Luc-Alain Giraldeau, Frédérique Dubois

Jean-Luc Godard attaqué par Alain Fleischer

Sur un banc, quelque part face à la mer, Anatole et Jeanne échangent des bribes de leur passé, après une rencontre improbable.

Le salon Lire en poche qui se tiendra des 11 au 13 octobre prochains à Gradignan (Gironde) offre cette année un regard particulier sur la liberté – et l’art voltairien ou non de sa culture. Partenaire de la manifestation, ActuaLitté apportera ces prochains temps un éclairage spécifique sur ses temps forts. À commencer, évidemment, par l’inauguration.

Un vieil homme grincheux et souffrant de solitude se rend à sa boîte aux lettres et y découvre, non pas une facture, comme à son habitude, mais un poème. D'abord agacé il commence par le déchirer et oublie cet incident. Mais que se passera-t-il s'il en reçoit d'autres ? Et qui les lui envoie ? Sa vie sera-t-elle bouleversée par un évènement aussi anodin mais tellement inattendu et surprenant ? Et si le destin prenait soudain un tour inattendu ? A vous de le découvrir dans cette histoire à lire sans modération... Une hirondelle, des bouts de papier destinés à un homme...Histoire de rien, histoire de tout où se bousculent les rêves à venir et passés...

Animations jeunesse - Samedi 14 septembre 2013 à 16h00 - A la librairie

C’est dans le cadre majestueux de l’arrière pays grassois que ce situe ce cinquième roman de Frédérique Longville.
Des aléas professionnels ont poussé Sophie et Martin à quitter la ville pour s’installer dans les collines avec leurs deux enfants, Pamina et Faustin, optant volontairement pour une vie simple, plus conforme à leurs valeurs personnelles.
Si les difficultés s’invitent rapidement dans le quotidien des Fabrègues, pas question pour eux de revenir en arrière. Leur avenir est désormais dans une vie proche de la nature, visant à l’essentiel, à l’écart de la ville. La simplicité volontaire, tel est leur nouveau credo. Rebelles des temps modernes, leurs choix de vie ne sont pas toujours bien vus, mais qu’importe ? Le bonheur pour eux est à ce prix, dans une marginalité choisie et assumée.
Peu à peu, autour de Martin et Sophie se tisse un réseau d’autochtones, bien décidés comme eux à privilégier l’Être plutôt que l’Avoir, en remettant au goût du jour les valeurs humaines telles que l’entraide, l’échange et le partage. Un petit groupe qui revendique le droit à la différence et à une éducation respectueuse de l’individu, des « moutons noirs » qui dérangent et bousculent les certitudes.
« Être soi, ce que l’on a envie d’être sans sacrifier aux modes, aux directives politiques, non pour plaire à autrui mais pour se faire du bien, se plaire et contribuer à bâtir un monde où chacun aura sa place, tel est le but vers lequel devrait tendre toute existence. »

Les lecteurs du comité de lecture des « Nouvelles Plumes » parlent des moutons noirs :

« J'ai commencé cette histoire et je n'ai arrêté que quand je l'ai eu fini. Entre rires et pleurs, je pris un réel plaisir à rentrer dans l'histoire de cette famille. Un pur bonheur. » Emily R
« Bon rythme tout le long, des thèmes d'actualités… » Véronique H
« Des personnages bien campés, modernes, justes » Liliane L
« L'ambiance du village, de l'école, les cancans sont évoqués avec réalisme, que ce soit en Provence ou ailleurs. »… « Les larmes de Pamina à la sortie de l'école m'ont replongée 35 ans en arrière ». Evelyne S
« J'ai beaucoup apprécié et presque envié leur façon de vivre ! » Véronique H
« Un livre qui montre que la différence ne doit pas faire peur… » Elisabeth L

Bien loin de vivre aussi isolée de ses semblables que le sont les personnages de son roman, Frédérique Longville vit dans les Pyrénées Orientales depuis 1998. Outre l’écriture, elle se passionne pour les activités privilégiant le contact avec la nature. Confortée par la lecture des livres de Pierre Rabhi (« Vers la sobriété heureuse ») et de Frédéric Lenoir (« Petit traité de vie intérieure »), pour ne citer qu’eux, Frédérique Longville a imaginé cette histoire pour illustrer son message : c’est à nous, les obscurs, les sans-grades, de prendre les choses en main et c’est par nos petits gestes quotidiens que nous parviendrons peut-être à retrouver un mode de vie harmonieux où chacun aura sa place sans rien détruire autour de lui. Certains diront que les adeptes de la Simplicité Volontaire ne représentent qu’une goutte d’eau dans la mer et que ce n’est pas ce qui va changer le monde… Peut-être, mais « si nous n’agissons pas, cette goutte d’eau ne se rendra pas jusqu’à l’océan », disait Mère Teresa. Alors résistons !

Disparition du comédien Bernard Giraudeau

Ce dimanche 29 mai 2011 s’est déroulée au Château de Chamerolles (Loiret) la “Fête de la nouvelle” réunissant auteurs, comédiens, danseurs, musiciens, marionnettistes, mimes et la grande famille des lecteurs !

A l'heure des sms, e-mails et autres messageries instantanées, ce roman épistolaire contemporain pourrait sembler désuet et hors propos. Il n'en est rien. Au contraire, ce drame familial dévoilé à travers les lettres de deux protagonistes traduit avec brio les relations compliquées entre générations, les dégâts irrémédiables que non-dits et rancœurs enfouies peuvent entraîner, la difficulté d'être parent, la douleur de vieillir, la séparation, le remords et les examens de conscience ravageurs,  mais aussi la haine et l'amour.

Février 2021, coup d'éclat de Frédérique Vidal : l'ex-ministre de l’Enseignement supérieur annonçait à l’Assemblée Nationale une enquête portant sur ce qui « relève du militantisme et de l’opinion » dans le milieu universitaire. Avec pour cible le fameux “islamo-gauchisme”. Or, Le Monde a obtenu la copie d’un document du ministère de l’Enseignement supérieur, qui dévoile en fait un fumeux coup de com'. 

En publiant La Succession (éditions de l’Olivier, 234 pages, 19 €) lors de cette rentrée littéraire, l’écrivain Jean-Paul Dubois attire encore une fois à lui des louanges, son ouvrage étant par ailleurs sélectionné pour la prix Goncourt. Si cet auteur est très discret, il a déjà obtenu cependant le Prix Femina en 2004 pour Une Vie française.

Depuis ses déclarations sur l'islamogauchisme qui gangrènerait les universités, les appels à la démission de la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal se multiplient. Et pour cause, tant la polémique ressemble à un écran de fumée pour masquer la détresse des étudiants et la faiblesse des budgets universitaires. Des comités de rédaction de revues de sciences sociales se joignent désormais à la fronde contre Frédérique Vidal.

Prix du livre Inter 2009 : Traques de Frédérique Clémençon

Hommage à Bernard Giraudeau : extrait de Cher amour

Bernard Giraudeau : acheter mon bouquin relève du miracle

Richard Dubois, le directeur commercial du groupe Gibert Joseph, partira à la retraite à la fin du mois de mars, nous a confirmé le principal intéressé. La fin d'une collaboration de plus de 29 ans avec l'enseigne, qui s'est dotée d'une cellule dédiée au marketing l'année dernière.

Lauréat 2019 de la prestigieuse récompense de la rentrée littéraire, Jean-Paul Dubois vient de nouveau de remporter le prix Goncourt. Cette année était en effet organisé le premier Choix Goncourt du Royaume-Uni. Et le romancier salué vient de renouer avec le succès. 

Après avoir incarné notre secteur d’activités durant 35 ans, Bernard Gérard a pris ce 31 mars 2020 une retraite bien méritée. L’Association des Éditeurs belges (ADEB) est désormais dirigée au quotidien par Benoît Dubois. 

C'est pour le livre Le cas Sneijder, paru aux Éditions de l'Olivier que le journaliste et écrivain Jean-Paul Dubois a été récompensé du Prix Alexandre Vialatte.

BONNES FEUILLES - Naître ou ne pas naître, telle est l’unique question. Certains trépignent dans la coulisse, avides de couper le cordon, de bondir en scène, d’y camper un personnage, d’autres se demandent bien pourquoi, pourquoi on devrait s’arracher au farniente amniotique, encoconnés qu’ils sont dans le ventre maternel comme au cœur d’un doux hamac.

Frédérique Berthet se voit décerner, par Le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), le Prix du livre de cinéma 2018 pour La Voix Manquante, publié aux éditions P.O.L. Le prix est doté de 10.000 € : une somme de 5 000€ pour l’auteure et 5 000€ versés à l’éditeur à des fins de promotion du livre primé.

Petite surprise de la rentrée, et petite coïncidence qui va faire parler d'elle l'an prochain. Deux auteurs publieront à six jours d'intervalle un roman. Rien, jusque-là, de réellement démentiel. Mais en y regardant mieux, ça risquera de coincer un peu.

Dupuis retarde Les longues traversées de Giraudeau et Cailleaux

« Créé en 2005, le Prix Pierre Mac Orlan distingue chaque année des ouvrages de langue française – romans, récits ou recueils de nouvelles – qui s’inscrivent dans l’univers de Pierre Mac Orlan et qui font large place à l’aventure et l’imaginaire. » Bon, ça, c'est la théorie.

Le Prix Goncourt de l'année 2019 a été remis à Jean-Paul Dubois pour son roman Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon, publié par les éditions de l'Olivier. L'ouvrage faisait partie de la dernière sélection de l'Académie Goncourt, qui comprenait 4 romans. Et souligner que cette année, le jury aura fait vibrer le Landerneau de l'édition, n'est pas peu dire. Jean-Paul Dubois l'emporte, au second tour, devant Amélie Nothomb, par 6 voix contre 4.

Oui, Minette ! Tant d’intimité ça rapproche.

Comment faire l'amour dans la nature, Rousseau, Dubois

Les funérailles de Bernard Giraudeau, à l'église Saint Eustache