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Constance Rivière

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Littérature française

La maison des solitudes

"Au jeu des Sept familles, je demande la famille silence. Le grand-père secret. La grand-mère mystère. La mère mutique. Le père motus. La fille bouche cousue. Une seule règle du jeu : pas de question". Une jeune femme veut rejoindre sa grand-mère qui vit ses dernières heures à l'hôpital, mais elle en est empêchée. Pour lutter contre cette inhumanité envahissante, elle remonte le fil de la vie. Les souvenirs peuplent sa solitude : la Maison familiale, la lumière chaude de l'enfance, les livres de contes, le marronnier aux branches basses comme des caresses... Et les étreintes de sa grand-mère, qui rayonne de vie. Pourtant une ombre recouvre le tableau. Sa mère refuse de franchir le seuil de la Maison, le mutisme ne quitte pas un instant cette femme lunaire. "Le soleil a rendez-vous avec la lune, mais la lune n'est pas là...". Cette rengaine familière, il n'est plus temps de la fredonner lorsque, les années ayant passé, la mort frôle. Les heures, les minutes de vie sont comptées, la jeune femme ressent l'urgence de comprendre. Que s'est-il passé dans la Maison ?

08/2021

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Littérature française

Une fille sans histoire

13 novembre 2015. Comme tous les soirs, Adèle est assise seule chez elle, inventant les vies qui se déroulent derrière les fenêtres fermées, de l'autre côté de la cour. Quand soudain, en cette nuit de presqu'hiver, elle entend des cris et des sirènes qui montent de la rue, envahissant son salon, cognant contre ses murs. La peur la saisit, elle ne sait plus où elle est, peu à peu elle dérive. Au petit matin apparaît à la télévision l'image de Matteo, un étudiant porté disparu, un visage qu'elle aimait observer dans le bar où elle travaillait. Sans y avoir réfléchi, elle décide de partir à sa recherche, elle devient sa petite amie. Dans le chaos des survivants, Adèle invente une histoire qu'elle enrichira au fil des jours, jouant le personnage qu'on attend d'elle. Les autres la regardent, frappés par son étrangeté, mais ils ne peuvent pas imaginer qu'on veuille usurper la pire des douleurs. Une histoire contemporaine où l'on est happés par l'émotion et le trouble. Un roman nécessaire.

08/2019

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Littérature française

Une fille sans histoire

13 novembre 2015. Comme tous les soirs, Adèle est seule chez elle, inventant les vies qui se déroulent derrière les fenêtres fermées, de l'autre côté de la cour. Quand soudain, elle entend des cris et des sirènes qui montent de la rue. La peur la saisit, elle ne sait plus où elle est, peu à peu elle dérive. Au petit matin apparaît à la télévision l'image de Matteo, un étudiant porté disparu, un visage qu'elle aimait observer dans le bar où elle travaillait. Sans y avoir réfléchi, elle décide de partir à sa recherche, elle devient sa petite amie. Dans le chaos des survivants, Adèle invente une histoire. Les autres la regardent, frappés par son étrangeté, mais ils ne peuvent pas imaginer qu'on veuille usurper la pire des douleurs.

08/2021

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Littérature française

La Maison des solitudes

Une jeune femme veut rejoindre sa grand-mère, qui vit ses dernières heures à l'hôpital. Assise dans un couloir sans fin, elle remonte le fil de sa vie. Les souvenirs peuplent sa solitude : la maison familiale, les contes de l'enfance, le marronnier aux branches basses comme des caresses... Et les étreintes de sa grand-mère, qui rayonne comme un soleil. Pourtant une ombre recouvre le tableau. Sa mère a décidé de ne plus jamais franchir le seuil de la Maison, se réfugiant peu à peu dans le mutisme. Aujourd'hui, les heures sont comptées, et la jeune femme ressent l'urgence de comprendre. Que s'est-il passé dans la Maison ? Un roman qui se lit d'une traite, portant la question de la transmission et de la réconciliation avec une fascinante maturité. Sublime et touchant, avec une sensibilité bouleversante, tout en retenue et subtilité, magnifiée par une plume délicate. Page des libraires. Construit comme un thriller littéraire de haute volée. Serge Raffy, L'Obs.

03/2023

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Littérature française

La vie des ombres

"Voilà derrière qui je cours : un homme né sage qui s'est un jour mis en tête de découvrir l'Amérique. Celle des invisibles, voix et visages effacés par les logiques institutionnelles. L'Amérique des marges mais aussi de ceux qu'on ne voit plus à force de les croiser tous les jours. Je cours derrière un homme qui, armé de quatre instruments - une caméra 16 mm pour l'image, une perche pour le son, des ciseaux pour la tension et de la colle pour le sens -, est parti observer comment vivent les hommes". A première vue, rien ne semble rapprocher l'écrivaine Constance Rivière du cinéaste américain Frederick Wiseman. Ni l'origine, ni la nationalité, ni l'âge. Est-ce cette profonde différence qui fonde ce livre ? Ce que cherche Wiseman depuis un demi-siècle, à travers plus de cinquante films documentaires consacrés à la société américaine, c'est la trace que laissent les laissés pour compte, les internés, les victimes de violence conjugale, les exclus du miracle économique, les habitants des cités, mais aussi les membres d'une communauté humaine éparse qui va du petit port de Belfast dans le Maine à la banlieue de Chicago et l'Amérique rurale de l'Indiana. La fabrique de l'exception humaine. Qu'est-ce qu'on refuse de voir ? Comment dire ce qui se joue hors cadre, sur le théâtre du monde ? Constance Rivière a voulu voir à son tour ce qui se cachait derrière l'apparente logique des images, quelles histoires pouvaient en naître. Ni biographie d'un documentariste à l'oeil caméra, ni essai sur une humanité à la dérive, le récit de Constance Rivière est un voyage profondément personnel qui ressemble à une filature de détective. Un récit d'apprentissage des temps modernes. La vie des ombres est un passionnant livre hybride, qui tient parfois de la comédie, parfois de la tragédie, et qui toujours raconte une part de notre humanité.

09/2023

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Littérature française

L'incendiaire

"Quand les sirènes des pompiers ont remplacé le silence de la nuit, quand j'ai senti leur présence d'hommes, je suis partie. J'ai fui sans me retourner. Puisque parler n'avait servi à rien, mes mots mêmes auraient pu se retourner contre moi. Après avoir ignoré mes avertissements, il s'en trouverait bien pour m'en vouloir de ne pas avoir été assez convaincante. Ou : faire de moi la coupable, l'incendiaire". Alexandra revient dans sa ville natale pour travailler dans l'usine de produits chimiques en plein développement. Elle y restera neuf mois, avant de disparaître. C'est l'histoire d'une femme qui voit venir le danger, une si petite chose d'abord, à peine perceptible. C'est l'histoire d'une femme qui tente de prévenir et que personne n'écoute. C'est aussi l'histoire de celles et ceux qui n'ont rien entendu, rien vu, rien compris. Mais le voulaient-ils ? Constance Rivière signe un roman implacable sur la puissance de la parole, et son impuissance.

08/2025

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