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Tendre hommage, cruels caprices

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Dossier

Sélection de lectures : rendre contagieux le plaisir de lire

L'association Lire et Faire Lire, avec son initiative unique, révolutionne la manière dont les enfants découvrent le monde des livres. En invitant des bénévoles de plus de 50 ans à lire des histoires aux enfants, l'association crée un pont intergénérationnel, rappelant la chaleur et la sagesse des lectures faites par les grands-parents. Ces séances de lecture ne sont pas des cours, mais des moments de partage culturel et citoyen, où le plaisir de lire devient contagieux.

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Prix de l'Instant 2023 : rendre justice aux talents passés inaperçus

Le Prix de l'Instant, du nom de la librairie qui le porte, conçu par Sandrine Babu et Guillaume Perilhou, vise à récompenser, au printemps, un roman francophone paru au cours de l'année et ayant injustement échappé aux regards.

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Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Dossier

Nota Bene : visiter et apprendre l'Histoire, autrement

NotaBene – « L'histoire est devenue ma passion quand j'ai créé ma chaîne Youtube », explique Benjamin Brillaud, fondateur de Nota Bene. Ses émissions, qui recensent aujourd’hui 2,16 millions d’abonnés, travaille à rendre l’Histoire plus abordable. Une approche pédagogique et ludique qui devait, assez logiquement, conduire à puiser dans d’autres supports comment rendre le sujet plus populaire encore.

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Prix Frontières 2024 : vers l'ailleurs

En 2021, l'Université de Lorraine lançait la première édition du prix littéraire « Frontières », en partenariat avec l'Université de la Grande Région et soutenue par ses laboratoires Crem et Loterr. Décerné en hommage à l'écrivaine Léonora Miano, ce prix est destiné à récompenser, chaque année pendant cinq ans, l'œuvre romanesque qui traite le mieux de la thématique des frontières.

 

Extraits

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Romans historiques

Tendre hommage, cruels caprices

Que s'est-il passé dans l'intervalle entre 1619 et 1659 à l'intérieur de ce petit comté site aux pieds des Pyrénées qu'on nomme la Catalogne ? Que peut-on reprocher à ce jeune Catalan, baron humaniste, dévoué fervent à sa terre natale, déchirée entre 2 pays, aussi brillant serviteur du Lys, le Roi de France, que valeureux militaire dévoué à l'Aigle de la Monarchie espagnole ? Pour le prix de son honneur, comment a-t-il pu sacrifier l'héritage de ses parents, la vie même de son cadet et son amour pour la mère de ses enfants ? Le lecteur suit ce jeune homme, d'une grande élégance morale, militaire au sens de l'honneur sans faille, entre Madrid, Naples et Barcelone, et vit avec lui cet amour interdit, qui l'aide à faire face à une mort annoncée, injuste, à tout juste 40 ans. En lui se confrontent alors angoisse et lucidité jusqu'à son dernier souffle. Dans une correspondance avec son cousin a peine plus âgé, il se confie dans un style familier mais avec le courage juvénile de celui qui a chéri et si dignement assumé ses fonctions, écartelé entre deux pays. Après ce récit, comment oublier qu'un héros ne meurt pas toujours à cheval ?

03/2024

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Littérature française

Caprices

Tel un musicien pour se délasser se laisse aller à une composition sans plan déterminé, pour nous faire entendre ses fantaisies sur les thèmes les plus variés, Francis de Miomandre nous ouvre un univers des plus variés où il accueille les plus humbles choses de la vie quotidienne : une bulle de champagne, une touffe de chiendent, une pierre. Les ayant accueillies il les pénètre, leur insuffle son âme emplie d'amour universel, leur prête nos sentiments humains, nos rêves, nos déceptions, et jusqu'à nos larmes. Puis il nous enchante par de petites histoires, vrais contes d'Andersen où l'humour se mêle au lyrisme et nous révèle quelques-uns des symboles les plus pathétiques de notre absurde existence, nous fait entrevoir les vérités les plus profondes. Ce livre que l'on peut ouvrir n'importe où, lire dans tous les sens sans perdre un iota de son charme et de sa haute portée philosophique est enveloppé d'un halo de féerie, d'une vapeur somnambulique, et l'on se demande où est le réel, où est le rêve parce que les envols du songe reposent sur les bases solides de la plus lucide connaissance de la réalité. Caprices est un pas de plus sur la voie royale que l'artiste a empruntée depuis Direction Etoile, Le Fil d'Ariane, Samsara, Les Jardins de Marguilène, Fugues, avec une sûreté sans cesse plus grande. Tout frémissant d'amour bouddhique et nimbé du sourire tendre et mélancolique de la sagesse, Caprices, dans un style de plus en plus dépouillé et ruisselant de poésie, nous amuse, nous enchante et nous laisse au bord de cette angoisse métaphysique qui préoccupe tant d'écrivains plus réalistes.

02/1960

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Poésie

Caprices

"aux Gyrovaguesà la fourbure du chevalprofitons des trois wwein weib würfelvin femme et les dés(ô poëshies de Frédéric II !)Goliards ou Vagantsqui chantiez en latin-allemandstetit puella rufa tunicaeia !riez-vous des choses dernièresdieu, le jugementavant que le vent ne couche le Vieillardlui soit épargnée l'agonie urémique !Le terme de Caprices (Capricci, kep, couper) désigne en tout art les oeuvres qui allient, au pur gré de l'auteur, dans leur architecture, la fantaisie à la réalité - ainsi les ruines dans les paysages. (Dictionnaire étymologique Labrune)" Jude Stéfan.

05/2004

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Poches Littérature internation

Rêves cruels

Ne traitez plus de folle cette amie qui vous supplie de croire que son dernier rêve, qui vous prédisait de sombres jours, était prémonitoire : même s'il y a de fortes chances qu'elle débloque, on ne sait jamais... Rhoda Broughton, pléthorique aventurière des Lettres qui triompha en Angleterre au tournant du XXe siècle, ne démordit jamais de cette idée qui lui inspira ses nouvelles les plus enlevées, les plus inquiétantes mais aussi les plus drôles, car la dame indigne savait se moquer comme personne des petits délires dont les hommes encombrent leur psyché. En trois histoires perfides jamais lues en français, elle raconte ici quelques rêves cruels et menaçants, les meilleurs comme on le sait, ceux que l'on se plaît à colporter en souriant et avec ce léger frisson qui nous rappelle que le monde de la nuit est celui de toutes les peurs et de toutes les idées les plus invraisemblables... Parfait avant d'éteindre la lumière.

11/2014

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Littérature française (poches)

Contes cruels

" Noir et cher scélérat, à toute heure, je lis les Contes depuis bien des jours ; j'ai bu le philtre goutte à goutte... Tu as mis en cette œuvre une somme de Beauté extraordinaire. La langue vraiment d'un dieu partout ! Plusieurs de tes nouvelles sont d'une poésie inouïe et que personne n'atteindra : toutes, étonnantes " (Mallarmé à Villiers de l'Isle-Adam). " J'ai connu un certain nombre d'hommes qui ne vivaient qu'aux cimes de la pensée, je n'en ai pas rencontré qui m'aient donné aussi nettement, aussi irrévocablement l'impression du génie " (Maurice Maeterlinck).

01/1983

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Littérature française

Mécomptes cruels

La cruauté pourrait bien être, tous contes faits, l'inclination la mieux partagée. Dans les jeux de l'amour, floueurs et floués s'y adonnent avec constance, mettant à souffrir autant de passion qu'à faire souffrir, jouissant de l'un et de l'autre au gré impitoyable du hasard, incertains, à la fin de l'histoire, d'avoir ou d'être trompé(s), mais bien sûrs, en revanche, qu'il n'y a que cette douleur qui vaille. Avec ces cinq nouvelles, teintées d'une ironie pleine de tendresse pour des perdants magnifiques dans lesquels chacun refusera de se reconnaître, Georges-Olivier Châteaureynaud trille de variations tour à tour goguenardes, inquiètes ou mélancoliques, la mélodie de nos existences.

04/2006

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