Traduire, c’est trahir. C’est dans la langue de Dante, d’ailleurs, que le constat était posé – Traduttore, traditore. Pourtant, Danièle Robert, pour la deuxième fois, s’attaque à la Divine comédie : après L’enfer, elle a traduit Le Purgatoire, toujours préservant la terzina dantesca, ou strophe à trois vers, typique. Et tordue...