Les regards sont baissés, fuyants, quand d'autres tentent de rester fiers droit vers l'arrière de la rame. Prendre le métro aujourd'hui n'avait rien de la traditionnelle promenade de santé urbaine. Dans les transports en commun, ce 8 janvier, journée de deuil national à la mémoire de l'attentat perpétré à la rédaction de Charlie Hebdo, chacun sait. Et chacun vit avec cette idée.