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Littérature Allemande
Comment supporter le temps qui passe quand on est forcé à l'inactivité ? Que faire quand on ne peut plus exercer le métier qui a donné un sens à notre vie pendant des décennies ? Existons-nous encore quand personne ne nous voit ? Autant de questions que se pose Richard, professeur de lettres classiques fraîchement retraité et totalement désoeuvré.
Un jour, en passant sur l'Oranienplatz, à Berlin, il croise par hasard le chemin de demandeurs d'asile. Et s'il trouvait les réponses à ses interrogations là où personne ne songe à aller les chercher ? Auprès de jeunes réfugiés venus d'Afrique qui ont échoué à Berlin et qui, depuis des années, sont condamnés à attendre qu'on les reconnaisse - qu'on les voie tout simplement...
Mettant face à face deux réalités en apparence totalement opposées, Jenny Erpenbeck nous montre qu'à des périodes différentes, dans des pays différents, la fuite, la peur, la guerre ainsi que le sentiment d'être apatride peuvent définir le parcours de tout un chacun, quelle que soit son origine. "La rigueur de Jenny Erpenbeck, sa perception cristalline de l'humain, son imagination incroyablement plastique font de " Je vais, tu vas, ils vont " un grand roman, aussi bien d'un point de vue esthétique que moral. " The New York Times Traduit de l'allemand par Claire de Oliveira
#PrixFrontieres23 - Roman sélectionné pour le Prix Frontières - Léonora Miano 2023
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Littérature française
« Morte de chagrin, le cœur brisé. » C’est la légende familiale qui court sur l’aïeule de la narratrice. Anne Décimus, l’arrière-grand-mère née en 1875, n’aurait pas survécu à la mort de son mari. Mais Stéphanie Dupays va pulvériser cette version romantique en découvrant qu’Anne a survécu quatre décennies après avoir enterré son époux.
Que s’est-il passé pour que soit effacée l’existence de cette femme au point que même les siens semblent tout ignorer d’elle ? « On n’est pas seul dans sa peau », écrit Stéphanie Dupays. C’est ce qui la pousse à mener l’enquête sur cette ancêtre dont elle se sent étrangement proche. La vérité éclate : Anne Décimus a passé la majeure partie de sa vie à « l’asile ». Elle souhaitait par-dessus tout écrire et se maintenait au monde en composant des poèmes.
Un puma dans le cœur est le récit de ce chemin intime, où s’entrelacent l’histoire de la psychiatrie dans la première moitié du vingtième siècle et les liens invisibles qui unissent les êtres d’une même famille. Mêlant fiction et récit personnel, Stéphanie Dupays redonne une voix à une femme extraordinaire qui ne savait pas comment supporter le monde et qu’on a réduite au silence. Elle prouve que la littérature peut percer les secrets et apaiser les fantômes.
Une enquête intime et déchirante sur une femme qu’on a voulu réduire au silence.
02/2023