Un sommeil de marmotte

#RentreeLitteraire23 - « Allez, dis-le : je pars ! Il faut que tu te le dises en face, là, droit dans les yeux : je me casse, je mets les voiles, je me tire, je fous le camp, je m’échappe, m’éclipse, m’éloigne, m’évapore, bouge, décampe, décanille, décarre, dégage, déguerpis, je me débine, déménage, déserte, détale, disparais, je m’embarque, je m’enfuis, je file, plie bagage, je prends congé, me retire et tire ma révérence... Après cela, tu devrais te sentir mieux ! » 

BONNES FEUILLES - Mère à la peau cuivrée, père inconnu : longtemps, Bianca a tout ignoré de ses racines. Quand elle se décide à faire parler les morts et les archives, elle rejoint le début du XXe siècle, l’époque où les forêts du Bas-Saint-Laurent abritaient la nation autochtone de son arrière-grand-mère, Adriana.

HIVER2024 - Depuis les origines, l'humanité est fasciné par l'invisible, cherchant à comprendre et à expliquer les mystères de la nature...

BONNES FEUILLES - Bienvenue sur la ligne 6 du métropolitain. Sous les yeux de Jacques, conducteur, les stations défilent avec leurs personnages, mi princes mi voyous. 

BONNES FEUILLES - Découvrez le périple incroyable d’Isaac Jacob Blumenfeld, qui traverse deux guerres mondiales, endure trois camps de concentration et embrasse cinq nationalités différentes.

HIVER2024 - Kafka au candy-shop, nouvel essai de Patrice Jean, examine le parallèle entre littérature et militantisme, à paraître aux éditions Léo Scheer l'année prochaine.

BONNES FEUILLES - « Enfant, j’évitais déjà les contes de fée. À six ans je décrétais que leurs personnages ne m’intéressaient pas. Ni les princes, ni les princesses. 

#RentreeLitteraire23 -  Dans cette fiction - bien réaliste - poétique à la forme très originale, Anne Sultan, chorégraphe et danseuse, travaille la langue au plus près du corps et de l’esprit.

HIVER2024 - Le chef de l'entreprise, figure estimée au Maroc, a bâti sa société sur le commerce du cannabis. Collaborant avec les cultivateurs locaux, il transporte le produit vers l'Europe pour le distribuer à d'importants criminels. 

HIVER2024 - « Je m'appelle Dominique Biron et j'ai décidé́ de mourir dans trois jours. C'est le temps qu'il a fallu au Christ pour revenir d'entre les morts, ça me suffira bien pour faire mon petit ménage. » 

BONNES FEUILLES – Bienvenue dans le monde mystérieux des Lou-Sîn… la suite tant attendue des Chevaliers d'Emeraude, par la romancière Anne Robillard. 

BONNES FEUILLES - Parce que la montée des eaux menace l’existence même des Pays-Bas, leur reine Frederika Mathilde Louisa Saskia comprend mieux que quiconque la notion d’urgence climatique. 

BONNES FEUILLES - Depuis des générations, la cité imaginaire d'Ironopolis a été négligée par les gouvernements qui se sont succédé, et elle est maintenant menacée par la voracité des promoteurs immobiliers. 

BONNES FEUILLES — « Comment deviner ce qu'elle recèle, cache, vit. Tout voyageur préfère passer son chemin devant la maison Usher... »

BONNES FEUILLES — « Peut-être trouverez-vous tout ceci étrange, insensé même : étrange, soit, mais réel. Les Anciens savaient ce que signifie “lever le voile”. Ils appelaient cela “voir le dieu Pan”. »

HIVER2024 - L’heure du Borgne est venue mais personne n'est encore au courant. Lyon, au sortir du confinement, le Borgne construit patiemment sa vengeance. Maltraité par son père enfant, la haine le ronge, patiemment.

HIVER2024 - Le paysage intellectuel est dominé par deux grands domaines relativement binaires : la fiction littéraire et la recherche scientifique. uUe dichotomie qui remonte au XIXe siècle, mais qui est aujourd'hui dépassée ...

BONNES FEUILLES — Alain Badiou, reconnu pour sa capacité à explorer diverses formes littéraires et académiques, réinterprète ici le dialogue platonicien.

BONNES FEUILLES - « Vous êtes, ça ne va pas vous plaire, la dernière femme ridée sur terre. »

BONNES FEUILLES - Pendant ces six cent douze jours le silence et l’obscurité ont été mes seuls amis. Presque les seuls. 

BONNES FEUILLES - Antoine a sursauté. Je me suis retournée. Paul se tenait là, dans l’obscurité, son sac à la main. Nous n’avions pas entendu grincer la grille. J’ignore comment il s’y prenait. Ce portillon couinait depuis toujours. Aucun dégrippant, aucun type d’huile n’avait jamais réussi à le calmer. Mais Paul parvenait à le pousser sans lui arracher le moindre miaulement.