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Yael Sultan

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Littérature française

À travers l'oubli. Première partie : Dans la brume…

Ornella a tout pour être heureuse : un emploi intéressant, un appartement qu'elle adore, des jumeaux tant chamailleurs que complices et des amis proches... Une rencontre inattendue va brutalement faire rejaillir ses démons du passé et la plonger dans une remise en question profonde, et l'espoir d'une vie simple. Un livre sur l'estime de soi, la dépendance affective, l'importance des choix, et la "petite voix" . Ce livre n'est pas qu'un roman. A la fin de celui-ci, des questions existentielles permettront de regarder en vous votre façon de voir ou d'espérer les choses. En attendant le tome 2...

07/2023

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Littérature française

Sultan Mourad

Sultan Mourad Victor Hugo Sultan Mourad La Légende des siècles, Hetzel, 1859 (p. 253-266). Mourad, fils du sultan Bajazet, fut un homme Glorieux, plus qu'aucun des Tibères de Rome Dans son sérail veillaient les lions accroupis, Et Mourad en couvrit de meurtres les tapis On y voyait blanchir des os entre les dalles Un long fleuve de sang de dessous ses sandales Sortait, et s'épandait sur la terre, inondant L'orient, et fumant dans l'ombre à l'occident Il fit un tel carnage avec son cimeterre Que son cheval semblait au monde une panthère Sous lui Smyrne et Tunis, qui regretta ses beys, Furent comme des corps qui pendent aux gibets Il fut sublime il prit, mêlant la force aux ruses, Le Caucase aux Kirghis et le Liban aux Druses Il fit, après l'assaut, pendre les magistrats D'Ephèse, et rouer vifs les prêtres de Patras Grâce à Mourad, suivi des victoires rampantes, Le vautour essuyait son bec fauve aux charpentes Du temple de Thésée encor pleines de clous Grâce à lui, l'on voyait dans Athènes des loups, Et la ronce couvrait de sa verte tunique Tous ces vieux pans de murs écroulés, Salonique, Corinthe, Argos, Varna, Tyr, Didymothicos, Où l'on n'entendait plus parler que les échos Mourad fut saint il fit étrangler ses huit frères Comme les deux derniers, petits, cherchaient leurs mères Et s'enfuyaient, avant de les faire mourir Tout autour de la chambre il les laissa courir Mourad, parmi la foule invitée à ses fêtes, Passait, le cangiar à la main, et les têtes S'envolaient de son sabre ainsi que des oiseaux Mourad, qui ruina Delphe, Ancyre et Naxos, Comme on cueille un fruit mûr tuait une province Il anéantissait le peuple avec le prince, Les temples et les dieux, les rois et les donjons L'eau n'a pas plus d'essaims d'insectes dans ses joncs Qu'il n'avait de rois et de spectres épiques Volant autour de lui dans les forêts de piques Mourad, fils étoilé de sultans triomphants, Ouvrit, l'un après l'autre et vivants, douze enfants Pour trouver dans leur ventre une pomme volée Mourad fut magnanime il détruisit Elée,

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Poésie

Sultan Mourad

Sultan Mourad Victor Hugo Sultan Mourad La Légende des siècles, Hetzel, 1859 (p. 253-266). Mourad, fils du sultan Bajazet, fut un homme Glorieux, plus qu'aucun des Tibères de Rome Dans son sérail veillaient les lions accroupis, Et Mourad en couvrit de meurtres les tapis On y voyait blanchir des os entre les dalles Un long fleuve de sang de dessous ses sandales Sortait, et s'épandait sur la terre, inondant L'orient, et fumant dans l'ombre à l'occident Il fit un tel carnage avec son cimeterre Que son cheval semblait au monde une panthère Sous lui Smyrne et Tunis, qui regretta ses beys, Furent comme des corps qui pendent aux gibets Il fut sublime il prit, mêlant la force aux ruses, Le Caucase aux Kirghis et le Liban aux Druses Il fit, après l'assaut, pendre les magistrats D'Ephèse, et rouer vifs les prêtres de Patras Grâce à Mourad, suivi des victoires rampantes, Le vautour essuyait son bec fauve aux charpentes Du temple de Thésée encor pleines de clous Grâce à lui, l'on voyait dans Athènes des loups, Et la ronce couvrait de sa verte tunique Tous ces vieux pans de murs écroulés, Salonique, Corinthe, Argos, Varna, Tyr, Didymothicos, Où l'on n'entendait plus parler que les échos Mourad fut saint il fit étrangler ses huit frères Comme les deux derniers, petits, cherchaient leurs mères Et s'enfuyaient, avant de les faire mourir Tout autour de la chambre il les laissa courir Mourad, parmi la foule invitée à ses fêtes, Passait, le cangiar à la main, et les têtes S'envolaient de son sabre ainsi que des oiseaux Mourad, qui ruina Delphe, Ancyre et Naxos, Comme on cueille un fruit mûr tuait une province Il anéantissait le peuple avec le prince, Les temples et les dieux, les rois et les donjons L'eau n'a pas plus d'essaims d'insectes dans ses joncs Qu'il n'avait de rois et de spectres épiques Volant autour de lui dans les forêts de piques Mourad, fils étoilé de sultans triomphants, Ouvrit, l'un après l'autre et vivants, douze enfants Pour trouver dans leur ventre une pomme volée Mourad fut magnanime il détruisit Elée,

11/2022

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Littérature française

Le Sultan

Le Sultan emprunte la forme ancienne de la fable politique. Ce pastiche des contes orientaux propose une explication de l'avènement et des débuts du règne d'un nouveau souverain dans un royaume imaginaire et pourtant bien connu. Il ne se présente aucunement comme une charge ou un réquisitoire : le narrateur promène sur cette aventure singulière le regard naïf d'un voyageur étranger. S'il s'étonne souvent, il ne condamne jamais, et le souverain moins que tout autre. S'il fait rire, c'est pour éveiller l'esprit du lecteur qu'il prend pour un ami, et lui montrer que devant tant d'apparentes nouveautés c'est l'intemporelle comédie du peuple et de son roi qui continue d'être jouée.

05/2008

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Livres 3 ans et +

Yaël, bâtisseur de zômes

Bonjour à toi qui aimes l'aventure ! Yaël et ses amis visibles et invisibles t'emmènent ici dans un voyage merveilleux où tu découvriras comment construire ces maisons aux formes magiques : les zômes !

07/2020

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Mondes futuristes

Kaël

L'arrivée des humains sur leur planète est le plus grand cataclysme de l'Histoire des ekomers. Kaël a assisté à leur chute depuis les étoiles, à leur trahison et désormais, il voit en l'esprit blanc Thiziri, la seule chance de salut de son peuple. Il aurait pourtant dû la tuer, il le sait. Malgré tout, à chaque fois que ses doigts se posent sur son arc, il est incapable de décocher sa flèche. Redécouvrez le voyage de Thiziri à travers la jungle hostile, par ses yeux à lui et plongez dans ses souvenirs d'enfance jusqu'à son ascension au rang de siölka.

06/2024

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