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Frédéric Boyer

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Extraits

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Livre de poche jeunesse

Signé Frédéric K. Bower

Imaginez l'être le plus antipathique, le plus malfaisant, le plus laid qui soit : vous serez encore loin de vous représenter Frédéric Kenneth Bower. Il n'a que douze ans, possède une immense fortune héritée de son père, magnat des affaires, et n'a qu'une seule idée en tête : éliminer le jeune Robin West... qu'il ne connaît même pas.

04/2008

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Littérature française

Eloge de monsieur Ruysch

En tant que secrétaire perpétuel de l'Académie royales des sciences, Fontenelle (1657-1757) ne pouvait pas ne pas consacrer l'un de ses articles à Frederik Ruysch (1638-1731). Connu pour ses techniques de dissection et de conservations des corps, maître d'oeuvre de démonstrations publiques d'anatomie, auxquelles assistent le grand public, mais également princes et monarques venus de toute l'Europe, Frederick Ruysch devient surtout célèbre pour ses cabinets de curiosités et leurs exceptionnelles collections anatomiques, au point de considérer ces pièces et leurs mises en scène comme des pièces artistiques à part entière. Un art qui pourrait être élevé sans doute au genre des vanités et dont nous pouvons encore découvrir l'étrangeté, la beauté bizarre, grâce aux gravures illustrant la plupart des principaux ouvrages de Frederik Ruysch.

06/2025

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Critique

Comprendre et compatir

Dans ces sept textes, Frédéric Boyer étudie et interroge l'oeuvre de Dostoïevski (romans, carnets, personnages emblématiques) ainsi que certains textes évangéliques, des essais de Patockà, La Recherche. L'oeuvre de Dostoïevski est éclairée par ce regard qui y voit la mise en scène d'un monde qui s'accomplit aujourd'hui, un monde qui n'a jamais autant souffert de la responsabilité. Son actualité est à chercher dans la traversée de la violence et du mal comme dernier chemin vers l'énigme de l'autre.

02/1993

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Littérature française

La où le coeur attend

"J'ai écrit ces lignes des années après. J'ai surmonté ma honte et parfois le déni ou la réprobation des autres. J'avais frôlé la fin de tout. Nous attendons trop sans savoir que nous sommes attendus nous-mêmes dans l'existence à ce point sombre d'où quelque chose peut recommencer. J'ai retraduit mon malheur en traduisant les textes de Job, de saint Paul ou de Shakespeare. Et je commençais à croire qu'il n'y a d'espérance qu'à ce point-là d'essoufflement. J'ai interrogé la dérision du désespoir et l'indignité de notre monde contemporain qui voudrait exclure l'espérance de nos coeurs et de nos communautés", Frédéric Boyer.

09/2017

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Non classé

Trafic N° 114, été 2020

Jacques Bontemps, Jacques Bontemps, Aléas de la transmissionAmélie Galli, Amélie Galli, Sébastien Lifshitz, l'inventaire infiniMarie Anne Guerin, Marie Anne Guerin , Ryûsuke Hamaguchi, la prose des récitsElfriede Jelinek, Elfriede Jelinek, N'allez pas à eux, les anges viennent à nous ! Claus Philipp, Claus Philipp, Sur les épaules d'Erich von StroheimHervé Gauville, Hervé Gauville, L'arche de Noé, 11Anne Bertrand, Anne Bertrand, Robert Frank à MabouJoachim Olender, Joachim Olender, Un vaisseau pour le cinémaMichelangelo Antonioni, Michelangelo Antonioni, Lellre à Kon IchikawaFrédéric Sabouraud, Frédéric Sabouraud, Antonioni : Eros, Thanatos, cosmosPierre Eugène, Pierre Eugène, Thomas Pynchon et ses lumièresGuillaume Bourgois, Guillaume Bourgois, V. comme Inherent ViceJonathan Rosenbaum, Jonathan Rosenbaum. Utopie et ApocalypseFabrice Revault, Fabrice Revault. CinémalédictionsManny Farber, Manny Farber, Le hérosAmadis Chamay, Amadis Chamay, Les doubles jeux d'Arthur KennedyCatherine Perret, Catherine Perret, Garder la main

06/2020

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Biographies

Sous l'éclat des flèches

"Je suis reconnaissant d'être encore en vie et en même temps terrifié de l'être toujours. Mais je n'ai pas d'idée exacte envers qui ou quoi je devrais être reconnaissant d'être toujours là. Redevable de qui ou quoi. C'est bien une question que je me serai toujours posée. Quelle serait la dette à payer. Cette question m'a frappé, percé comme une flèche invisible, après la mort accidentelle, tragique, en juillet 2017, de la femme que j'aimais, et celle, tout autant terrible et inattendue, quelques mois plus tard à peine, en janvier 2018, de mon éditeur et ami, Paul Otchakovsky-Laurens. Les blessures sont toujours là, sous le soleil de la vie. Les flèches vibrent. Leur éclat m'aveugle encore". Frédéric Boyer, depuis deux ans, écrit des chroniques dans le quotidien La Croix, puis dans l'hebdomadaire La Croix-L'hebdo où il raconte, à partir de sa vie personnelle, son rapport au monde. Il les publie à présent, revues et augmentées. Et leur force littéraire, spirituelle et politique est éclatante.

09/2020

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