La maison d’édition du Boréal, qui publie des inédits francophones de Jack Kerouac sous le titre La vie est d’hommage, fait face aux critiques de l’écrivain Gabriel Anctil. Ce dernier publie, dans le Devoir, une tribune assassine contre la maison d'édition qui est coupable, selon lui, de falsification. Il a très vite relevé ce qui tient, pour lui, d’un « révisionnisme historique ».