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Embellies

Extraits

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Littérature française

Embellies

Des nouvelles qui, en restituant quelques tranches de vie, mettent en scène des personnages aussi variés qu'un lecteur d'Homère, une Cubaine vindicative ou un forgeron mélancolique... Souvent atteints du mal d'amour, ils s'interrogent sur le sens et le développement souhaitable de ce qu'ils vivent. Nouvelles, en ce sens, subjectives ou en tout cas réflexives. C'est ce caractère qui oriente chaque aventure en direction d'un dénouement qui en effet dénoue non seulement ce que le récit a de narratif mais les noeuds paralysants dont chaque personnage a lieu de se plaindre jusqu'à l'embellie finale.

10/2017

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Techniques artistiques

Les fleurs embellies

Les fleurs textiles embellies explorent avec brio la beauté du monde naturel à l'aide de broderies. Katrina Witten associe quelques points, des embellissements délicats et des tissus colorés, et utilise des techniques variées pour dépeindre des scènes pastorales représentant des champs et des fleurs merveilleusement détaillées. Découvrez 10 sujets champêtres dont une haie, un bois parsemé de jacinthes, des tournesols, un champ de coquelicots et une composition estivale composée de buddleias, d'une abeille et de papillons (tous fournis avec leurs gabarits).

08/2019

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Littérature étrangère

L'Embellie

C’est la belle histoire d’une femme libre et d’un enfant prêté, le temps d’une équipée hivernale autour de l’Islande par la route côtière. En ce ténébreux mois de novembre islandais, exceptionnellement doux au point de noyer l’île sous les pluies et les crues, la narratrice, qui ne cesse de se tourner elle-même en dérision, voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie, Audur, lui demander de s’occuper, pour au moins une saison, de son fils de cinq ans. Pourtant la chance sourit à l’amie d’Audur : elle gagne un chalet d’été et une petite fortune au loto. À la suite de sa rupture, elle aurait préféré accomplir un voyage consolateur à l’étranger mais, bonne nature, elle est incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit, hommes ou femmes. Elle partira tout de même, pour un tour de son île noire, avec Tumi, le fils d’Audur, étrange petit bonhomme, presque sourd, mutique, et avec de grosses loupes en guise de lunettes. Roman d’initiation s’il en fût, l’Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation de plus en plus cocasse, attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre – on pourrait dire amoureuse – de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, sur fond de blessure originelle. Et l’on se glisse dans l’Embellie avec une sorte d’exultation complice qui ne nous quitte plus, longtemps après en avoir achevé la lecture. Il y a chez la grande romancière islandaise – dont on garde en mémoire le merveilleux Rosa candida – un tel emportement rieur, une telle drôlerie des situations comme des pensées qui s’y attachent, que l’on cède volontiers à son humour fantasque, d’une justesse décapante mais sans cruauté, terriblement magnanime. Vrai bain de jouvence littéraire, ses romans ressemblent à la vie.

08/2012

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Poésie

L'embellie

"Le poète vénère un absolu du langage quotidien. Ne pas vivre au-dehors, ne pas faire, ne pas dire, afin que s'affirme en nous ce qui est plus nous, en quelque sorte, mystérieusement. Notre regard sur "cela" qui est notre tout, qui nous dépasse, que nous portons jusque dans notre défaut le plus intime, sceau de notre intégrité, ce regard pourra s'éloigner, se séparer de lui-même, saisir une perspective nouvelle de l'être. Le plus aigu de l'idée doit suffire à l'ivresse. Elle tombe au creuset du gouffre où le feu couve pour lui donner une transparence. Modestes éléments, timbres, rythmes, rimes venus du fond de l'être, par eux s'établit le recul de l'espace, sur plusieurs plans. Une aspiration profonde contamine tout, désagrège la substance de l'être et l'absorbe, comme font ces insectes qui, d'une proie avidement bue, laissent une coque vide. Aucun langage ne peut traduire cet effort dans l'absurde, cette foi voisine toujours du doute et du désespoir, prenant ses assises en porte à faux, décalant la vie", Edith Boissonnas.

11/1966

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Littérature érotique et sentim

L'EMBELLIE

"Elle prit l'habitude de penser à lui et il se mit à incarner un idéal. Sans rien savoir de lui, elle décida d'en faire un but, de consacrer toute son énergie à le conquérir. Elle n'était pas absolument certaine qu'il soit dans la même disposition d'esprit, mais qu'à cela ne tienne elle en vint à croire qu'il y avait entre eux une entente tacite pour qu'un jour ils envoient promener leur existence respective, la vie respective que chacun avait construite et vivait de son côté, elle pensait à lui, rêvait de lui avec véhémence, elle ne savait pas s'il s'agissait d'amour parce qu'elle n'avait jamais bien su définir en quoi l'amour consistait, elle avait jeté son dévolu sur lui, et rien d'autre ne comptait plus pour elle. Il devint une idée fixe." Yves est sorti de sa vie il y a trente ans, et pourtant elle n'a jamais cessé de penser à lui depuis. Osera-t-elle l'inviter à la fête d'anniversaire de ses soixante ans ? Ce roman en forme de dialogue intérieur, aux couleurs vieillies des souvenirs pourtant vivaces, donne lieu à une intense et intime réflexion sur l'amour et le sens que chacun y donne dans sa vie. Avec beaucoup de sensibilité et d'abnégation, M.-C. Mir livre ici ses doutes, ses rêves et ses regrets, dans une sorte d'autopsie de son histoire d'amour passée. Un livre touchant de réalisme et d'introspection.

12/2012

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1981 à 1995

Une embellie perdue

Une embellie perdue est la suite des Mémoires que Gisèle Halimi a entrepris avec La cause des femmes et Le lait de l'oranger. En juin 1981, l'avocate est élue députée. Le "peuple de gauche" rêve de changer la vie ; et les femmes de compter, enfin, en politique. Mais l'embellie sera brève. Les socialistes cèdent, assez vite, au "réalisme" et aux délices du pouvoir. "La gauche a-t-elle encore une âme ? " s'interroge bientôt Gisèle Halimi. En septembre 1984, elle quitte l'Assemblée. Pendant quarante mois, elle aura vécu une aventure ambiguë : décevante, dans l'univers masculin des politiciens : riche de découvertes, dans sa circonscription. Le Palais-Bourbon sous la vague rose. Le chemin - un temps commun - avec François Mitterrand, Joxe, Rocard ou Bérégovoy. La campagne - hors de tous les partis - des "100 femmes pour les femmes", en 1978. Le suicide tragique de trois amies, "chambardées" par leurs ruptures féministes... Souvenirs mêlés... Ce livre témoigne de l'espérance et du désenchantement de ces dernières années. Il tente aussi une réflexion sur le pouvoir, la démocratie, les contradictions entre vie privée et vie publique. Un récit doux-amer, tourné cependant vers l'avenir où Maud-Tahfouna, la petite-fille lumineuse de Gisèle Halimi, l'entraîne. Avec la force de l'enfance.

06/2022

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