Recherche

Lettres choisies, Souvenirs 1814-1859

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

ActuaLitté

Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

ActuaLitté

Dossier

Andreï Kourkov, symbole de la résistance ukrainienne par les Lettres

En l'espace de quelques heures, toute l'Europe a pris peur : la Russie décidait d'envahir l'Ukraine, contre toute attente – ou plutôt, confirmant les craintes d'un grand nombre d'observateurs. Et depuis le 24 février, l'écrivain d'origine ukrainienne, Andreï Kourkov prend la parole dans les médias. Loin d'un couple “Je vous l'avais bien dit”, l'auteur apporte explications et commentaires, comme il l'a fait à travers ses livres.

ActuaLitté

Dossier

La Lettre Zola : entre tradition et innovation

Dans le paysage médiatique contemporain, où l'information est souvent consommée rapidement et en surface, La Lettre Zola offre une bouffée d'air frais. C'est une aventure littéraire qui se tient à la frontière entre tradition et innovation, offrant une nouvelle voie pour la littérature dans notre société numérique. Pour ceux qui souhaitent soutenir ce projet, les précommandes sont disponibles avec une livraison estimée pour janvier 2024.

ActuaLitté

Dossier

Lettres du Monde : promouvoir les littératures et les cultures du monde

A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

Extraits

ActuaLitté

Histoire de France

Lettres choisies, Souvenirs 1814-1859

Dans ce choix de lettres (1814-1859) de Tocqueville, on trouve le recueil de ses expériences aussi bien publiques qu'intimes. Pour Tocqueville, qui était très conscient de l'importance littéraire de ses lettres, une lettre, c'est un essai. À la manière de Montaigne, mais rédigé à bâtons rompus, avec des lacunes et des redites qui donnent au volume le charme d'un miroir brisé.Avec chaque correspondant, Tocqueville met à l'épreuve ses idées et son style sans esprit de système. Il se montre ici toujours en apprentissage dans la simplicité de sa nature. On le suit durant cinquante ans, depuis les tracés hésitants de l'enfant jusqu'à l'ultime adieu du mourant ; tantôt solitaire dans les forêts américaines, tantôt ministre assis à la table des puissants, ou notable normand soucieux de fourrage et de haies. Paradoxe : ce miroir brisé fait admirablement ressortir la cohérence entre l'ouvre et la vie.

01/2003

ActuaLitté

Correspondance

Correspondance générale. Tome 5 (1855-1857) ; Suivie de lettres retrouvées (1829-1854)

Les années 1855-1857 sont celles durant lesquelles Eugène Sue eut le plus à souffrir de l'acharnement du régime impérial, que ce soit par ses interventions auprès des autorités du royaume de Piémont-Sardaigne, ou par le biais de la censure. L'angoisse de voir la publication de son oeuvre maîtresse, Les Mystères du peuple, interrompue avant son achèvement, affecte gravement sa santé. Le 3 août 1857, il décède quelques semaines à peine avant la tenue d'un procès à charge qui condamne l'ouvrage. Les lettres adressées à Lachâtre et à Flocon permettent de suivre les détails de la publication de cette Histoire de France révolutionnaire. La correspondance avec Marie de Solms se fait plus abondante, témoignant de la permanence d'une amitié amoureuse parfois source de tracasseries.

04/2023

ActuaLitté

Histoire de France

Souvenirs 1804-1815

Si les noms de Coignet, Bourgogne, Parquin, Lejeune et Marbot nous sont connus parmi les mémorialistes de l'épopée napoléonienne, celui de François-Frédéric Billon fait partie des méconnus. Ses " Souvenirs " qui parurent pour la première fois en 1905, un siècle tout juste après Austerlitz, sont à ranger parmi les meilleurs récits. Billon a tout juste vingt ans quand il rejoint les rangs de cette Grande-Armée qui fera trembler toute l'Europe... D'abord dans les vélites de la Garde, puis aux chasseurs à pied de cette même Garde, il passe ensuite dans les rangs du 14ème régiment d'infanterie de ligne. Du Sacre de Napoléon aux derniers jours de l'Empire, Billon participe aux campagnes de 1805, à celles de 1806 et de 1807. Il est engagé également en Espagne. Fait prisonnier, il connaîtra l'enfer de Cabrera et celui des pontons anglais... Notre mémorialiste reprendra les armes en 1815, année de Waterloo... Tout comme le chasseur à cheval Jacques Chevillet, dont le récit a paru en 2004 à La Boutique de l'Histoire, le capitaine Billon écrit d'abord pour lui-même, pour ses proches. Ses " Souvenirs " ont le ton de la vérité, de l'événement vécu. Sous sa plume, au fil des pages de ses " Souvenirs " passionnants, c'est toute l'Epopée qui revit.

06/2006

ActuaLitté

Critique littéraire

Souvenirs 1843-1854

" Ma nuit avait été si agitée que je regrettais presque de m'être couchée ; aussi pour faire diversion à mes angoisses et pour occuper l'impatiente et inutile activité de mon sang et de ma pensée, je me lève à 6 heures Il fait nuit noire. Je m'habille à la lumière et je sors de chez moi pour tâcher de découvrir les dangers qui menacent mon pauvre grand bien-aimé, et les espérances qui peuvent lui donner la victoire. Il semble lorsqu'on est dans l'attente d'un grand événement qu'une minute, que le moindre incident peut tout perdre ou tout gagner. "

11/2006

ActuaLitté

Critique littéraire

Lettres choisies de la famille Brontë (1821-1855)

Voici une famille hors norme, qui a produit quatre écrivains, tous fauchés en plein vol (morts avant quarante ans), soudés autour du père, vivant et créant ensemble, entre mélancolie et humour noir. Face aux drames des jours sombres, le clan fait bloc. Face à la difficulté d'être une femme qui écrit, les soeurs Brontë publient d'abord sous pseudonyme masculin (Charlotte, Jane Eyre ; Emily, Les Hauts de Hurlevent), souhaitant que leurs livres les consolent du destin, rendent possible l'amour et soient assez puissants pour enlever au lecteur tout désir d'en connaître l'auteur. Leur succès en a décidé autrement. Leur voeu d'invisibilité est aujourd'hui rompu, leur idée de l'intime nous est devenue étrangère. Il est temps de reconnaître qu'une oeuvre embrasse aussi tout ce qui lui a permis de surgir. Cette correspondance passionnante en est la preuve. Sur les mille lettres échangées par le père et les quatre enfants, entre 1821 (mort de la mère) et 1855 (mort de Charlotte), cette édition en retient trois cent dix. On entre dans ce recueil sur la pointe des pieds, comme si quelqu'un, en ouvrant une porte dérobée, nous faisait signe de nous approcher et nous rendait témoins de l'extraordinaire force de vie qui anime ces cinq êtres : le désir de prendre son envol, d'aimer, d'écrire - de vivre malgré tout.

05/2020

ActuaLitté

Littérature étrangère

Lettres choisies

«Trop souvent réduit à un livre sulfureux, D H Lawrence reste un inconnu célèbre. La lecture de sa correspondance devrait l'arracher aux images toutes faites : puritain scandaleux, prophète apocalyptique, apôtre préfasciste de la violence ou mystique du sexe, autant d'étiquettes qui ont souvent brouillé son message. A la différence de celles de Joyce ou de Virginia Woolf, ses lettres ont une rare qualité de jaillissement dans leur violence même. Chez un être qui mena toujours une vie de nomade, elles sont l'équivalent du journal qu'il était incapable de tenir et donnent à entendre une voix dans toutes ses dissonances. Que ce soit l'imprécateur féroce qui traite Joyce de «cochonnerie journalistique», le visionnaire aux accents à la fois bibliques et nietzschéens, fasciné par le primitif et hanté par la barbarie, l'utopiste social qui veut construire «une grande architecture d'êtres vivants», ou le poète de la «conscience phallique», Lawrence parle ici tout entier dans la moindre de ses phrases, faisant fi des ruses et stratégies, appliquant à lui-même la règle qu'il recommande à Dorothy Brett : «Tout ce qui est partiel est une trahison». André Topia.

12/2000

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté