Chihiro Kawakami

Voilà un livre étrange à maints égards

Produit et réalisé par le studio Ghibli en 2001, le film d’animation Le Voyage de Chihiro n’a depuis cessé de soulever maintes interrogations. N’y tenant plus face à tant de mystères, une fan nippone du chef-d’oeuvre imaginé par Hayao Miyazaki a demandé au studio Ghibli pourquoi les parents de Chihiro se changent-ils en cochons au début du film. À sa grande surprise, un employé du studio lui a apporté la réponse à sa question. 

Les films de Miyazaki tiennent tout à la fois de la poésie et de la philosophie. Cette simplicité qui dissimule une véritable profondeur émerveille toujours, parce qu’elle s’appuie également sur une esthétique propre. Un vrai bonheur, alors, que de pouvoir reproduire cet univers chez soi...

Présentée voilà plus d’un mois – et nous n’étions pas même conviés ! –, voici l’association qui fera merveille. Le Studio Ghibli, que l’on vénère ici pour l’ensemble de ses productions, ou peu s’en faut, s’est associé avec la marque Petit Bateau. Moralité : des vêtements aux couleurs des plus grands films du studio d’animation. 

La génération Miyazaki n’a pas fini de rêver. Depuis la création des studios Ghibli, les productions se sont succédé, toujours avec un succès extraordinaire. De quoi donner envie aux fans de réaliser les hommages les plus farfelus, y compris celui qui suit. 

Comme chaque jeudi, et tous les autres jours de la semaine, Sequencity a repéré quelques sorties BD qui accompagneraient très bien votre week-end. Et ça tombe presque idéalement, parce que nous le savons (de Marseille), vous n’aviez rien à dévorer en attendant la pause déjeuner. Et ça, c’est à consommer sans modération.

À L'occasion du Salon du livre de Paris, Junko Kawakami, mangaka (It's your world) et Shima Kadokura, éditrice free-lance et journaliste spécialisée dans le manga, étaient réunies le temps de l'atelier « Manga, mode d'emploi », où elles ont abordé la question de la relation entre mangaka et éditeur au Japon, très différente de celle qui lie auteurs et éditeurs en France.

Si vous avez adoré Mon voisin Totoro, Princesse Mononoké ou Le Château ambulant et que l'ambiance magique et poétique des films d'Hayao Miyazaki vous manque, bonne nouvelle : un artiste vient de sortir un remix de la bande originale du Voyage de Chihiro, et c'est une pépite.

Exhumer un parchemin vieux de 800 ans, pour lui donner vie — littéralement —, voilà les merveilles auxquelles s’emploie le studio Ghibli. En mars 2016, les créateurs de Mon voisin Totoro ou Le Voyage de Chihiro déployaient des trésors d’attention pour réaliser une vidéo autour du Chōjū-jinbutsu-giga, un rouleau peint japonais datant du XIIe siècle. 

Avec ce titre, la Shueisha a littéralement pulvérisé la concurrence : Kagura Bachi est apparu voilà quelques jours à peine sur la toile et l’engouement frise la folie douce. En moins de 48 heures, tout le net parlait de Takeru Hokazono, le créateur de ce shonen mêlant action, fantastique et surnaturel. Sabre et magie, et au milieu, un forgeron : Chihiro, en plein équarrissage.

Le studio Ghibli et ses artistes ont produit, en parallèle de leurs créations, des publicités. On retrouve dans cette rétrospective de 1992 à aujourd'hui, dans des publicités pour divers produits de la vie quotidienne, des personnages familiers des films du studio comme Le Voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki, 2001), Le Royaume des chats (Hiroyuki Morita, 2002) ou Le tombeau des lucioles (Isao Takahata, 1988).

Les films sortis du studio Ghibli ont parfois une telle aura qu'ils semblent magiques, mais, comme toute œuvre, il y a au moins un petit secret de fabrication. Avant Princesse Mononoké, Le Voyage de Chihiro ou Le Tombeau des Lucioles, il y a des dessins colorisés et animés par ordinateur, et plus précisément par le logiciel Toonz. Un indispensable qui dispose désormais d'une version open source.

Depuis 1985, les studios Ghibli ont offert au monde des films parmi les plus beaux, poétiques, et insolites qui soient. Ces dessins animés, supervisés par Hayao Miyazaki et Isao Takahata, ses fondateurs, et Toshio Suzuki, producteur, ont fait rayonner le Japon bien au-delà des frontières. Il suffit de citer Le tombeau des lucioles, Mon voisin Totoro ou encore Le Voyage de Chihiro, pour que tout soit dit...

Le Voyage de Shuna, nouvelle de 147 pages illustrée à l'aquarelle, sera publié en novembre par la maison d'édition américaine First Second. Une publication surprise, puisque ce livre a été écrit il y a quatre décennies par le cinéaste et dessinateur Hayao Miyazaki. Connu dans le monde de l'animation pour Le Voyage de Chihiro ou Princesse Mononoké, le réalisateur japonais se fraye à présent un chemin dans le monde de la littérature. 

Une nouvelle base de données vient de voir le jour et s'adresse tout particulièrement aux férus de littérature et de culture japonaises. Elle rassemble en effet une partie de ce qui existe de littérature japonaise traduite en anglais, et permet de mesurer les variantes entre les traducteurs de Murakami. 

Signée de la mangaka Go Ikeyamada, une nouvelle série débarque chez l'éditeur français Kurokawa (groupe Editis) : Je t'aime Suzuki ! Ciblant les jeunes lectrices, ce manga raconte les aventures d'adolescents que l'on suivra de leur 13 ans jusqu'à leur 17 ans.

Les amateurs de culture asiatique devraient être comblés : le Salon du livre de Paris, pour sa 33e édition, compte assurer une programmation d'envergure. Avec six mangakas invités, une exposition inédite de Garo, le Manga Square : espace de toutes les animations organisées autour du manga et du grand cosplay, autant d'événements qui seront à découvrir. Du manga ? Oui, mais de qualité. 

Miyazaki, à la retraite de ses activités de cinéaste, manquera à beaucoup, et longtemps : un fan français, visiblement rompu à la création d'images 3D, lui rend un impressionnant hommage dans une vidéo de quelques minutes. Les personnages cultes de Miyazaki, en 2D, y évoluent dans des reconstitutions 3D des décors de différentes œuvres.

Une fois de plus, l’empire militaire de Katjvarna est en guerre contre la république de Kioka. Indifférent à ce conflit, l’élève officier Ikta Solork, connu pour sa fainéantise chronique, a pour seule ambition de se trouver une sinécure à l’abri des combats et des complots.

« 1.. 2.. 3.. Mangas ! », le top départ est dans l'intitulé de l'automne qui se profile à la bibliothèque municipale d'Olivet, dans le département du Loiret. Un évènement destiné aux petits comme aux plus grands, avec au programme des expositions, rencontres, ainsi qu'un Prix des lecteurs de mangas. Le rendez-vous est fixé du 1er octobre au 30 novembre.

Début mars était dévoilée la  première sélection de L'International Booker Prize 2022. 13 ouvrages parmi lesquels The Book of Mother, de Violaine Huisman, traduit par Leslie Camhi et publié par les éditions Virago (Little, Brown, Hachette UK). Ce 7 avril, les 6 derniers finalistes ont été dévoilés, sans l'autrice de Rose desert. Une dernière liste dominée par les femmes.

L'International Booker Prize 2022 a dévoilé la liste des 13 ouvrages de sa première sélection, parmi lesquels The Book of Mother, de Violaine Huisman, traduit par Leslie Camhi et publié par les éditions Virago (Little, Brown, Hachette UK). La prochaine sélection est attendue pour le 7 avril.

Sans doute pour aider les internautes à affronter l’automne et le coronavirus, le studio Ghibli a offert un joli cadeau à ses fans du monde entier. L’entreprise japonaise a mis en libre accès sur son site 400 œuvres tirés de 8 de ses films cultes. 

Keiichi Hara, réalisateur reconnu d'Un été avec Coo (2007) et de Colorful (2010), revient ce 24 juillet 2019 dans les salles françaises avec Wonderland, le Royaume sans Pluie, un long-métrage d'animation tiré du roman de Sachiko Kashiwaba.

Quand le réalisateur de petits films discrets à fort potentiel émotionnel, mais à la distribution confidentielle se met à promouvoir la lecture et le livre, cela peut donner des choses étonnantes.

Le dernier long-métrage en date issu de l'univers de Naruto, Boruto, a d'ores et déjà battu, au démarrage, tous les autres films issus de la célèbre franchise. Le manga original s'est terminé en novembre 2014 au Japon, mais l'engouement pour la série ne semble pas décroître. Sur les trois premiers jours d'exploitation en salles, le film a engrangé pas moins 680 millions de yens, soit environ 4,9 millions €.

Et si on troquait Minnie, Mickey, Donald et cie pour les créatures de Princesse Mononoké ou encore l'aviateur de Porco Rosso ? Une idée tout droit sortie de l’esprit de Takumi, fan de Hayao Miyazaki. Le jeune artiste japonais a créé en image de synthèses Ghibli land, le Disneyland des studios Ghibli.  

Projetée dans les salles japonaises depuis le 16 octobre dernier, le succès de l’adaptation cinématographique du manga de Koyoharu Gotouge semble inarrêtable. Après avoir connu le meilleur week-end d’ouverture de l’histoire du Japon, Le train de l’infini poursuit sa folle épopée vers des sommets encore jamais atteints dans l’archipel.

Le Petit Prince : l'adaptation au cinéma commence... l'angoisse aussi