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Arlette Jouanna

Extraits

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Théâtre

Arlette

Dans les mythes, t'as des héros victimes métamorphoses qui finissent délivrés, rendus à eux-mêmes, y s'retrouvent encore plus humains, plus libres et agrandis qu'avant mais çui qu't'étais dans l'temps, papa, n'est jamais r'venu. Y a eu tell'ment de honte et tell'ment de honte d'avoir honte et tellement de manque.

02/2017

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Littérature française

Arlette

C’est l’histoire d’un homme et d’une femme qui vivent une passion amoureuse de six mois puis mettent vingt ans à s’en défaire. Arlette est Danoise, Olivier Français et ils se rencontrent à Karachi. Jeunes, mariés chacun de leur côté, ils s’attirent et s’aiment dans un conte de fée pour expatriés. Mais Olivier part pour le Bangladesh. Dès lors, incapables de chasser le souvenir de leur brève passion autant que d’unir leurs existences, ils entament des vies errantes qu’ils voudraient flamboyantes mais qui tracent de dangereux méandres. Sans se perdre jamais de vue, ils se croisent et finalement se rejoignent lorsqu’Arlette vient vivre à Paris avec son nouveau mari. Or ce dernier n’est pas l’homme qu’il semble et Arlette se trouve prise dans une situation désespérée dont elle sort en quittant définitivement Olivier.

01/2012

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Histoire de France

La France du XVIe siècle 1483-1598. 3e édition

La France du XVIe siècle est-elle une monarchie absolue ou un assemblage hétéroclite de territoires plus ou moins gouvernables ? Quelles sont les caractéristiques de ce siècle de " Renaissance " et de mutations ? Quelles ont été les conséquences des guerres civiles qui l'ont traversé ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles répond ce manuel en démontrant que le XVIe siècle est avant tout en France celui du renforcement de la royauté. La monarchie, déjà enracinée dans les moeurs de la fin du Moyen Age, tant par l'allégeance du peuple que par l'efficacité de l'appareil d'Etat, va s'affermir tout au long de la Renaissance. Les guerres civiles qui agiteront ce siècle de tensions religieuses seront une épreuve fondatrice qui forgera la France moderne.

04/2016

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Histoire de France

Le pouvoir absolu. Naissance de l'imaginaire politique de la royauté

Le pouvoir absolu épouse la longue histoire de la monarchie. On l'imagine souvent inscrit dans une logique immuable, jusqu'au procès d'indignité que vont lui intenter les Lumières. C'est cette double image de la continuité du système absolu et de son caractère fatalement subversif de toute justice que cet ouvrage met à mal. Absolu, écrit Arlette Jouanna, signifie la possibilité légale de transgresser les lois au nom d'une légitimité supérieure ; et cette idée du pouvoir, loin d'être immuable, n'a cessé de s'infléchir à l'épreuve des bouleversements qui agitent l'histoire politique de la royauté. Avant les guerres de Religion, on l'ignore trop, le monarque ne pouvait déroger aux lois qu'au titre de l'exception et de l'urgence. Et, même délié des lois, il restait lié par la Raison, cet ordre juste que Dieu faisait régner dans le monde. Mais la déchirure religieuse, en désagrégeant la cohésion sacrale du corps politique, a fait perdre le sens de la correspondance - jusque-là si évidente - entre la cité céleste et la cité terrestre : seul le roi en personne pouvait désormais incarner l'unité des communautés désunies. L'originalité radicale de la voie française aura été cette construction, à la fois intellectuelle et institutionnelle, d'un espace politique extérieur et supérieur aux passions humaines. Telle est la nouvelle figure du prince absolu, projeté loin au-dessus des sujets dans une proximité mystérieuse et solitaire avec Dieu. C'est cette transcendance qui confère à sa volonté une autorité sans précédent, quasi sacrée, seule capable de tenir ensemble le royaume.

03/2013

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Histoire de France

La Saint-Barthélemy. Les mystères d'un crime d'Etat, 24 août 1572

Le 18 août 1572, Paris célèbre avec faste le mariage de Marguerite de Valois et d'Henri de Navarre, événement (lui doit sceller la réconciliation entre catholiques et protestants. Six jours plus tard, les chefs huguenots sont exécutés sur ordre du Conseil royal. Puis des bandes catholiques massacrent par milliers " ceux de la religion " - hommes, femmes, vieillards, nourrissons... Comment est-on passé de la concorde retrouvée à une telle explosion de violence ? Comment une " exécution préventive " de quelques capitaines a-t-elle pu dégénérer en carnage généralisé ? Quel rôle ont joué le roi, la reine mère, les Guises, le très catholique roi d'Espagne ? De ces vieilles énigmes, Arlette Jouanna propose une nouvelle lecture. La Saint-Barthélemy n'est l'œuvre ni des supposées machinations de Catherine de Médicis, ni d'un complot espagnol et encore moins d'une volonté royale d'éradiquer la religion réformée. Charles IX, estimant sa souveraineté en péril, répond à une situation d'exception par une justice d'exception. Mais en se résignant à ce remède extrême, il installe, sans en faire la théorie, une logique de raison d'Etat. Cette tragédie, vécue comme une rupture inouïe, suscite une réflexion foisonnante sur les fondements du pouvoir, les limites de l'autorité, la légitimité de la désobéissance ; sur le danger aussi que font courir les divisions religieuses aux traditions du royaume. Mais cet effort de restauration politique va se heurter à la sur-sacralisation du roi, qui ouvre la voie à l'absolutisme des Bourbons.

10/2007

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Histoire de France

Le devoir de révolte. La noblesse française et la gestation de l'Etat moderne (1559-1661)

Se proclamer " Mécontent ", c'était pour les nobles, pendant le siècle troublé qui sépare les règnes de Henri II et de Louis XIV, se prévaloir d'un statut quasi officiel d'opposant à la politique royale. En l'absence d'institutions vraiment efficaces permettant de s'exprimer légalement, le recours à la violence apparaissait comme un moyen normal de faire entendre sa voix : les Mécontents qui avaient à se plaindre du roi ou de ses conseillers " prenaient les armes " pour faire pression sur lui et alerter l'opinion. Ces révoltes ambiguës ont rassemblé des hommes issus de catégories sociales variées, mais leurs chefs ont été des gentilshommes, parmi lesquels on comptait les plus grands noms de la noblesse. Ceux-ci poursuivaient un but commun, par-delà la diversité de leurs convictions religieuses : il s'agissait pour eux de promouvoir une plus grande participation des sujets _ dont ils s'estimaient les porte-parole naturels _ au gouvernement. Leurs prises d'armes ont été un effort désordonné et souvent désespéré devant l'évolution " absolutiste " de la monarchie, pour faire triompher une autre conception, tout aussi cohérente, du pouvoir et des hiérarchies sociales : pour eux, se révolter était un devoir. La connaissance de ces révoltes, de leurs animateurs, l'examen attentif des écrits _ théoriques ou de circonstance _ publiés à leur occasion, est indispensable pour bien saisir la portée de l'évolution politique de l'âge classique auquel on est condamné à ne rien comprendre si on ne la situe pas dans la perspective des combats qui l'ont précédé. Après la Fronde se dégagera lentement une théorie politique plus ouverte sur la recherche de moyens institutionnels susceptibles d'incarner durablement l'idéal politique de la noblesse, ou du moins de la partie la plus riche et la plus éclairée d'entre elle. Au carrefour de l'histoire politique, de l'histoire sociale et de l'histoire des idées, cette démarche apporte une contribution décisive à l'étude des relations entre pouvoir et société dans la France d'Ancien Régime. Professeur à l'université Paul-Valéry de Montpellier, Arlette Jouanna est spécialiste du XVIe siècle en général, et de la noblesse de cette période en particulier. Elle a publié en 1977 Ordre social. Mythes et hiérarchies dans la France du XVIe siècle.

02/1989

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