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Géraldine Farges

Dossiers

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Dossier

États généraux des Festivals et des Salons du livre

Les 16 et 17 mars 2023, à la Maison de la Poésie, se tiendront nombre de débats organisés par La Sofia. Au cœur des échanges, la vie, l’organisation et les problématiques que rencontrent les événements littéraires en France. Deux journées dont les débats sont à réécouter, en intégralité.

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Dossier

La Comédie du livre 2023 : 10 jours de lectures à Montpellier

Créée en 1986, la Comédie du Livre est un des rendez-vous majeurs de la vie littéraire en France, qui réunit chaque année près de 250 auteurs et 70 000 visiteurs à Montpellier. Ces dix dernières années, sa programmation dédiée aux littératures françaises et étrangères, à l'édition indépendante de création littéraire et à l'émergence de nouveaux talents lui ont permis de conquérir de nouveaux publics.

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Dossier

Le métier d'éditeur : mythes et légendes au pays des histoires

Comment l’industrie qui vend des romans, des albums, des récits fantastiques, terrifiants, pourrait échapper à faire elle-même l’objet d’histoires ? Pas la Grande Histoire Littéraire, que l’on invoque avec des majuscules, non. Celle des rumeurs, du qu’en-dira-t-on, entre bruits de couloirs et légendes urbaines.

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Dossier

Troisième édition du Prix Frontières - Léonora Miano 2023

L’Université de Lorraine (Crem, Loterr) en collaboration avec l’Université de la Grande Région (UniGR), lançait en 2021 la première édition du prix littéraire «Frontières», dédié à l’écrivaine Léonora Miano. Durant cinq années consécutives, il récompensera le meilleur roman de l’année abordant la thématique des frontières.

Extraits

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Sociologie

Les mondes enseignants. Identités et clivages

Quelles différences constate-t-on entre un jeune professeur des écoles et un jeune professeur de lycée ? Sont-elles du même ordre que celles observées entre deux enseignants de la génération précédente ? Le métier d'enseignant correspond en effet à des statuts différents et des niveaux de rémunération et de diplômes variés : loin d'être immuables, ces lignes de clivage se redessinent au cours du temps, dans un espace social lui-même changeant. Dans cet ouvrage, Géraldine Farges analyse la façon dont se constitue cette hétérogénéité des " conditions enseignantes " et dont elle transforme, sur le plan professionnel, la valeur accordée à la profession. Les conditions de travail comme les perspectives de carrière évoluent sans toutefois résulter en un rapprochement entre les niveaux d'enseignement. La " communauté éducative ", mise en valeur par les réformes récentes – en vérité trop contraignantes pour permettre son émergence –, apparaît donc comme un leurre. A la place, la distinction entre professeurs des écoles, collèges et lycées se perpétue sous des formes renouvelées.

10/2017

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Littérature française (poches)

Tombeau d'Héraldine

Hommage à Héraldine ! Maîtresse d'elle-même et de l'Histoire, elle illustre cette manipulation des faits qui n'étonne plus personne. Elle sait que le boniment est le sel des jours et que l'Histoire est la nôtre : chacun doit la faire à son gré. Allant jusqu'à tourner à profit les dérives de sa santé, elle ignore le qu'en-dira-t-on et partage la réflexion de Montaigne : " Je pense qu'il faut se prêter aux autres et ne se donner jamais qu'à soi-même. "

06/2005

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Beaux arts

Géraldine Gonzalez, l'orfèvre de la lumière

L'art voyage parfois à la vitesse de la lumière... Il émane des sculptures de Géraldine Gonzalez, à mi-chemin de l'anamorphose et de l'illumination, un climat d'apesanteur. Leur éclat défie les lois de la gravité et leur aura agit sur notre imagination à la manière de ces miroirs qui préfèrent l'invisible au monde présumé visible. "Créer un conte de fées où les fées n'apparaissent pas". Comme Jean Cocteau avec La Belle et la Bête, Géraldine Gonzalez construit un univers où le naturel côtoie le surnaturel et où le sentiment de léger déséquilibre est produit par une étrange familiarité. Derrière chaque scintillement, quelque spectre pourrait bien s'avancer.

11/2019

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Photographie

Marges

Voici près de vingt ans que Patrizia Di Fiore a choisi de devenir photographe. Sa carrière a commencé dans le sud de la France, à Toulouse mais comme beaucoup de représentants de sa génération, Patrizia est de nulle part et de partout à la fois. Née en Italie, elle s’est fixée en France et voyage beaucoup, existence nomade dans un monde global où les médias sont le choeur des drames modernes : guerres, choc des territoires, pain quotidien du malheur… "Les photographies de P Di Fiore génèrent une impression contrariante. Elles nous interrogent sur ce qu’elles ne montrent pas. Le regard qu’elle propose sur ces espaces porte sur les lignes qui les détourent plus ou moins franchement. Il ne s’arrête pas vraiment sur les arêtes d’une construction, neuve, propre, connue, sans architecture. C’est autour qu’il s’attarde, sur les abords des maisons et sur ce qui fait limite. Limite entre espace public et espaces privatifs. Limite entre construit et non construit. Entre usages et occupations. Entre agricole et non agricole. Entre ce à quoi on donne de la valeur et ce à quoi on en donne moins." MR

06/2011

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Littérature française

Marges

Sans le trait assuré des ornières, sans les lisières dont je me suis servi comme d'une main courante, sans l'éclat des cloches qui rameutent au loin les fidèles, le cri du coq, sans les tessons qui battent la mesure, sans les brins d'herbe et les épis de blé qui habillent la terre, l'odeur du bois qui brûle, sans la grange aux portes entrouvertes, sans les regrets qui exaucent, serais-je demeuré vivant ? Je tremble toutefois de ne jamais parvenir au repos, de ne me satisfaire ni du soleil ni de l'ombre, de ne pouvoir retenir le fugace, je tremble lorsque le chemin disparaît derrière la crête, je tremble de rien, je tremble de tout, je suis sur la bonne voie, errant sur un chemin qui n'a ni commencement ni fin.

09/2015

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Littérature française

Quelles farces !

Ca dégouline en lumière froide le long des platanes profanés, ç enlaidit les avenues, les carrefours, les ronds-points, ça forme des guirlandes clignotantes et sinistres comme des stroboscopes d'ambulances, ça évapore dans l'espace hivernal une énergie onéreuse tandis que les pauvres grelottent, ça veut égayer la ville mais ça ne fait qu'étaler l'absence de joie collective qui nous écrase : ce sont les décorations de fin d'années. L'on dirait que tous le pays jette des feux de détresse.

03/2014

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