Nous nous trouvons là face un véritable auteur ensablé. A la fin de sa passionnante préface, François Ouellet (qui est également, rappelons-le, notre ami et contributeur de notre rubrique) écrit: "Que devient Henriette Valet ensuite? (...) Au lendemain de la guerre, (elle) signe une pièce, "L'île grande" (...) Par la suite, nous perdons complètement sa trace." Voilà qui intrigue et, disons-le, nous donne envie de lire ce roman (récit?) publié chez l'Arbre Vengeur dans sa collection "les inconnues" (la dernière était Délétang-Tardif que nous avons également chroniquée).