BONNES FEUILLES - Que ce soit cette photo aujourd’hui jetée, la seule où mère et fils figurent ensemble ; ou la statue millénaire à la tête brisée par mégarde, la canne à pêche chérie, le peigne noir rappelant les visites troublantes à Floriane et Régine : dans Les Larmes de ma mère, les objets détiennent la clé du mystère, permettent d’accéder une nouvelle fois au monde de l’enfance.