Le monde se divisait autrefois en deux catégories : les auteurs traditionnellement publiés et ceux qui passaient par le compte d’auteur. Le numérique a, fort heureusement, donné aux seconds une autre chance, moins coûteuse, et mis partiellement termes aux escroqueries en vigueur. Désormais, on trouve les auteurs indépendants, parce qu’ils publient hors des circuits de maisons d’édition, et les autres auteurs, traditionnels. Parce que l’on n’oserait jamais parler d’auteurs dépendants. Neil Jomunsi soumet une nouvelle fois ses réflexions à chacun.