Leïla Slimani haine

BONNES FEUILLES – Bizarrement, c’est moins le golem éponyme, le seul, l’unique, modelé à coups de pouce rageur, et dans une épaisse argile, par le rabbin pragois Judas Lœw Ben Bezalel, qu’évoque le formidable roman de Mikaël Hirsch, que la créature de Frankenstein, colosse couturé et titubant fait de bric charnel et de broc osseux. 

BONNES FEUILLES - Ness livre avec une sincérité crue, l’histoire d’un parcours hors norme. Le portrait de Nezha Boubekri arrachée à son Maroc natal à trois ans, promue petite générale du clan familial à l’âge de six ans et plus connue du public sous le nom de Ness. Première femme Arabe à avoir piloté des émissions en prime time sur des chaines majors occidentales. 

AVANT-PARUTION – Prévu pour le 18 septembre, le prochain volume d’Eragon signé par Christopher Paolini sera publié par les éditions Bayard, comme les précédents volumes. La fourchette, la sorcière et le dragon, traduit par Marie-Hélène Delval commence à marquer son territoire, avec quelques premiers éléments dévoilés.

BONNES FEUILLES – Fasciné par la trajectoire de Stephen Crane (1871-1900), comète rimbaldienne de la littérature américaine, mort de la tuberculose à 28 ans, Paul Auster remet en lumière sa vie et son œuvre, lui rendant ainsi un hommage éclatant, celui d’un « vieil écrivain empli d’admiration pour le génie d’un jeune écrivain ». 

HIVER2024 - 2024 : voilà cent ans que Franz Kafka n'est plus de ce monde. Malgré sa disparition, il ne cesse de réapparaître dans de multiples écrits. Quoi de plus autobiographique qu'un journal intime ?

BONNES FEUILLES - Un premier roman irrésistible, d’une bouleversante humanité et d’une grande modernité, qui rappelle nos désirs contraires entre isolement et vie sociale, et nos illusions.

BONNES FEUILLES - « Papa vient de tuer maman. » Passée la sidération, deux enfants brisés vont devoir se débattre avec le chagrin, la colère, la culpabilité. Et réapprendre à vivre.

Pour la rentrée littéraire, les éditions Les Avrils publient le premier roman de l’auteur strabourgeois Dan Nisand.  Un roman, aux inspirations autobiographiques, sur la jeunesse et l’absurdité de la violence. « Moi qui avais grandi parmi les enfants d’Ungemach, je savais quel genre de graine poussait dans ce quartier... » 

Le nouvel essai de Paul Ariès s’adresse aux mangeurs de viandes, de fromages, aux buveurs de lait, accusés d’être des criminels, mais également aux éleveurs, aux bouchers, aux restaurateurs qui doivent faire face aux attaques verbales et aux agressions de certains groupes végétariens et végétaliens.