Recherche

Eva Doumbia

Extraits

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Le Iench

L'année de ses onze ans, Drissa, Français d'origine malienne, emménage dans un pavillon de province avec ses parents, sa soeur jumelle et son petit frère. Il rêve sa famille conforme aux images des publicités. Deux voitures dans le garage, le repas du dimanche midi, le permis à dix-huit ans, danser en boîte de nuit, le baccalauréat et surtout un chien, le Iench. Mais parviendra-t- il à toucher du bout des doigts cette banalité et à échapper au rôle que la société lui assigne malgré tout ?

09/2020

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Chasselay et autres massacres suivi de Le camp Philip Morris

A l'aube des 80 ans de la Libération, Eva Doumbia livre un diptyque sur les tirailleurs sénégalais, longtemps oubliés de l'histoire. Elle ancre les pièces dans deux temporalités différentes, en 1940 et en 2012, continuant ainsi sa fresque familiale initiée avec Le Iench, publié en 2020, chez Actes Sud-Papiers.

10/2024

ActuaLitté

Non classé

Parages N° 10, octobre 2021

PARAGES propose deux focus. Le premier est consacré â Elfriede Jelinek : poèmes de jeunesse, entretien, inédit de l'écrivaine (traduits par Magali Jourdan et Mathilde Sobottke) ; Rémy Barché interroge Ludovic Lagarde sur sa création de Sur la voie royale. Le second met en lumière les éditions Théâtrales : portrait du fondateur (Jean-Pierre Engelbach) et du directeur actuel (Pierre Banos), histoire de la maison ; portfolio de Philippe Malone ; présence d'auteur-rices phares du catalogue, comme Howard Barker, Anja Hilling, Daniel Keene, Guillaume Poix, Noelle Renaude et Sandrine Roche. Nous publions également une série de fictions brèves inédites signées Edouard Elvis Bvouma, Eva Doumbia, Sèdjro Giovanni Houansou et Eddy Pallaro. Mariette Navarro analyse lucidement la situation des auteurrices dramatiques dans le théâtre public. Enfin, Joseph Danan, écrivain et chercheur, expose une vision libre et enchantée de l'oeuvre aujourd'hui incontournable d'Ivan Viripaev, et Marie-Amélie Robilliard explore la façon dont Tiago Rodrigues aborde théâtralement le patrimoine littéraire.

10/2021

ActuaLitté

Non classé

Victoria K, Delphine Seyrig et moi ou la petite chaise jaune

Depuis la fin de la guerre civile terminée officiellement le 13 octobre 1990, le Liban s'est reconstruit matériellement, enterrant son passé proche et se projetant de manière vertigineuse vers l'avenir. L'humain n'a pas été reconstruit, pansé, écouté. Il s'est exilé ou est resté là souvent refermé sur sa communauté. Beyrouth a changé de visage et a connu comme beaucoup d'autres villes dans le monde gentrification et négligence du patrimoine architectural traditionnel. Le centre-ville qui occupait une fonction de centre avant 1975 en rassemblant toutes les couches de la société s'est transformé en lieu aseptisé accessible uniquement à ceux qui en ont les moyens. L'Histoire récente n'a pas été enseignée à la jeunesse car elle n'a pas été écrite. Les livres d'Histoire du Liban exploités dans les collèges et les lycées privés et publics s'arrêtent avec l'indépendance du Liban en 1943. A croire que depuis qu'il est reconnu officiellement en tant que pays ce territoire n'a plus d'Histoire commune. La rencontre avec les carnets et lettres de Victoria a été le moyen, le chemin pour ouvrir une brèche vers un pan de l'Histoire locale et régionale, de réparer une forme de déni historique et de revisiter aussi le parcours qui m'a menée jusqu'à elle ou qui l'a menée jusqu'à moi. J'ai construit cet écrit comme une fouille archéologique qui dévoile petit à petit ou donne d'abord des morceaux, des fragments qui s'assemblent et fondent les uns dans les autres au fur et à mesure. S'il dessine en filigrane les conflits qui ont secoué le pays et la région, il raconte surtout une femme à la recherche de repères humains et géographiques qui va à la rencontre d'une autre femme. Il se base sur une documentation réelle et questionne ce qui fait la réalité et ce qui fait la fiction. Valérie Cachard Cette édition est une édition bilingue, en français et en arabe libanais. Ce texte a reçu le prix RFI Théâtre 2019. Il s'inscrit dans un projet multidisciplinaire mené en collaboration avec Grégory Buchakjian Il a été mis en scène au CDN de Rouen en mars 2020, avec Tamara Saadé et Catherine Dewitt sous la direction d'Eva Doumbia et mis en voix au Théâtre de la Tempête en juillet 2020 avec Anne-Lise Heimburger, Astrid Bahiya et Benoist Esté sous la direction de Catherine Boskowitz Il est traduit du français vers l'arabe libanais par Chrystèle Khodr Cet ouvrage, publié dans le cadre du Programme d'Aide à la Publication Georges SCHEHADE, bénéficie du soutien du Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères et du Service de Coopération et d'Action Culturelle de l'Ambassade de France

10/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté