Eugène Leroy. Autoportrait

BONNES FEUILLES – Dans ce livre, Marcel Rufo se dévoile. Il raconte son enfance et son apprentissage en psychiatrie. Comment vit-on ce métier ? « En nous appuyant sur nos peines, nous devenons plus forts, plus modestes et plus déterminés dans le soin. » 

BONNES FEUILLES - Réunion de cinq romans, Sens d’ssus d’ssous peut être considéré comme un autoportrait masqué de l’auteur qui se glisse tour à tour dans la peau d’Antonin Artaud, Raymond Roussel, Alfred Jarry ou René Crevel. 

BONNES FEUILLES - « Les portraits de Bacon vous poursuivent quand vous avez cessé de les regarder ; ils vous poursuivent jusqu’à vous hanter. Son œuvre peut être lue comme une autobiographie dont les autoportraits sont les éclats d’un miroir brisé, ceux d’une vie en morceaux. Et, dans chacun 
de ces fragments, on peut lire la quintessence de son art. »

HIVER2024 - Aby est aide à domicile, auprès de personnes âgées ou dépendantes. Sidy est « homme porteur », devant un magasin Leroy-Merlin d’Île de France, à la disposition de particuliers ayant besoin d’aide pour leurs travaux. Ali est manutentionnaire dans une grande enseigne d’un supermarché du Sud de la France Et tous 3, comme les autres témoins dont les récits structurent 2 euros de l’heure, n’ont pas de papiers.

BONNES FEUILLES - Entre traque, complot, manigances et agents doubles, ce premier roman mené de main de maître nous fait respirer le parfum d’une époque qui vacille au bord du gouffre.

BONNES FEUILLES - Au cœur d’une vallée sauvage des Carpates, Iochka fabrique du charbon de bois. Quasi centenaire, il aime se taire, boire sec et dévaler ivre les routes sinueuses des montagnes au volant de sa vieille Trabant bleue. Un roman sur le temps et l’amour d’un impeccable raffinement littéraire.

BONNES FEUILLES - Porté par une plume alerte, un éloge original et profond, inspiré de lectures choisies, sur ce lieu unique qu'est la plage.

BONNES FEUILLES - Le style Ralph Lauren n'est pas simplement une autre marque de mode. Il incarne le mythe américain dans toute sa splendeur. Grâce à une alchimie unique, Ralph Lauren a su fusionner divers éléments du rêve américain en une garde-robe élégamment harmonieuse : le style western fusionné avec l'élégance des Hamptons, la chemise en jean portée avec une veste croisée. 

BONNES FEUILLES - Tout Marseillais a fatalement entendu parler de Gratien Tonna, cette ancienne gloire des rings au physique de gladiateur. C’est avec lui qu’Hervé, écrivain, a rendez-vous. Près de Martigues, devant son mobil-home, une trajectoire hors norme se dévoile. 

Nous crachons sur Hegel est le livre le plus connu de Carla Lonzi, figure emblématique du féminisme radical italien, ici traduit intégralement pour la première fois. Longtemps introuvable, même en Italie, et très recherché, il est enfin disponible en français, tel qu’il a été conçu par son autrice.

BONNES FEUILLES – Au bord d’un lac, une maison. Dans cette maison, une famille et un vieux monsieur venu d’Algérie qui s’occupe du jardin. Une situation confortable que les écarts des uns et des autres ne semblent pas troubler. On ferme les yeux sur les trahisons, on soupire beaucoup, on parle peu. On vieillit ensemble, vaille que vaille, on consent au vaudeville jusqu’à la rencontre improbable entre l’épouse et la maîtresse. Tout change alors.

BONNES FEUILLES - Douze ans après le dernier tome des Chroniques de l’Asphalte, nous retrouvons la bande de copains vivant dans une cité HLM au milieu des années 80.

Un XVIIIe siècle que l'on ne connaît plus si bien...

BONNES FEUILLES - Avec Les étoiles les plus filantes (Liana Levi), Estelle-Sarah Bulle signe en cette rentrée littéraire une fiction audacieuse, comblant l’absence d’archives, un grand roman qui raconte une parenthèse enchantée, à la confluence de la Nouvelle Vague et de la bossa nova, et la cruauté quand elle se referme :  l’histoire imaginaire d’un film culte, Orfeu Negro de Marcel Camus, de son tournage en 1958 à sa consécration avec la Palme d'or en 1959 . 

BONNES FEUILLES - « Face à la destruction de l’humain, à la destruction de la nature qui s’approche plus vite encore, il est plus qu’utile, plus qu’urgent que les écrivains comme les artistes, affrontent dans un face à face sans détours “la geste“ politique menée dans cette nouvelle ère qu’est le capitalocène. »

BONNES FEUILLES – Le livre semble à la peine dans la société contemporaine, détrôné par les objets connectés. Les sondages inquiétants sur l'évolution de la lecture font apparaître un tassement du goût pour les livres, notamment chez les jeunes générations.