Charles Cédric Tsimi souhaite par-dessus tout résider en France ; pour ce faire, il enchaîne demande sur demande pour un titre de séjour — finalement toujours couronnées d’une défaite cuisante, refoulé par le système administratif français. Après une énième tentative, le voici convoqué à un test de maîtrise du français. Outré, cet amoureux de la langue de Voltaire, Molière, et tous les auteurs qui en ont fait la gloire, décide de se révolter, d’une façon bien poétique : il écrit un livre.