« Puisque le contrôle de la parole semble bien inclus dans le projet de Vincent Bolloré de posséder à la fois le numéro 1 de l’édition, Hachette, qui pèse 2,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires, et Editis, qui a dépassé 800 millions en 2021, il est nécessaire de remonter à l’origine des phénomènes de concentration dans le monde du livre et de l’édition pour y mettre à nu les logiques qui sous-tendent cette stratégie », écrit Jean-Yves Mollier. Car comprendre l'avenir est avant tout une question d'histoire.