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Giscard Kevin Dessinga

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Sciences politiques

Ma passion d'Africain. Cinq défis à relever pour la rédemption du continent

Passion ! Oui, rien de beau, de noble et de grand ne se fait sans passion. Et ce livre, justement, est le fruit de l'amour passionné de l'auteur pour l'Afrique. Une passion, certes, mais qui se transforme vite en indignation, dont découlent des interrogations : comment avoir tout (population jeune, ressources du sol et du sous-sol immenses, matières premières, terres arables) et manquer presque de tout (eau courante, électricité, routes viables et fiables) ? Que manque-t-il à l'Afrique ? Et comment sortir l'Afrique de ce marasme ? Cinq défis à relever, unique issue pour la rédemption du continent : le défi de se réconcilier avec un passé douloureux (traite négrière, colonisation, néocolonialisme, Françafrique, Chinafrique...) et dont le deuil n'a pas encore été fait ; le défi de la bonne gouvernance politique et le courage de passer de la démocratie-sur-le-papier à la démocratie-sur-le-terrain ; le défi d'oser des réformes scolaires pour passer d'un enseignement évasif et fétichiste à un enseignement simple et clair qui aide à résoudre les problèmes concrets des gens ; le défi de la bonne gouvernance économique et d'un peu de justice sociale pour stopper le drame des flux migratoires ; le défi d'une prise en charge responsable à travers une vraie et authentique éducation à la rationalité, au sens de l'organisation, à l'esprit d'équipe.

02/2020

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Sciences politiques

Lettre ouverte à l'Afrique soixantenaire. Bilan subjectif d'une gouvernance au subjonctif

1960. Pour la plupart des pays africains, l'histoire prend un autre visage. Virage aussi ? A coeur ouvert et sans complaisance, Giscard Kevin Dessinga dresse le bilan soixantenaire de la gestion du continent par ses propres filles et fils, afin de restituer au peuple africain son vécu et ses rêves les plus authentiques. Faute d'être assurés d'un avenir parfait, les Africains doivent modestement s'attacher et s'attaquer aux problèmes et difficultés de chaque jour et essayer d'apporter des solutions politiques aux problèmes politiques, économiques aux problèmes économiques, culturelles aux problèmes culturels, éthiques aux problèmes éthiques, sanitaires ou diplomatiques aux problèmes sanitaires et diplomatiques.

10/2020

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Philosophie

L'athéisme est un humanisme. Les raisons de l'option préférentielle pour l'homme

Du point de vue épistémologique et psychologique, voire sociologique et éthique, quel est le sens du combat des athées ? Contre qui, je dirais plus, pour qui se battent-ils ? Et pourquoi s'en prendre à Dieu, quelles en sont les raisons explicatives et justificatives ? S'agit-ce du refus de Dieu ou de la passion pour l'homme. Ce modeste essai, en explorant les prises de position de Feuerbach, Marx, Nietzsche, Freud et Sartre essaie de répondre à ces questions. Pour Giscard Kevin Dessinga, elles sont nombreuses les raisons du refus de Dieu et de sa dé-sacralisation et ce, des plus antiques aux plus modernes. Moralement impossible et de trop, scientifiquement inutile, humainement intolérable, psychologiquement dérangeur et métaphysiquement superflu, voilà qui condamne Dieu dans les archives de l'histoire. Que reste-t-il ? L'homme. Un homme sûr de soi et maître absolu de son histoire ?

08/2019

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Ouvrages généraux

Comment se pose le problème gnoséologique aujourd’hui ? De la philosophie de la nature... à la philosophie de la connaissance

L'Histoire nous enseigne que la gnoséologie s'est constituée comme science autonome, distincte de la logique, de la psychologie et de la métaphysique seulement à partir des " temps modernes ", et singulièrement avec Descartes. Avec les Modernes, la connaissance est une activité intègre, autonome et complète en elle-même, et son objet premier est, non pas l'être, mais la connaissance elle-même. Connaître, c'est d'abord et avant tout être conscient de soi-même. Pendant l'Antiquité, la vérité de la connaissance est l'être et, à l'époque moderne, la vérité de la connaissance est la connaissance elle-même. Ce problème est à la fois un problème historique, structurel, méthodologique, moderne et postmoderne. Aujourd'hui, il y a plus d'opinions que de convictions. Ainsi, l'histoire du problème gnoséologique se divise en trois phases nettement tranchées : antique, moderne et postmoderne. Pendant la première, la vérité de la connaissance est l'être ; dans la deuxième, la vérité de la connaissance est le connaître en soi ; et dans la troisième, enfin, affirme-t-on, il n'y a pas de faits, mais uniquement des interprétations. Aussi, le roman d'amour entre la philosophie et la connaissance est passé à travers trois moments. D'abord, l'Antiquité et le passage de témoin entre le mythos et le logos, signant ainsi au passage la naissance de la philosophie de la nature. Puis, le passage de la philosophie de la nature à la science de la nature vers la fin du 15e siècle et au début du 16e siècle. Enfin, sous l'impulsion de Kant d'abord, de Comte ensuite, le passage de la philosophie de la connaissance à l'épistémologie contemporaine au 19e siècle. Le problème de la connaissance est au fond le problème de la nature (caractéristiques, spécificité, origine et provenance à la fois), de la valeur et des limites de la connaissance humaine, puisqu'il s'agit d'établir la manière de porter un jugement de valeur sur les diverses formes de la connaissance humaine.

02/2022

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Epistémologie

Karl Popper. Une épistémologie de la précarité et du combat

Considéré par d'aucuns comme l'un des plus grands philosophes des sciences du XXe siècle, par d'autres, tout simplement comme étant le plus grand, auteur prolixe, audacieux, attachant, captivant et philosophe polémiste, Karl Popper laisse une oeuvre riche, composite et abondante. C'est, d'entrée de jeu, la mise au point que nous avons fait dans ce livre. Ensuite, nous avons présenté les deux versants, à notre sens, fondamentaux de cette oeuvre monumentale, à savoir une épistémologie de la faille et de la précarité (première partie) et une épistémologie de la lutte et du combat (deuxième partie) de cet essai. En un sens, notre but est de montrer le caractère subversif de la pensée de Popper, caractère qui en fait, à la fois, une épistémologie de la faille (faillibilisme), de la précarité (asymétrie entre confirmation et falsification des théories), de la lutte et du combat (luttes épistémologique, méthodologique et politique de Popper).

06/2022

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Actualité et médias

La révolution du bon sens. L'Afrique à l'heure de la maturité, du courage et de la responsabilité

Pourquoi l'Afrique est et reste encore la risée de tous et la dernière de la classe malgré ses immenses et innombrables richesses du sol et du sous-sol ? Comment avoir tout (pétrole, or, diamant, fer, zinc, cuivre, coltan, cours d'eau, espace cultivable, population jeune) et manquer presque de tout ? C'est la théorie des trois C. Dit autrement, quel est le vrai problème de l'Afrique : pauvreté ou exploitation, injustice ou ignorance, incapacité ou mauvaise gestion et distribution des richesses ? Pourquoi l'Afrique est-elle devenue le carrefour de toutes les pandémies : guerre, faim, soif, Ébola, sida ? Que manque-t-il réellement à l'Afrique ? L'argent manque-t-il à l'Afrique ? À l'Afrique manquent des compétences, l'amour et la passion pour le continent, le sens de l'histoire ? Comment sortir l'Afrique de la minorité à un moment historique « zéro polaire » ? Quels sont les défis à relever pour l'avènement de la « révolution du bon sens » ? C'est à toutes ces questions et à bien d'autres qu'il serait long d'énumérer ici que ce livre essaie de répondre. Mais, par où commencer ? Par l'école, répond l'auteur. Il faut enseigner au monde et à l'Afrique qu'à une question sociale il faut une réponse sociale, et à une question d'ordre politique doit correspondre une réponse d'ordre politique, à une question culturelle ou économique il faut une réponse culturelle ou économique. Pour que l'émergence de l'Afrique devienne une réalité et passe du plan théorique et rhétorique à celui historique et pratique, l'auteur propose une voie : La révolution du bon sens. Pour que cela advienne, l'auteur propose une autre théorie, celle des trois P. Plutôt que d'un cri de révolte, il invite son peuple à se réveiller et à se lever, pour éviter un suicide continental. Du coup le mot d'ordre est donné : spiritualité de la lutte, culture de l'indignation, refus de la complicité, éthique de la responsabilité...

03/2015

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