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Henri-Pierre Jeudy

Dossiers

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Dossier

Un titan littéraire : découvrir les livres d'Henry James

Henry James est né le 15 avril 1843 à New York, au sein d'une famille aisée d'intellectuels. Son père, Henry James Sr., était un éminent théologien et philosophe, offrant au jeune James un environnement nourri de débats intellectuels dès son plus jeune âge.

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Dossier

La journée de l'inventivité en bibliothèque de Nouvelle-Aquitaine

Le 14 septembre sera une journée dédiée à l’inventivité des bibliothèques en Région Nouvelle Aquitaine. Après le succès des deux premières éditions, l’agence régionale Écla organise le jeudi 14 septembre 2017, la troisième Journée régionale de l’inventivité en bibliothèque.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Franck Bouysse

Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.

Extraits

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Musique, danse

Pierre Henry

Actualisant un ouvrage paru pour la première fois en 1980, cette nouvelle édition retrace plus de cinquante ans dans la carrière d'un des plus célèbres compositeurs français du siècle. Associé par le fondateur de la musique concrète, Pierre Schaeffer, aux premiers pas du genre, en 1949, Pierre Henry n'a cessé depuis de donner à cette musique un souffle et une ambition qu'on ne lui soupçonnait pas au départ, en construisant un ensemble colossal et varié d'œuvres qui continuent de toucher tous les publics et toutes les générations. Si ses collaborations avec Maurice Béjart (Le Voyage, La Messe pour le temps présent) ont aidé à faire connaître son nom, et s'il fut un des premiers musiciens (dès les années 60) à travailler avec des peintres et des plasticiens, il est aussi un créateur fécond d'œuvres pour le concert et le disque, qui n'hésitent pas à s'attaquer aux grands thèmes - la vie biologique, la mort, le sacré, la place de l'homme sur la terre -, parfois en " collaboration " posthume avec Jean l'Evangéliste ou Victor Hugo, voire avec Beethoven. Il a aussi créé un " son " aussi personnel et reconnaissable que ceux des plus fameux musiciens de jazz, et imposé un univers d'une ampleur cosmique, un véritable monde où l'archaïque et le mythique côtoient le familier, et qui chante les émerveillements, les espoirs et les hantises de notre époque.

11/2003

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Ethnologie

Le corps comme objet d'art

Ce livre ne prétend pas traiter du corps dans la peinture ou dans la sculpture, mais des incidences de la création artistique et de la littérature sur l'esthétique quotidienne du corps. Le fantasme du corps pris pour un objet d'art est un stéréotype de notre idéalisation esthétique. Il se constitue en puisant ses ressources dans les arts plastiques et dans l'écriture littéraire. Il ne s'agit pas des modèles de la beauté ou de l'esthétisme du dandy mais de ce vertige des images du corps qui nous offre l'illusion de nos métamorphoses. Les inscriptions sur la peau, l'apparition du squelette, les dents du vampire, la vision du sang et des poils font du corps le " moule idéal de la métaphore ". Jamais le corps n'a été aussi exhibé et interprété quand tout le monde s'accorde à dire qu'il est une énigme. Avec l'art corporel et les performances artistiques, le corps se fait œuvre vivante. Au lieu d'être parlé, il devient langage. C'est l'apologie de la contagion esthétique ! Ces nouveaux symboles de l'exhibition artistique ont-ils mis fin à la toute-puissance du miroir ? Il semble plutôt que la passion du double se poursuive : dans les laboratoires de création artistique des images virtuelles, c'est le mythe du corps pur qui vient fonder la croyance en une nouvelle corporéité.

07/1998

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Revues Ethnologie

Amplitudes N° 4, septembre 2021 - mars 2022 : Traces et lecture de paysages

Pourquoi les "ruines les plus récentes" seraient-elles les signes de déclin d'un territoire ? Les ruines d'une Gage, d'un moulin, d'un four ne sont-elles que les symboles d'une époque révolue, les traces d'un passé destinées à être oubliées ? Elles forgent plutôt le "miroir obscur" de ses anciennes richesses. Regarder des traces, des vestiges, et même des débris pour "lire un paysage" prédispose la mémoire et la perception à une véritable aventure. La trace se présenterait avec cette part d'invisibilité qui la rend énigmatique en requérant le toucher visuel. La lecture d'un paysage suppose-t-elle alors d'imaginer le retour d'un "présent perdu" ? Amplitudes propose une rencontre entre des points dc vue personnels et des analyses de spécialistes autour de l'intensité des phénomènes qui se vivent sur les territoires au temps quotidien.

09/2021

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Sociologie

Un sociologue dans un Voltaire. Journal à contretemps

Etre sociologue, cela peut s'entendre en plusieurs sens, y compris au-delà d'une carrière universitaire bien remplie. Henri-Pierre Jeudy fait varier les points de vue et les temps de pose. Entre villes sous pression et campagnes au ralenti, que deviennent nos lieux de vie ? De quoi les sentiments d'attachement, d'appartenance ou de solitude sont-ils le signe ? La résistance discrète des habitants de son village de la Haute-Marne intrigue autant l'auteur que les attitudes des jeunes gens dans les quartiers transformés de la capitale où il retourne pour l'hiver. Ses analyses sur la mémoire, la mort ou l'effacement, le conduisent à avoir une approche ouverte aux contretemps de l'actualité (Gilets jaunes, pandémie). Son regard se nourrit de lectures éclectiques et d'observations glanées au cours de nombreux voyages. La sensation d'exil intérieur, la perception du paysage ou les souvenirs d'enfance ne sont plus des faits privés mais des réalités partagées. La fragmentation de la vie sociale devient un objet de questionnement politique et invite le lecteur à poursuivre l'enquête, en accordant une attention renouvelée à ses contemporains les plus proches - depuis sa rue, le rond-point voisin ou, pourquoi pas, son voltaire.

06/2021

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Sociologie

Sciences sociales et démocratie

Devenant des thérapeutes du social, les sociologues imposent leur conception de la réalité objective. Jamais la société n'a été autant conceptualisée à des fins pragmatiques et gestionnaires. Malgré le renouveau apparent des théories, impulsé par la philosophie analytique et par les sciences cognitives, les sciences sociales naviguent entre un réalisme social et un nominalisme conceptuel. Mais c'est le discours théorique qui finit par façonner la réalité. Qu'en est-il alors de la souveraineté du sujet ? Lorsque la tyrannie des " savoirs experts " l'emporte, que devient l'idée du monde comme un jeu des possibles ?

09/1997

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Spécialités médicales

La Panique

La panique, un mot bien étrange. On imagine des foules en délire, des crises d'hystérie collective ou encore cette débandade devant un danger imminent... Mais la panique n'est-elle pas aussi tragique que séduisante ? Essence de la masse comme de l'individu, elle envahit, de manière sournoise, insinuante, le corps et la vie psychique, s'emparant des états d'âme et des émotions les plus violentes. Sans cause, ni finalité, la panique est d'abord mouvement qui se joue des représentations les plus usuelles. En deçà de la peur ou de l'angoisse, elle échappe au sens qu'on voudrait lui attribuer, alors faute de lui reconnaître sa puissance démoniaque, elle devient figure de la destruction. L'attente de l'irruption impossible se commue en une action nouvelle : paniquer.

07/1981

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