie nocturne, gratte-ciel post-soviétiques sans fin, golems errant dans les ruelles, civilisations souterraines, prophéties apocalyptiques, visions architecturales à la Buckminster Fuller... ce livre unique en son genre qui alterne utopies et dystopies, exploration urbaine et résistance sociale, reprend le grand slogan de Mai 68 là où les contemporains de Debord l'avaient laissé : "Sous les pavés, la plage." Dans cette démarche qui dépasse les oeuvres psychogéographiques d'Alan Moore, Will Self ou Iain Sinclair, Darran Anderson réinvente l'histoire urbaine et notre relation à l'endroit où nous vivons. Il s'inscrit ainsi dans la lignée de Borgès, d'Italo Calvino, Chris Marker et Kenneth White, plongeant du macrocosme au microcosme, collant aux rêves et aux aspirations des habitants de ces cités oniriques.

10/2019

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