Aïe, aïe, aïe : ces histoires de déplacements du président un peu partout en France, décidément, ça n'a pas bonne presse. Tout simplement parce que l'on ne sait pas vraiment qui se déplace : le président, ou le futur candidat. Et comme le premier n'a pas encore annoncé si le second serait réellement candidat, la gauche tape, et s'en donne à coeur joie.