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Manuel Castells

Dossiers

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laure Manel

Laure Manel est une autrice française née en 1978, connue pour ses romans contemporains à caractère romantique.

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Riad Sattouf

Né le 5 mai 1978 à Paris, Riad Sattouf fait ses premières armes dans un atelier qui rassemble Christophe Blain, Mathieu Sapin et Joann Sfar. C'est sous la direction éditoriale de ce dernier qu'il publie chez Bréal deux albums prometteurs, Manuel du puceau et Ma circoncision, en 2003 et 2004. Ces deux titres annoncent la veine comique et autobiographique qui fera son succès par la suite, notamment avec la série L'Arabe du Futur, publiée par Allary, et parmi les plus grands succès de l'auteur.

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Dossier

Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Riad Sattouf

Riad Sattouf est auteur de bandes dessinées et réalisateur, né en 1978. Ses deux séries best-sellers sont L’Arabe du futur (Allary Éditions), 2,5 millions d’exemplaires vendus, et Les Cahiers d’Esther (Allary Éditions), 950.000 exemplaires vendus. Il a réalisé deux longs-métrages : Les Beaux Gosses (2009), César du meilleur premier film, et Jacky au royaume des filles (2014).

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Dossier

Le Chevalier au Dragon : L'épopée redécouverte de Ségurant

Ségurant, souvent décrit comme le "chevalier au dragon", est un personnage qui a surpassé tous les chevaliers de son époque en force et en bravoure. Il a brillé dans chaque tournoi de chevalerie auquel il a participé. Cependant, son destin a pris un tournant dramatique lorsqu'il a été ensorcelé par les fées Morgane et Sibylle, qui l'ont lancé à la poursuite d'un dragon cracheur de feu.

Extraits

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Sociologie

L'ère de l'information. Tome 3, Fin de millénaire

Le troisième et dernier volume de la trilogie est consacré à la compréhension du monde politique et social qui se met en place, en cette fin de millénaire, du fait de l'avènement de la société en réseaux et de l'affirmation des identités. Manuel Castells revient d'abord sur l'effondrement de l'URSS, qu'il analyse comme l'effet de l'incapacité du système bureaucratique à passer à l'âge de l'information. Il montre ensuite comment le capitalisme à l'ère des réseaux accroît les inégalités et l'exclusion à l'échelle de la planète : en témoignent tout autant l'état de l'Afrique que la pauvreté urbaine et l'exploitation des enfants. Il s'attache dans le même mouvement à expliquer pourquoi la globalisation en cours est aussi celle des mafias, qui n'ont pas leur pareil pour mettre à profit l'ouverture des frontières et les nouvelles technologies. Revenant alors sur le boom qu'ont connu les économies asiatiques pendant deux décennies, il explique la crise financière qu'elles traversent depuis quelque temps comme le signe qu'à l'ère de l'information on ne peut plus piloter le développement économique par le haut. Dans ce contexte, l'unification européenne, première expérience de passage de l'Etat-nation à l'Etat en réseau, doit être regardée comme une entreprise de portée historique. En guise de conclusion générale de la trilogie, Manuel Castells dégage les principes d'une théorie de la société à l'ère de l'information.

08/1999

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Sociologie

La galaxie Internet

Après Internet, plus rien ne sera jamais comme avant. L'économie, la société, la politique, la culture elle-même s'en trouvent bouleversés de fond en comble, sans que nous prenions toujours bien conscience de la nature de ces transformations, nous privant ainsi de la possibilité de les orienter. Le principe de la production en réseaux affecte désormais l'ensemble du secteur de l'économie, et c'est Internet qui lui fournit son carburant : adaptabilité, interactivité, flexibilité. Et si le Nasdaq connaît et connaîtra encore bien des turbulences, il ne fait aucun doute que la transformation est profonde et durable. Marchés financiers, rapports de production, communication dans et hors de l'entreprise, rien n'échappe à la redéfinition, dont Castells rend compte avec précision sans esquiver les questions délicates : et si l'instabilité boursière actuelle annonçait la fin de la nouvelle économie ? et si tout cela se résumait à la formation puis à l'éclatement d'une bulle spéculative ? Après quoi l'auteur nous invite à regarder du côté de la société, afin d'évaluer la plausibilité d'une nouvelle sociabilité en ligne. Internet, de ce point de vue, travaille-t-il à la misère d'individus de plus en plus isolés ou favorise-t-il au contraire l'instauration de la cité idéale des internautes ? Cette évaluation, fondée sur un méticuleux brassage des données disponibles, conduit ensuite Castells à analyser les implications politiques d'Internet. D'abord en étudiant les formes nouvelles et concrètes d'organisation et de participation citoyennes, puis en examinant les menaces que le réseau fait peser sur la liberté et la vie privée des personnes. Economie, société, politique : l'inégalité et l'exclusion sociale hantent ces trois domaines, et c'est sur une analyse du contour et de la dynamique de la fracture numérique que se clôt le livre. Sa conclusion : la fracture n'est pas fatale, elle n'est ni induite ni corrigée par Internet, et il dépend de nous que la diffusion de l'instruction, des technologies de l'information, la mise en place d'autorités de régulation et d'institutions démocratiques corrigent les inégalités engendrées par un marché abandonné à lui-même. Oui, il dépend de nous.

01/2002

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Sociologie

L'ère de l'information. Tome 2, Le pouvoir de l'identité

Tandis que le monde se globalise, les revendications identitaires se multiplient. Pourquoi ? Avec quelles conséquences sociales ? Tel est le thème central de ce livre, qui fait suite à La société en réseaux. Cette tension entre le mouvement d'intégration économique et la tendance à l'atomisation sociale est à l'origine de la crise de légitimité que traversent aujourd'hui les institutions traditionnelles. Manuel Castells s'attache ainsi à comprendre la déroute du modèle patriarcal de la famille et ses conséquences, qu'il juge très profondes, ainsi que la crise de l'Etat-nation, qu'il explique par la multiplication des sources d'autorité et de pouvoir : coincé entre la logique des réseaux mondiaux et celle des identités particulières (religieuses, sexuelles, nationales, ethniques ou culturelles), ce dernier conserve certes un rôle important, mais n'est plus qu'un lieu de pouvoir parmi d'autres. L'analyse débouche sur une interprétation générale de la crise de la démocratie centrée sur le rôle des médias, ultime étape avant l'exploration du champ des possibles offerts par ce que Castells appelle la " démocratie informationnelle ". Il estime que les acteurs sociaux de l'ère de l'information seront des mouvements (féministes, écologistes, religieux...) capables de produire des codes culturels nouveaux et d'agir en contre-pouvoirs. Clarté, solidité du propos, finesse de l'analyse, richesse et variété des exemples choisis : les qualités de ce deuxième tome sont celles-là mêmes qui ont fait le succès du premier, pour le plus grand plaisir du lecteur.

08/1999

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Sociologie

L'ère de l'information Tome 1 : La société en réseaux. Edition 2001

Sous l'effet d'une révolution technologique considérable - l'invention du microprocesseur et la diffusion de la micro-informatique -, le monde a profondément changé : l'économie, bien sûr, mais aussi les conditions de travail, le rapport au temps, à l'histoire, à soi et à l'autre. Et c'est une société entièrement nouvelle qui se met en place sous nos yeux : la société en réseaux. À la verticalité des hiérarchies succède l'horizontalité de la communication à l'autorité des pouvoirs en place, la légitimité de l'initiative et de la réussite ; à l'uniformité industrielle, la diversification des relations de travail ; à un univers d'États, le flux des marchandises et les signes d'un capitalisme triomphant. Est-il possible de donner un sens à ce qui nous apparaît aujourd'hui comme un épouvantable chaos ? Cette édition revue et augmentée contient, outre l'actualisation de toutes les données chiffrées, de nouveaux développements sur les phénomènes qui sont apparus ou se sont amplifiés ces dernières années : la constitution d'Internet, la généralisation de son utilisation et ses conséquences ; les progrès de la génétique et le problème moral posé par le clonage humain ; la globalisation des marchés financiers, des échanges de biens et services et de la production ; la " nouvelle économie " et sa gestion politique.

02/2001

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Guides étrangers

Santa Maria di Castello, Genova

Parmi les églises les plus fascinantes de Gênes se trouve Santa Maria di Castello, dans le cur le plus ancien de la ville. La basilique romane, avec le couvent et le musée attenants, est un complexe monumental d'une importance extraordinaire. En plus de la suggestion d'une architecture romane et de chefs-d'uvre inestimables vraiment de toutes les époques, ce site sacré est rendu unique par le fait qu'il s'élève à la place de la première colonie de la ville, juste au-dessus de l'abri naturel de la côte du vieux port. La façade de l'église et le clocher témoignent de l'architecture romane qui, à Gênes, reprend la langue apportée par les maîtres anti-amis, les constructeurs et les sculpteurs sur pierre de Lombardie. L'un des signes caractéristiques de leur architecture est la réutilisation des matériaux récupérés des ruines de l'architecture romaine ...

01/2020

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Beaux arts

Leo Castelli et les siens

" Je ne suis pas marchand d'art, je suis galeriste " avait coutume de répéter Leo Castelli. Il a régné sur l'art contemporain international pendant plus de quarante ans, au point d'en changer toutes les règles. Après avoir vécu dans de grandes villes d'Europe (Trieste, Vienne, Milan, Budapest, Bucarest et Paris), aux prises avec les convulsions historiques du siècle, ce grand bourgeois dilettante rejoint les États-Unis en 1941, où il ouvre sa propre galerie à New York, en 1957, à l'âge de cinquante ans. Fasciné par les artistes, ses " héros ", il découvre les grands Américains des sixties (Jasper Johns, Robert Rauschenberg, Frank Stella, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, James Rosenquist), et les mouvements esthétiques (le Pop Art, l'art minimal, l'art conceptuel), qu'il insère dans le cours de l'histoire de l'art. Organisée à l'européenne et gérée à l'américaine, la galerie Castelli invente la première forme de globalisation du marché de l'art et devient une institution incontournable. En quelques années, le galeriste transforme le statut de l'artiste aux États-Unis, assurant à l'art américain, pendant près de quatre décennies, une absolue hégémonie sur la scène internationale. Les consécrations à la Biennale de Venise pour Robert Rauschenberg en 1964, et Jasper Johns en 1988, sont de nouveaux coups de maître pour Castelli, jusqu'à ce que le marché de l'art américain s'emballe dans la fièvre de la montée des prix. Pourtant, derrière la personnalité d'un personnage érudit, affable et médiatique, se cache une histoire beaucoup plus complexe et mystérieuse qu'il ne le laissait paraître. Grâce à de nombreux entretiens réalisés dans le monde entier et à des documents d'archives inédits, Annie Cohen-Solal, biographe de Sartre et auteur de " Un jour ils auront des peintres ", nous transporte d'Italie en Hongrie, en Roumanie, en France et aux États-Unis, pour raconter la passionnante trajectoire du galeriste, découvrant que sa fonction ressemblait étrangement à celle de ses propres ancêtres, et de ces agents qui travaillaient auprès des Médicis, dans la Toscane de la Renaissance.

10/2009

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