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Adrian Goldsworthy

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Grèce classique

Philippe II et Alexandre

En métamorphosant un royaume affaibli du nord de la Grèce en empire planétaire, Philippe et Alexandre de Macédoine (- 359/ - 323) ont bouleversé le cours de l'Histoire. A la fin de sa brève existence, à 32 ans, Alexandre le Grand avait éclipsé la grande puissance perse, traversé l'Hindou Kouch et pénétré dans ce qui est aujourd'hui le Pakistan : son empire s'étendait de la mer Adriatique au sous-continent indien. Mais son succès n'était pas seulement le produit de son génie personnel et d'une énergie inépuisable. Il résultait aussi de plusieurs décennies d'efforts réalisés par son père. L'Histoire nous a présenté Philippe II de Macédoine comme un vieil homme dont l'assassinat, fort commode, a permis l'arrivée au pouvoir de son fils génial. Erreur et mensonge. Des dizaines d'années de combats acharnés et d'indéniables talents de diplomate l'ont conduit à unifier le pays et conquérir la Grèce tout en bâtissant une armée invincible. Tout cela, il l'a transmis en héritage à son fils, au bon moment et à l'âge idéal pour pouvoir s'auréoler d'une gloire encore plus grande et bâtir le premier grand empire de l'Antiquité. Philippe et Alexandre ont tous deux joué un rôle essentiel dans la très large diffusion de la langue et de la culture hellènes, aux répercussions nombreuses et profondes, comme l'écriture du Nouveau Testament en grec et un empire " romain " hellénophone qui survécut pendant mille ans à l'est de la Méditerranée après la disparition du dernier empereur régnant en Italie. L'oeuvre d'un maître de l'histoire au sommet de son art. " Un ouvrage palpitant, à la hauteur de ses ambitions, comme Philippe durant son règne, et aussi fondamental que les conquêtes d'Alexandre. " Tom Holland " En un seul volume, Adrian Goldsworthy nous donne à lire le récit des exploits d'un duo de conquérants - père et fils - le plus brillant de tous les temps. L'auteur met en lumière à la fois leur caractère dramatique et violent et leurs répercussions au cours des siècles. Le résultat est un travail d'expert, fluide et vivant. " Barry S. Strauss

03/2023

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Littérature française

Adrian Æ

En 1953, dans une célèbre maison close de Los Angeles, un jeune scénariste, Ad, collaborateur de Fritz Lang, rend visite à la plus belle femme de son temps : Ava Gardner. Plus tard, dans un futur proche, au sein d'un laboratoire une voix nous interpelle pour nous faire de troublantes confidences... sous la surveillance et le contrôle de deux observateurs impliqués dans ce qu'ils nomment le "projet Adrian". Roman d'une passion autant que d'une expérience, enlaçant les vies d'Ana Gardner et d'Adrian Experi, Adrian Æ propose de croiser, non sans mystères ni humour, la société de l'image hier fabriquée par Hollywood.., et l'homme aujourd'hui réinventé par ses nouvelles technologies.

01/2022

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Fantastique

Adrien

C'est pour ça que les vampires ne voient pas leur reflet dans les miroirs... Ils ont une sale gueule... ADRIEN Cloîtré dans son petit studio, Adrien vit un enfer, maudissant la responsable de son malheur. Désormais incapable d'affronter la lumière vive du soleil, il appréhende la terrible mutation qu'il subit nuit après nuit. Poussé par une inextinguible soif de sang, il se décide enfin à arpenter les toitures parisiennes, persuadé d'avoir trouvé un remède à son état. Adrien résistera-t-il à ses pulsions meurtrières ? Une fois de plus, Nil Borny flanque un coup de pied dans la fourmilière du genre, mélangeant les mésaventures d'un jeune vampire malgré lui avec une enquête policière. Fidèle à lui-même, le conteur de sornettes n'hésite pas à casser bon nombre de codes en émaillant son récit d'action, d'amitié, d'amour et d'un zeste de cynisme.

09/2023

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Littérature française

Adrien

De l'autre côté de la rue, il y avait le lycée, les cafés, il y avait les aînés, les flâneries dans les rues de la ville... il y avait tous les rêves, Julie, Marthe ou Madame Arnoux, c'était selon. Il y avait Salomé, ... Et puis Elsa. Au sortir du lycée, il y avait la plage, il y avait les amours, les vitrines, et les néons qui flambaient de toutes leurs modernités - tourne-disques et transistors, trente-trois tours, livres de poche et mocassins Iowa, vélo Solex et Vespa... Parler, lire, écouter, s'indigner, disputer, manifester, c'était la même chose. La vie ressemblait à ce qu'en disaient les livres... "La vie est à nous... " comme le croyait toute la génération de l'après-guerre. Sur le port, le Génie de la mer, l'homme de Cuverville comme on l'appelait montrait l'horizon. Là-bas était l'aventure, là-bas était la vraie vie... Mais à la nuit, la ville s'éclairait d'une étrange lueur bleutée. Celle d'un petit écran bombé dont les images sous le discours lénifiant montraient toutes les cruautés du monde et jetaient sur nos joies un voile d'angoisse et d'inquiétude... Le monde n'était pas beau et les hommes n'étaient pas bons ! De l'autre côté de la Rade, il y avait la Méditerranée, il y avait l'Algérie où il faudrait peut-être mourir un jour... Toulon 1956-1962... Années de ce temps et de ce lieu où l'on ne faisait que passer, devenues "choses d'un monde inachevé" selon la belle formule de Carlos Fuentes, "transformées, changées en Histoire, en narration, en langage, en expérience, en lecture sans fin... "

10/2011

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Littérature bulgare

Adriana

Peuplée d'enfances singulières ou d'adolescents en " mal de mères ", l'œuvre littéraire de Théodora Dimova se poursuit avec une " comédie humaine " d'une profondeur remarquable, abordant cette fois, sans tabou, la vieillesse dans ce qu'elle a d'admirable mais aussi de pitoyable. Adriana est l'éblouissant portrait d'une femme blasée par l'argent, poussée par l'ennui et la solitude jusqu'à la déchéance. Et jusqu'à commettre l'irréparable. Adriana passera le reste de sa vie dans l'attente d'un " sauveur " qui puisse lui offrir sinon la rédemption, du moins un semblant d'harmonie. La flamboyante Ioura, jeune femme qu'elle finit par rencontrer, pourra-t-elle la comprendre ? Les voix et les vies se mêlent, la vieille dame sait se raconter sans complaisance, évoquer ce qu'elle fut, avec ses défauts, ses errances, et la tragédie qui la hante. Entre Adriana et Ioura naissent une admiration et une affection qui rendront plus doux le grand départ de la vieille femme. Ce roman illustre, une fois encore, les obsessions de Théodora Dimova qui remonte aux sources de la violence rongeant la société, et pose une question entêtante : peut-on restaurer, envers et contre tout, ce qui a été brisé ? A l'instar de Mères, Adriana bouscule le lecteur, avec la même force et la même écriture haletante au rythme saccadé, avec sa justesse de ton sans fausse pudeur et son extraordinaire virtuosité littéraire.

05/2023

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Religion

Passion de saint Adrian

Ce volume présente l'édition critique de la Passion de saint Adrian (1458) de Jean Miélot, oeuvre hagiographique transmise par deux manuscrits, dont l'un en mains privées. Le texte est accompagné d'une étude de la traduction, d'une analyse linguistique et d'un glossaire.

12/2019

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