La justice ougandaise avait ordonné la présence de Kakwenza Rukirabashaija au tribunal, avant ce 12 janvier, 10h, « mort ou vif ». Les autorités du pays ont finalement présenté l'auteur devant une cour du pays, en secret, qui l'a inculpé pour « communication insultante » à l'égard du président Yoweri Museveni. Il reste en prison jusqu'au 21 janvier prochain, au moins.