Féroces

AVANT-PARUTION – La rentrée littéraire se prépare avec attention dans les différentes maisons. Et chacune dispose de ses têtes d’affiche, à même d’attirer l’attention du public. Chez Grasset, c’est un grand nom qui, parmi d’autres, accompagnera les festivités du mois d’août. Une joie féroce sera le prochain roman de Sorj Chalandon.

BONNES FEUILLES - Auteur récompensé par de nombreux prix de littérature à suspense, Christian Blanchard livre avec Dis bonne nuit un polar tendu, féroce et sombre ; un aller simple pour le pays des cauchemars…

BONNES FEUILLES –  Best-seller du New York Times, vendu à plus de 600.000 exemplaires et traduit en 21 langues, le livre de Kendare Blake arrivera mi-octobre en France, sur la traduction de Hermine Hémon. Une lutte pour le pouvoir sans merci et non dénuée de violence, mais sans complaisance malsaine, à travers quatre tomes.

BONNES FEUILLES — Un an et demi après le décès de l'écrivain américain Robert Goolrick, les éditions Anne Carrière proposent ses Oeuvres Complètes.

BONNES FEUILLES - Quand la société des Hommes devient une farce, la vérité a besoin d’un bouffon. Le premier roman de Pierre Darkanian, Le rapport chinois est une corde tendue par-dessus l'absurdité du monde moderne.

BONNES FEUILLES - Écrire sous un pseudonyme est une exploration de la liberté, un envol vers une nouvelle naissance. Mais, est-il vraiment possible de fuir son destin ? Dans un texte à la fois espiègle et touchant, Ella Balaert partage ses réflexions sur les thèmes du masque, de l'origine, des racines et de l'identité. 

BONNES FEUILLES - Archy naît dans une tanière au milieu de la forêt, au sein d’une portée de fouines. Son père a été tué par l’homme dans un champ, et sa mère se démène pour nourrir ses petits au cœur de l’hiver.

BONNES FEUILLES – C’était un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, comme le dit la chanson, et qu’ils découvrent avec une certaine consternation. Serge Safran éditeur publie Le Monde d’avant, journal de Roland Jaccard. Une plongée, entre 1983 et 1988 dans le Landerneau parisien, tant de la presse que du milieu du livre. 

BONNES FEUILLES - Récit au jour le jour de la contestation de 2020 au Bélarus par ceux qui l’ont faite. Alors que le Bélarus est comme figé depuis vingt-cinq ans sous l’emprise d’un régime autoritaire dirigé d’une main de fer par Alexandre Loukachenko, naît un espoir de changement à l’approche de l’élection présidentielle de 2020. 

BONNES FEUILLES - Noël, dit Desarzens, est une fête qui se savoure deux fois, « avidement la première. Freinant, hallucinant, décelant partout des présages, la deuxième. » Opulent, dramatique, extraordinaire, le personnage de Churchill incarne à lui seul la magie de la fête. 

Rentreelitteraire2024 — « Wesh, Madame, faut nous parler français des fois ! » Cette pépite, parmi tant d'autres, est issue du journal de Myriam Meyer, professeure de français, latin et grec dans un collège en Réseau d'Éducation Prioritaire.

BONNES FEUILLES - Porté par le souffle épique de la jeunesse, de l’aventure, et la quête d’un mystère familial, Calaciura nous tient à sa merci, en haleine, joue avec le présage d’une destinée extraordinaire. 

BONNES FEUILLES - Mobilisé par l’armée italienne en 1942, Eugenio Corti, l’auteur inoubliable du Cheval rouge, prend part, comme jeune officier d’artillerie, à l’épopée du front de l’Est. 

Rentréelittéraire2023 - C’est sans entrain que Suzanne, avec mari et enfants, pose ses valises pour quelques semaines de vacances dans la maison de sa belle-famille, en Sardaigne. En épousant l’héritier Signorelli, Suzanne a voulu laisser derrière elle une enfance ordinaire passée dans le sud de la France. 

AVANT-PARUTION — Les Nouvelles Éditions Wombat annoncent la parution, le 20 février 2020, d'une traduction d'un livre de Melvin Van Peebles, Un Américain en enfer. Surtout connu comme acteur, scénariste et réalisateur, Melvin Van Peebles a en effet signé de nombreux romans, dont Un Américain en enfer, publié pour la première fois en 1976 aux États-Unis, chez Doubleday.

HIVER2024 - En cette année 1994, nombreux sont les étudiants à gravir les marches de l’école des Beaux-Arts pour venir écouter, dans son atelier niché sous les combles, le séminaire de Christian Boltanski. François Jonas, le narrateur, boit ses paroles.