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Gloire et misère de l'image après Jésus-Christ

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Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

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Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

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En 2024, Montmorillon met Cécile Coulon et Timothée de Fombelle à l'honneur

Le Festival du livre de Montmorillon fait son retour du 7 au 9 juin 2024. Depuis plus de 30 ans, le Festival du Livre invite personnalités du monde littéraire, lecteurs avertis et amateurs de tout âge et de tout milieu dans cette charmante ville de la Vienne pour trois jours consacrés à la littérature d’ici et d’ailleurs.

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Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

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Samurai : Code de l'honneur et Japon médiéval

Voilà près de 20 ans que Jean-François Di Giorgio et Frédéric Genêt ont créé la série Samurai. Les auteurs nous emmenéaient à travers une immense fresque historique dans le Japon médiéval. Le scénario, admirablement mené, immerge le lecteur dans les luttes intestines d’une période où la loi du sabre est toute puissante. L’honneur des samurais s’oppose aux volontés de conquête des petits seigneurs face à l’Empereur. Une période où les croyances et les forces de l’invisible sont encore bien présentes.

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Dossier

Assises nationales de l'édition indépendante : se définir et agir

Dans la droite ligne de son objet, la Fédération organise, en collaboration avec l’Agence régionale du Livre Provence-Alpes-Côte d’Azur, ses premières Assises nationales les jeudi 2 et vendredi 3 février 2023 à Aix-en-Provence. ActuaLitté, partenaire de l'événement, propose de retrouver dans ce dossier tous les articles, interviews et reportages en amont de la manifestation. Et durant ces deux journées, podcasts et témoignages seront diffusés en temps réel. 

Extraits

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Histoire de l'art

Gloire et misère de l'image après Jésus-Christ

La prolifération des images dans notre société vue à travers le prisme du christianisme. La prolifération des images a pris, au cours du XXe siècle, des proportions extravagantes. Pour le dire comme Günther Anders : " Auparavant, il y avait des images dans le monde, aujourd'hui il y a "le monde en images', plus exactement le monde comme image, comme mur d'images qui capte sans cesse le regard, l'occupe sans interruption et recouvre sans interruption le monde. " Ce règne des images et son corollaire, le désintérêt à l'égard du monde tel qu'il nous est donné, est aux antipodes de l'enseignement biblique dans son ensemble. Le christianisme a certes promu l'image, mais pas n'importe quelles images ; et s'il a recommandé les images, c'est en tant que celles-ci s'accordent à la prédication évangélique et servent à confirmer l'Incarnation, réelle et non fictive, du verbe de Dieu dans la personne du Christ. Autant dire que le déluge d'images qui s'abat aujourd'hui sur le monde n'a rien de chrétien. Et cependant, pareil déluge n'aurait pu advenir sans le statut accordé par le christianisme à l'image, sans l'enjeu dont il l'a investie. Conjoncture étrange, dont seule une enquête généalogique est à même de dégager les traits, de révéler les tenants et les aboutissants. Le propos de cet ouvrage est, en mettant au jour certains fils enterrés, de comprendre comment a pu s'effectuer le passage entre l'image chrétienne et le raz-de-marée imagier contemporain.

08/2023

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Beaux arts

Gloire et misère de l'image après Jésus-Christ

La prolifération des images a pris, au cours du XXe siècle, des proportions extravagantes. Pour le dire comme Günther Anders : " Auparavant, il y avait des images dans le monde, aujourd'hui il y a "le monde en images", plus exactement le monde comme image, comme mur d'images qui capte sans cesse le regard, l'occupe sans interruption et recouvre sans interruption le monde. " D'une part, ce règne des images et son corollaire, le désintérêt à l'égard du monde tel qu'il nous est donné, est aux antipodes de l'enseignement biblique, depuis le Pentateuque et les Prophètes jusqu'aux Evangiles et aux épîtres de Paul. Le christianisme a certes promu l'image, mais pas n'importe quelles images : les conciles ont condamné " les peintures qui charment la vue et corrompent l'esprit, et allument les flammes des désirs impurs ", et s'ils ont recommandé les images, c'est en tant que celles-ci s'accordent à la prédication évangélique et servent à confirmer l'Incarnation, réelle et non fictive, du verbe de Dieu dans la personne du Christ. Autant dire que le déluge d'images qui s'abat aujourd'hui sur le monde n'a rien de chrétien. D'autre part cependant, pareil déluge n'aurait pu advenir sans le statut accordé par le christianisme à l'image, sans l'enjeu dont il l'a lestée. Conjoncture étrange, dont seule une enquête généalogique est à même de dégager les traits, de révéler les tenants et les aboutissants. Le propos de cet ouvrage est, en mettant au jour certains fils enterrés, de comprendre comment a pu s'effectuer le passage entre l'image chrétienne et le raz-de-marée imagier contemporain. Une enquête historique, philosophique, théologique est donc nécessaire. Les hommes qui au VIIIe siècle, en Orient, se sont durement affrontés sur la question des images, n'étaient pas des insensés, mais des personnes plus au fait que nous de la puissance des images et des enjeux qui leur sont attachés. Voilà pourquoi les arguments échangés lors de cette querelle, ainsi que la théologie de l'image qui s'est dégagée alors, et précisée par la suite, réclament de nous attention et réflexion. Ils la réclament d'autant plus que, parmi les parmi les erreurs commises à l'égard des images qui nous viennent du passé, la plus courante consiste à les recevoir comme oeuvres d'art. Or, comme l'a souligné Hans Belting, l'" ère de l'art " ouverte par la modernité a été précédée par une longue " ère de l'image ", dont nous avons peine à nous faire une idée juste, dès lors que " l'histoire de l'art a tout qualifié d'art sans autre forme de procès, afin d'en revendiquer le titre de propriété, nivelant ainsi les différences ". A l'époque médiévale, il n'y avait pas d'oeuvres d'art à caractère religieux, il y avait des oeuvres sacrées réalisées avec art. Non seulement la pensée théologique se révèle indispensable pour appréhender correctement des oeuvres qui n'étaient pas proposées à l'admiration des esthètes, mais à la contemplation des fidèles ; elle s'avère également nécessaire pour comprendre de quelle manière la transition entre l'ère de l'image et l'ère de l'art a pu s'effectuer. Le XVe siècle constitue à cet égard, en Occident, une période charnière, à laquelle nous accordons une attention particulière. Durant les premiers siècles du christianisme, l'apologétique se devait d'insister sur la divinité du Christ. Vint ensuite un temps où il n'y eut plus tant à convaincre les fidèles de la divinité du Christ, ni à la proclamer contre ceux qui la niaient, qu'à rappeler son humanité, qu'il s'était vraiment fait homme. Ce souci nourrit un mouvement vers le naturalisme : plus le Christ, son entourage et le cadre dans lequel il apparaissait étaient présentés de manière naturaliste, plus l'Incarnation de Dieu en ce monde-ci révélait son caractère " surmerveilleux ". De ce point de vue, la valeur religieuse d'une peinture se trouva, sinon indexée, du moins liée à l'art dont le peintre avait fait preuve dans le rendu des personnages, des objets et de la nature. Le passage de l'ère de l'image à l'ère de l'art ne s'est pas opéré par rupture, ni par évolution progressive, mais par la production d'oeuvres à double entente, qui pouvaient tout à la fois être reçues comme images sacrées et comme oeuvres d'art. L'histoire des liens entre sacré et image ne s'achève pas avec l'émancipation de l'art vis-à-vis des thèmes et prescriptions religieux. Car quand bien même la modernité serait " sortie de la religion ", sortie ne signifie pas indépendance - pas plus que celui qui rejette sa famille pour aller vivre sa vie aux antipodes n'en a fini avec l'influence de ses parents, dont témoigne son éloignement même. S'imaginer définitivement quitte de la religion, ce n'est pas en être effectivement quitte, c'est plutôt s'interdire d'en mesurer l'héritage et se condamner à une forme de somnambulisme. Quoi qu'on en ait, le rapport à l'image demeure hanté par le sacré. A travers elle, une Présence se cherche. Cela vaut aussi bien pour les images photographiques ou cinématographiques, dans leur multiplication insensée : au fur et à mesure qu'elles se multiplient, la présence qu'elles tentent de capter s'évapore, et plus cette présence s'évapore, plus il faut multiplier les images pour essayer d'en capter malgré tout une bribe, en un emballement frénétique. En regard de la photographie, une autre quête de la présence dans l'image, différente et concurrente, s'est poursuivie au sein de l'art moderne - qui a mené à la peinture non figurative. Les deux mouvements - l'inflation photographique, l'abstraction - se répondent : plus le nombre des images photographiques et cinématographiques devient démentiel, au point de saturer le regard, plus la peinture est conduite, pour donner matière à voir, à prendre le contrepied. Dans ce livre, nous nous efforçons de suivre un fil. Le qui, partant de la façon dont les images ont été reçues et se sont épanouies au sein du christianisme, conduit au moment où la célébration du mystère de l'Incarnation a servi d'incubateur à l'ère de l'art, qui elle-même aboutit, après quelques siècles, à leur prolifération sans mesure, ou à l'abandon de la figuration. Le chemin n'est pas une marche aléatoire, il n'est pas non plus une ligne droite. Les modes d'intelligibilité varient mais, ce qu'à épouser les plis du terrain le propos perd en unité, il espère le gagner en vérité.

09/2020

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Religion

Martyrs de Lyon. 177 après Jésus-Christ

Lorsque débute la persécution contre les chrétiens de Lyon en 177, l'empereur Marc Aurèle règne depuis 161. Personne, dans l'Empire romain, n'aurait pensé qu'un souverain de cette dimension intellectuelle et morale, formé à la philosophie grecque stoïcienne et épicurienne, figure de sagesse, se montrerait soudain intraitable à l'égard des chrétiens d'Occident. Cette année-là, sans doute parce qu'il s'inquiète du prosélytisme des chrétiens perçu comme un danger, il ne se contente pas de persécutions épisodiques sur dénonciation, il approuve par son silence persistant et odieux les atrocités antichrétiennes de ses représentants romains. La Gaule a été encore pourtant peu touchée par le christianisme jusqu'à cette époque, mais des chrétiens d'Orient et de Rome, voyageurs ou commerçants, ont débarqué à l'embouchure du Rhône, sans doute à Massalia (Marseille), ont remonté le fleuve et ont essaimé jusqu'à Lyon, la capitale des Gaules. Ils ont formé une communauté chrétienne active qui a répandu la nouvelle religion dans tout le pays et un évêque, Pothin, a pris sa tête... Avec le talent d'historien qu'on lui connaît, Joël Schmidt retrace le destin tragique de ces témoins, obscurs ou plus connus, qui ont payé de leur vie leur appartenance à la foi chrétienne.

02/2019

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Religion

L’Imitation de Jésus-Christ. L’Imitation de Jésus-Christ

Pour honorer parfaitement Jésus-Christ, et par l'honneur qu'on Lui rend, remplir les devoirs d'un véritable Chrétien, il faut s'appliquer à Le connaître, à L'aimer et à L'imiter ; et cela et absolument nécessaire au salut de tous les Chrétiens, qui ne sont Chrétiens que par la connaissance, par l'amour et par l'imitation de Jésus-Christ. Prétendre plaire au Sauveur par les connaissances sublimes qu'on a de Sa divinité, sans s'attacher à suivre Ses exemples, et à vivre comme Il a vécu, c'est la plus dangereuse des vanités. Etudier les vérités, non pas tant pour les savoir que pour les pratiquer ; écouter la parole éternelle, qui parle plus au coeur qu'à l'esprit ; savoir ce qui est nécessaire à notre salut, et le faire, c'est ce qui fait la vraie science du Chrétien . "Crois et tu comprendras ; la foi précède, l'intelligence suit". Saint Augustin

05/2020

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Religion

L'imitation de Jésus-Christ

L'Imitation de Jésus-Christ tient une grande place dans la littérature chrétienne. Ecrit par un moine, Thomas a Kempis, durant la première moitié du XVe siècle, ce petit livre a été lu et médité par des générations de laïcs désireux d'approfondir leur vie intérieure. L'Imitation est certes un témoignage parmi d'autres du renouveau spirituel de son époque, désigné sous le nom de Devotio moderna, qui oppose la voie de l'intériorisation à un monde extérieur déchiré et violent. Mais les grandes oeuvres débordent le temps et le lieu qui ont offert le cadre, le sujet, l'occasion, l'auditeur. C'est l'existence chrétienne de toutes les époques qui est décrite dans ce livre. La grâce et la tentation sont ressaisies à leur " racine " : l'existence de l'amour et du mal. De l'un et de l'autre, l'auteur décrit avec minutie les formes en appelant le lecteur à la conversion intérieure. L'Imitation tend avant tout à cette purification du coeur sans laquelle ne peut être ni compris ni vécu l'Evangile.

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Littérature française

L'Imitation de Jésus-Christ

L'Imitation de Jésus-Christ / traduction nouvelle de M. l'Abbé [Pierre-Nérée] Dassance,... avec des réflexions tirées des Pères de l'Eglise, et de Bossuet, Fénelon, Massillon et Bourdaloue ; illustrée par MM. Tony Johannot et Cavelier... Date de l'édition originale : 1837 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

11/2020

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