Emprisonné pendant 6 mois pour une affaire de tatouage représentant l'ancien Président de la Birmanie, à l'époque en poste, le poète birman Maung Saungkha est sorti. Mais ce n'était pas un tatouage comme les autres : d'abord, c'était un tatouage imaginaire, inscrit dans un poème, non sur la peau. Jusque là, rien de surprenant, sauf que dans le poème, il s'agit d'un tatouage qui se trouve... sur le pénis. L'association littéraire entre le Président birman et l'organe masculin n'a pas plu, c'est le moins qu'on puisse dire.