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William Carlos Williams

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Dossier

XIII : 40 années d'amnésie

Cette année marque le 40e anniversaire de XIII, le célèbre amnésique du neuvième art, dont les aventures ont vendu près de 20 millions d'exemplaires. Créé par Jean Van Hamme et illustré par William Vance, XIII est un personnage qui nous emporte entre espionnage, guerilla et secrets d'État dans des aventures pleines de rebondissements.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Toni Morrison

Née Chloe Anthony Wofford le 18 février 1931 à Lorain, dans l'Ohio, au sein d'une famille d'ouvriers, Toni Morrison étudie la littérature américaine, pour laquelle elle se passionne très tôt : elle soutient un mémoire sur le thème du suicide chez William Faulkner et Virginia Woolf à la fin de ses études, avant d'embrasser une carrière dans l'édition.

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Dossier

Les Prix Booker

Les Prix Booker, ou Booker Prizes, sont au nombre de deux : le Booker Prize, qui récompense des romans publiés en anglais, et l'International Booker Prize, qui salue lui les romans étrangers traduits en anglais et publiés au Royaume-Uni ou en Irlande.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Edgar Allan Poe

Écrivain américain parmi les plus grands et figure incontournable du romantisme, Edgar Allan Poe n'est que rarement représenté sans son célèbre corbeau, tiré de son poème éponyme. Né en 1809 à Boston, Edgar Allan Poe gagne sa vie à Baltimore, en tant que journaliste, au sein de plusieurs publications. Ses débuts littéraires sont plus difficiles : sa poésie comme sa prose ne passionnent guère les foules.

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Dossier

Dix poètes pour entretenir le goût de la poésie

Du 7 au 23 mars, le Printemps des poètes ouvre le bal aux vers, en vers, et contre tout. Parce que le goût pour la poésie dépasse amplement le seul plaisir solitaire d’une lecture intime, voici neuf auteurs à redécouvrir, neuf textes, traduits ou en français, dont les échos restent puissants aujourd’hui encore. 

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Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

Extraits

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Littérature française

William

Que s'est-il passé dans la vie de William Shakespeare entre 1585 et 1592, de ses vingt et un à vingt-huit ans ? Personne ne le sait. Ce sont ces "années perdues" que Stéphanie Hochet se plaît ici à imaginer. William, marié prématurément et père de trois enfants, étouffe dans le carcan familial. Il ne rêve que d'une chose : devenir acteur. Il se joint alors aux Comédiens de la Reine qui cherchent un remplaçant. Dans une Angleterre où sévit la peste, son sort bascule et sa vocation de dramaturge s'affirme. Ses rencontres avec le ténébreux Richard Burbage, qui lui inspirera le personnage de Richard III, et le fascinant Marlowe seront décisives. Elles dicteront son destin.

08/2023

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Chanson française

William

Tout le monde connaît ses succès : Dans un vieux rock'n roll, Le Carnet à spirales, J'me gênerais pas pour te dire que je t'aime encore, Oh je cours tout seul, Fier et fou de vous. Les Filles de l'aurore. Un homme heureux. Des disques d'or de platine : ça, c'est l'écume Car avant tout, William Sheller est un musicien classique. un homme de l'orchestration. Et William est une symphonie écrite par Sheller. Une enfance marquée par un secret. l'identité de son père, et un double enracinement : le Paris des années 50, des 4 CV et l'Amérique des Cadillac. En effet, sa mère, Paulette, tombe amoureuse d'un Américain qui travaille dans des boîtes de jazz : long séjour dans l'Ohio à deux heures de route du Michigan où vit le père naturel de William, sans qu'il le sache alors. Une prédisposition évidente pour la musique, le piano. Un éducation musicale prodiguée par Yves Margat, un maître de l'harmonie, élève de Gabriel Fauré. Et puis l'influence de la musique pop anglaise. Les premières auditions, le succès planétaire de My year is a Day dont il compose la musique, la rencontre avec Barbara pour qui il travaille et chez qui il vit, et puis une femme, deux enfants. Une vie de père de famille et de vedette du showbiz qui sait choisir ses amis : folles expéditions avec Nicoletta et Patrick Juvet à Trouville, relations intenses avec Catherine Lara et Joe Dassin. plus légère avec Carlos. Une géographie zigzaguant entre Paris, la province, l'étranger. Les nuits de folie, la cocaïne, l'ambiguïté sexuelle. C'est une vie qui va vite, constellée d'étoiles et d'astres déchus. Et une oeuvre admirée par toutes les générations de Véronique Sanson à Jeanne Cherhal. William par Sheller est une autobiographie qu'on ne lâche plus dès la première ligne. elle révèle un écrivain véloce, d'une rare sensibilité, qui ne craint pas l'aveu sans jamais se départir de la pudeur des grands artistes.

03/2021

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Poésie

Le Printemps et le reste

Au début des années 1920, le monde se remet d'une guerre mondiale sanglante et d'une pandémie grippale encore plus meurtrière. Les milieux artistiques d'Europe et d'Amérique bouillonnent de créativité, explorent de nouvelles voies, discutent, échangent : les idées et les formes traversent régulièrement l'Atlantique. En 1922, Yeats obtient le Prix Nobel et Rilke publie les Elegies de Duino : la vieille poésie se porte bien. Mais c'est aussi l'année où Eliot fait paraître La Terre Vaine, ce sera une déflagration pour un médecin américain au mitan de sa vie, auteur de livres de poésie, il est aussi pédiatre et met les enfants au monde ; il s'appelle William Carlos Williams. Il répond à la charge poétique d'Eliot avec un livre fou, libre, inclassable : Le Printemps et le reste. Petit livre à la couverture bleue, imprimé à 300 exemplaires Dijon par l'imprimerie Darantière qui avait imprimé le Ulysse de Joyce quelques mois plus tôt. Aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands poèmes du XXe siècle, Le Printemps et le reste est un véritable manifeste pour l'imagination - un livre hybride où alternent des sections de prose et de vers libres, qui apostrophe le futur, mais avec les pieds campés dans le ici et maintenant. Il cristallise en déclarations dramatiques, énergiques et magnifiquement cryptiques la façon dont le langage recrée le monde. La poésie est faite de mouvement pour Williams, il désarçonne le lecteur - le terrifie dira Robert Creeley -, déjoue ses attentes, multiplies les chausse-trappes, plante mille questions et s'esquive sans apporter de réponses. Cela ressemble à de l'improvisation, c'est débridé, fou, solaire. Multiple et furieux. Amusé et insensé. Naufrages, meurtres mondiaux, déferlements de couleurs, la voix s'arrête et repart, navigue entre les blancs et les lacunes, commence à l'impromptu comme au milieu d'une conversation et se tait brusquement. Williams croit en l'imagination, mais l'imagination chez lui ne tourne pas le dos à la vie. Il propulse la poésie américaine dans une tension vivante du présent, et la conduit à un carrefour. Le carrefour de la modernité dont Le Printemps est le reste est la boussole espiègle et détraquée. La nouvelle traduction de Valérie Rouzeau rend toute la vivacité de ce livre majeur de la poésie américaine.

06/2021

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Poésie

Paterson. Edition revue et corrigée

Paru en cinq livraisons, de 1946 à 1958, Paterson est sans conteste le " grand œuvre " de William Carlos Williams, et l'une des bornes majeures de la poésie nord-américaine du XXe siècle. Construit autour de la ville ouvrière du New Jersey qui lui donne son titre, et suivant le cours métaphorique de la rivière Passaic, ce long poème offre le portrait éclaté d'une ville américaine à travers son paysage immédiat, ses scènes contemporaines, mais aussi les multiples strates de son histoire coloniale, culturelle, industrielle... Williams a conçu son ouvrage comme un vaste montage, où alternent séquences versifiées - à la syntaxe tourmentée - et collages de proses quotidiennes : archives locales, coupures de presse, lettres et documents divers... La tension majeure du livre réside bien sûr dans cet écart, entre un projet épique (mais hanté par une déroute historique et sociale) et l'extraordinaire invention dont le poète fait preuve, dans la recherche d'une prosodie visuelle qu'il aura été l'un des premiers à concevoir. Paterson avait été publié une première fois chez Flammarion, en 1981. À l'occasion de cette nouvelle édition, Yves di Manno a entièrement relu, corrigé et refondu sa traduction.

03/2005

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Littérature anglo-saxonne

Je voulais écrire un poème. Autobiographie des livres d'un poète

Quand Edith Heal propose à William Carlos Williams au milieu des années 1950 de se prêter à une série d'entretiens autour de son oeuvre le poète américain est alors âgé de 75 ans ; accompagné par son épouse Florence H. Wiliams (Flossie), il accepte de jeter un regard rétrospectif sur son parcours à travers ses livres. Au fil de ces conversations alertes, complices et fourmillantes de détails sur le monde littéraire américain du début du XXe siècle, William Carlos Williams évoque de façon chronologique son parcours poétique, de son premier livre publié en 1909 à compte d'auteur, Poems, jusqu'à ses derniers ouvrages de la fin des années 1950, et notamment la série des Paterson. De ses premières lectures poétiques, Keats et Whitman, à son amitié avec Ezra Pound en passant par sa carrière de médecin pédiatre, celui qu'Edith Heal appelle le Dr. Williams, et qui est venu à la poésie "seul dans son coin" , mêle avec une grande fluidité, détails biographiques, réflexions théoriques et commentaires de ses propres poèmes. On traverse une époque d'avant-gardes littéraires, les figures de Marianne Moore, de Mina Loy et de Hilda Doolittle, l'univers des petits éditeurs et des revues le plus souvent confidentielles qui ont accueilli les premières publication de Williams, qu'il soutiendra tout au long de son parcours avec reconnaissance, l'aventure des objectivistes avec Reznikoff, Stevens, Oppen, Rakosi et Zukovsky, l'influence européenne... au cours de cet ouvrage dans lequel on traverse de nombreux extraits d'une oeuvre composée de poèmes, de romans, de nouvelles, de pièces de théâtre, de traductions de Soupault et Quevedo, et qui est à la fois une autobiographie vivante, une bibliographie exhaustive, une porte d'entrée et un mode d'emploi de la démarche littéraire de l'un des plus grands poètes américains de son temps. Il ressort de ce portrait, de cette expérience qui n'est pas "très différente finalement de celle du nouveau poète de demain" , une présence charnelle, sexuée du poème, un rapport à la construction des images, une force du réel également, tant les sujets des livres de Williams sont puisés à même la vie quotidienne, sans jamais se détourner de la brutalité sociale dont sont victimes ses contemporaines dans les années de crise économique et de guerre. Et surtout son obsession de la simplicité, sa volonté de dégager une forme poétique "sans déformer la langue telle qu'on la parle" , sa conquête d'une forme propre dont ce qu'il appelle "l'idiome américain" est le vecteur : direct, oral, limpide. En somme, un parcours dominé par "le besoin d'en apprendre le plus possible sur la poésie et le besoin d'en apprendre le plus possible sur la vie, qui n'est pas plus poésie que prose" .

10/2022

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Poésie

Scènes et portraits

Fixer le mouvement du monde, par le célèbre poète de Paterson. " J'avais une machine à écrire dans mon cabinet. Il me suffisait d'insérer une feuille et j'étais prêt. Je travaillais à toute allure. Si un patient venait à la porte au milieu d'une phrase, j'écartais d'un coup la machine et j'étais médecin ". William Carlos Williams, alias "Le Doc", comme l'appelait ses amis, s'installe en 1910 à Rutherford, New Jersey, où il est médecin scolaire. Il lui faut écrire " à toute allure ", et c'est bien la première impression que laisse ses poèmes, notamment les plus brefs : celle de jaillissement, sinon de spontanéité, comme s'il lui avait suffi de noter ce qu'il a vu ou entendu lors de visites, de consultations, ou lors de déplacements qui l'ont fait " griffonne[r] au coin de la rue ". Pendant les quarante années qu'il exerce, la médecine nourrit la poésie de William Carlos Williams autant que sa famille : elle lui fait rencontrer une variété de gens du commun auxquels il est plus sensible qu'à d'autres. Reste que saisir les occasions suppose une disponibilité d'esprit et que l'apparente facilité en art requiert à la fois souplesse et précision technique. L'image du monde, le moment qui fuit et vous arrête en même temps, avec sa vitesse et ses sautes de rythme, est la grande affaire de Williams. C'est toute la vie qu'il veut exprimer, la sienne et celle qui l'entoure, avec ses désirs, plaisirs, douleurs, inquiétudes, mais ce rendu au plus près passe par des recherches formelles. Ses idées sur la poésie (et le reste) évoluent moins qu'elles ne s'affirment avec l'expérience. Depuis toujours, il ferraille contre le classicisme, la langue littéraire de T. S. Eliot, et plus généralement contre l'influence du Vieux Monde sur la culture américaine. Williams avait peint dans sa jeunesse : il fréquentait les galeries et musées de New York. Sa poésie traduit son amour des spectacles - ceux de la vie dans la rue ou la nature - et cette anthologie, qui rassemble plus de 100 poèmes, offre une introduction passionnante sur une oeuvre américaine devenue mythique.

09/2023

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