Maudit sois-tu, Saint-Germain des Près, quartier parisien honni et jalousé, par des générations d'auteurs. Et maudit plus encore, toi, lecteur, qui néglige la littérature « les écrivains et écrivaines de Paris », eux qui font la LITTERATURE, depuis la capitale centre du monde, des arts, des lettres et des pigeons. Ah, comment pouvait-on vivre, ignorant, de cette souffrance qui ronge des générations d'auteur/es ?