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Vincent Descombes

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Dossier

Nuit de la lecture 2023 : 11 mangas, BD et comics terrifiants

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Pour celles et ceux qui aiment les cases qui font peur, six mangas et cinq BD sont à découvrir, issus de la bibliographie que propose le CNL.

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Dossier

Nuit de la lecture 2023 : 26 romans pour ne plus dormir la nuit

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Pour celles et ceux qui aiment frissonner, voici 26 romans issus de la bibliographie que propose le CNL.

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Dossier

Nuit de la lecture 2023 : 12 livres jeunesse pour se faire peur

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Et pour débuter, voici douze ouvrages de littérature jeunesse.

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Dossier

Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : 10 ans déjà

Depuis son inauguration en 2014 par le Service des bibliothèques & archives de Lausanne, responsable de la stratégie littéraire, le Prix du livre de la Ville de Lausanne s'est consacré pendant une décennie à soutenir les auteurs de Suisse romande et leurs fidèles lecteurs. Une odyssée littéraire qui promet de perdurer !

Extraits

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Philosophie

Le parler de soi

Depuis l'époque de Descartes, un nouveau personnage occupe la scène philosophique : le moi, tandis que s'éclipsent d'autres personnages qui eurent leurs heures de gloire, tels l'intellect agent et l'âme. D'où sort-il ? Par une intéressante alchimie, les philosophes ont tiré de notre usage ordinaire d'un pronom ("moi") un être philosophal pur ("le moi"). Au terme de quelles aventures conceptuelles le moi se trouve-t-il à la fois à la troisième personne (pour qu'on puisse dire "le moi") et à la première (puisque toute l'idée est d'expliquer ce qui fait que je suis moi) ? Tire-t-on le sens des mots "toi", "lui", "elle" de notre usage du mot "moi" ? Loin que l'on puisse dériver la diversité des personnes d'un rapport à soi dont le pronom "je" serait le seul instrument, c'est au contraire la première personne qui tire son sens et ses traits originaux de sa position au sein du système personnel. Autant de questions grâce auxquelles Vincent Descombes, avec cet air de rien qui est sa marque de fabrique, montre nos incohérences philosophiques et égotistes !

11/2014

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Philosophie

Les embarras de l'identité

L'identité, dans les acceptions que ce terme revêt aujourd'hui, est une véritable énigme lexicale : elle désigne tout autant l'objet de contrôles sécuritaires policiers, un retour à la religion de ses parents, que, dans un guide touristique, la spécificité en voie de disparition d'un quartier. Reprenons. «Qui suis-je ?», «Qui sommes-nous ?», ce sont là ce qu'on appelle précisément des «questions d'identité». Nous comprenons spontanément de quoi il retourne parce que nous disposons d'un modèle : connaître l'identité de quelqu'un, c'est savoir comment il s'appelle. Toutefois, lorsque la question de l'identité est posée à la première personne, mon intention n'est pas d'apprendre quels sont mes nom, prénoms et qualité, comme si je devais passer un «contrôle d'identité». Que signifie le mot dès lors qu'il est utilisé avec le possessif («mon identité», «notre identité») et qu'il ne désigne pas l'énoncé d'un état civil ? Jadis le mot voulait dire exclusivement qu'il n'y a qu'une seule et même chose là où on aurait pu penser qu'il y en avait deux. Or, depuis quelques dizaines d'années, le mot a revêtu une signification autre, à savoir qu'il y a une chose ou un être qui possèdent la vertu d'être singulièrement eux-mêmes. Ainsi, que des guerres puissent éclater pour des questions qui ne relèvent pas strictement des intérêts matériels bien compris des antagonistes, nul ne saurait s'en étonner, sinon ceux qui nourrissent une conception utilitariste étriquée de l'être humain. En revanche, pourquoi est-ce le mot «identité» qui se trouve désormais chargé de signifier l'enjeu et l'objet de tels conflits ? Tel est donc le point précis soulevé par Vincent Descombes : dans tout cela, que vient faire le mot «identité» ? Et que reste-t-il du concept d'identité ?

01/2013

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Psychologie, psychanalyse

L'inconscient malgré lui

L'énonciation du vrai est-elle possible ? Le montrer revient à traiter de ce qu'il est convenu d'appeler l'inconscient. Celui-ci est souvent représenté comme une affaire de mauvaise volonté : on ne veut pas savoir, on ne veut pas dire. Mais l'hypothèse selon laquelle celui qui parle veut dire ce qu'il dit est celle de l'omniscience. L'inconscient n'est pas ce qu'on ne veut pas dire, mais ce qu'on ne sait pas dire. Exposer le concept d'inconscient appartient à la théorie de l'énonciation, si une telle théorie est possible. Elle l'est, si on peut montrer comment s'y est pris celui qui parle de l'énonciation pour dire ce qui arrive, non seulement à celui dont il parle, mais encore à lui-même qui en parle.

02/2004

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Philosophie

Le complément de sujet. Enquête sur le f522ait d'agir de soi-même

Le XXe siècle philosophique a été traversé, en Europe, par la querelle du sujet. On en connaît les grandes étapes: le tournant idéaliste de la phénoménologie et la réaffirmation d'une orientation cartésienne de toute la philosophie (Husserl) ; l'essai d'une radicalisation existentielle (le l'idée du rapport à soi (Heidegger et Sartre) ; la démystification structuraliste qui fit (lu sujet une illusion d'optique ou un effet de langage; le dépassement des philosophies classiques de la conscience dans un dialogisme (Habermas) . les travaux de restauration herméneutique d'un sujet rendu frugal par l'accent porté sur sa finitude, son historicité, sa dette (Gadamer, Ricœur). La guerre est finie. Les adversaires du sujet lui font une place à la condition que, tirant les leçons de l'expérience humaine, il soit divisé, fragmenté, souvent opaque à lui-même, voire impotent. Les tenants du sujet en conviennent, à la condition que l'idée n'en soit pas tenue pour illusoire. Tous concluent que le sujet avait été conçu, à tort, comme doté de deux attributs auxquels il n'avait pas droit : la transparence et la souveraineté. Mais aussi due le sujet réformé peut et doit conserver sa place architectonique dans notre conception générale du monde et notre propre statut cosmologique. Telle est la grande illusion de la philosophie morale, politique ou de la cognition. Car il n'est pas certain qu'aujourd'hui la philosophie puisse dire ce qu'elle entend par sujet. Sauf à revenir à la conception élémentaire, syntaxique, de complément du verbe, de sujet d'un agir soi-même. Ce sont là les raisons comme les enjeux de l'ébranlement qu'entreprend ce livre.

03/2004

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Philosophie

Le raisonnement de l'ours. Et autres essais de philosophie pratique

Comment éliminer la mouche qui empêche son ami le jardinier de dormir ? C'est la question que se pose le protagoniste de la Fable de La Fontaine L'Ours et l'Amateur des jardins. L'animal répond : en écrasant l'insecte au moyen d'un pavé. Et le poète de qualifier l'Ours de mauvais raisonneur. Afin de mesurer la portée philosophique de cette leçon, il faut identifier le défaut de raisonnement de l'Ours ; et, pour cela, développer un concept de raison pratique qui échappe à l'alternative ruineuse d'une raison instrumentale, simple puissance de calcul au service de nos volontés arbitraires, et d'une raison pure qui n'aurait pas à tenir compte des fins humaines. L'Ours de la fable n'agit pas sans raisonner, pas plus qu'il ne manque de principes ; il agit selon une rationalité unilatérale, sur la base d'une définition incomplète des buts à atteindre par son intervention. Se dessine alors une troisième voie, qui consiste à concevoir la raison pratique comme une capacité à déterminer l'action à accomplir par le truchement d'une délibération pondérée. C'est cette troisième voie que veulent explorer les essais qui composent ce volume. Ils sont répartis en quatre sections : philosophie de l'histoire, philosophie politique, philosophie juridique, philosophie morale.

09/2007

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Critique littéraire

Grammaire d'objets en tous genres

Grammaire philosophique est le nom qu'on donnait, au Moyen Age, à l'étude de la manière de signifier quelque chose. Il y a toujours plusieurs façons de dire quelque chose. La variation philosophiquement la plus intéressante n'est pas celle du lexique, mais celle de la construction grammaticale. Le présent essai applique l'analyse philosophique à divers genres d'objets dont il est fait état dans les théories contemporaines : l'objet en tant qu'objet de l'ontologie, l'objet de conscience de la phénoménologie, l'objet de connaissance de l'épistémologie, l'objet de référence de la sémiologie, l'objet paradoxal du désir des doctrines du signifiant (psychanalyse, critique littéraire), enfin l'objet de fiction.

10/1983

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